LA COUR DES COMPTES : Elle dénonce la faiblesse des contrôles.

 

 

La cour des comptes dénonce la faiblesse des contrôles pour certaines aides versées aux agriculteurs.

Le recouvrement de certaines sommes frauduleusement perçues a même été empêché en 2008, par l’intervention du Ministre de l’époque Monsieur Michel Barnier, dont le nom n’a pas été cité.

Dans le rapport publié mardi, de graves critiques sont ainsi formulées.

 

L’intervention du ministère de l’agriculture vise à protéger certains agriculteurs qui fraudent l’état, donc nous.

En 2008, un agriculteur a perçu des aides à l’installation sur la base de fausses déclarations. Mais suite à l’intervention du Ministre de l’époque, les sommes n’ont jamais été réclamées.

 

Dans une lettre du 28 janvier 2008, le Ministre a ordonné au directeur général du CNASEA, de ne pas donner suite à une décision de reversement du préfet du Loir-et-Cher suite à un contrôle. Ecrit la Cour des Comptes.

Ce même Ministre aurait considéré que le bénéficiaire, du fait qu’il présidait un syndicat agricole et en raison de son « fort » engagement au service de la profession, était ainsi dispensé à titre « exceptionnel » de rembourser les aides frauduleusement obtenues.

 

Interrogé le Ministère de l’Agriculture n’a toujours pas réagit.

 

Et voilà, comment notre argent mal géré file entre les mains de personnes peu scrupuleuses. La mal gestion de la France nous endette plus sûrement, que la crise elle-même.

Combien de cas de ce genre, combien d’emplois fictifs et je ne citerai pas toutes les autres stupidités. Décidément, ce gouvernement n’est pas à même de diriger correctement la France. Et de lui éviter sinon une faillite, qui sait, du moins un endettement sans cesse progressant.

On nous parle sans arrêt de faire des économies. Alors que l’argent file au travers de cette passoire sans semble-t-il, que notre gouvernement et par là même Nicolas Sarkozy soit apte à réagir et à contrecarrer tout cela.

Il ne suffit pas de tourner dans tous les sens, pour bien diriger un Pays.

 

Aurait-on agit de cette façon, si c’était un travailleur français qui ait fraudé de cette façon, l’état ? Bien sûr que non.

Le pauvre, il y a bien longtemps qu’on l’aurait sommé de rembourser les sommes indûment perçues, mais avec comme petit plus une amende bien salée, voir quelques mois d’emprisonnement avec sursis.

 

Y aurait-il dans ce gouvernement certains passe-droits ?