LA CONFRONTATION ENTRE EDUCATION NATIONALE ET NICOLAS SARKOSY

veuillez avoir la gentillesse de renseigner les métadonnées de vos articles svp …et n’oubliez pas que vos textes doivent être personnels , c’est-à-dire que vous pourriez donner votre propre avis sur les mesures envisagées par le président …

 

 

La politique de Nicolas Sarkozy est de restreindre les embauches dans l’éducation nationale. Il décide de ne pas appliquer le non-remplacement d’un retraité sur deux dans le primaire. Il veut inciter les professeurs du secondaire à travailler plus pour gagner plus. 

La politique de Nicolas Sarkosy vise à prolonger la politique des cinq années passées. Il veut une « école de proximité ». En diminuant le nombre de professeurs dans l’éducation nationale, il souhaite équilibrer le budget. L’idée est à la base intéressante. 

 Il s’oriente vers les plus grosses dépenses de l’Etat. Pourtant, ce sont les régions et les départements qui apportent les subventions aux établissements scolaires.

 Il a le même objectif qu’un chef d’entreprise. Il se heurte aux syndicats qui sont là pour protéger les intérêts des professeurs.  A Montpellier, Nicolas Sarkosy a indiqué qu’il voulait augmenter le salaire des professeurs de 25% soit 500€. Les syndicats sont contre parce que Nicolas Sarkosy avait déjà promis des revalorisations de salaire en 2007 et il n’a jamais appliqué. « Le président de la République avait promis en 2007 une revalorisation du salaire qui n’est pas venue » rappelle Bernardette Groison de la FSU.  En contre partie, il faut qu’ils acceptent d’augmenter leurs nombres d’heures de présence de 18  à 26. Il souhaite que les professeurs soient polyvalents dans leurs fonctions …Par exemple, un professeur devra enseigner la physique, la biologie et la chimie. Ce dispositif servirait à palier le non-remplacement  des fonctionnaires. Nicolas Sarkosy a aussi indiqué qu’il voulait rendre autonome le recrutement des professeurs par le directeur d’un établissement scolaire. Il veut simplifier les démarches administratives. Il veut revoir le système du collège d’aujourd’hui.       

A mon avis, cette politique va être très compliquée à appliquer. Le corps enseignant ne veut pas changer sa façon de travailler. Les personnes qui veulent être enseignants ne souhaitent pas rester travailler à plein temps dans l’établissement même pour gagner plus. Elles ont besoin de preuves de la part de l’Etat. L’éducation nationale attend un retour de l’Etat. Les professeurs ne veulent plus de belles promesses. Ils veulent un président qui tient ses engagements.