La chine veut acheter des terres arables au Québec

La chine veut acheter des terres arables au Québec

La Chine telle qu’on la connait représente 20% de la population mondiale. Il lui faudrait  une très grande proportion de nourriture par rapport au reste de la planète. Pourtant, ce grand pays possède seulement  9% des terres cultivables de la planète.

Pour compenser ce manque, ce pays a décidé de prendre en mains le problème en allant acheter un peu partout des terres cultivables.

C’est ainsi qu’ils sont venus chez nous au Québec.

D’après Radio-Canada, les terres arables canadiennes seraient une valeur sûre. « Un rapport de la firme de consultants britanniques Knight Frank LLP de l’an dernier montrait que les terres agricoles canadiennes sont parmi les moins chères dans les pays industrialisés. Un hectare de terre arable se vend ainsi en moyenne 1725 $US au Canada. Cela se compare avantageusement au prix versé pour acheter un hectare en Irlande (58 500 $US), en Angleterre (17 100 $US), en France (12 500 $US), dans l’État américain de l’Ohio (11 000 $US), en Nouvelle-Zélande (9643 $US) et en Australie (3450 $US), voire dans d’anciens pays du bloc de l’Est, comme la Pologne (6660 $US), la Roumanie (4855 $US) et la Bulgarie (3120 $US). » C’est scandaleux de voir que nos terres, celles les plus importantes de notre pays, possèdent le prix le plus bas de tous ces pays et villes nommés précédemment.

Selon Radio –Canada, il y aurait eu un cas, à Saint-Valérien-de-Milton, où un agriculteur s’est vu offrir de vendre ses terres.

« Ils m’ont dit combien tu veux? Combien ça vaut là les porcheries, la maison, tout », raconte-t-il.

Toujours selon Radio-Canada, des agents immobiliers engagés par des investisseurs chinois confirment la tendance : ceux-ci s’intéressent à la valeur nourricière des terres. « J’ai quelques clients pour des terres, pas seulement à des fins d’investissement, mais vraiment pour une source stable d’approvisionnement pour la Chine », explique Nanda Emile Xu, agent immobilier à Monaxxion.

D’ailleurs, ils ne seraient pas les seuls à vouloir des terres arables au Québec.

L’année  dernière, le groupe américain d’investissement Hancock Agricultural Investment Group, avait acquis 450 hectares  dans la MRC d’Arthabaska de Canneberges Bécancour. Mais, ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi le CPTAQ (commission de protection du territoire agricole du Québec) n’est pas intervenue puisqu’une des closes dit qu`il est interdit de vendre une terre à un étranger.

Il est aberrant de voir des agriculteurs de porc qui n’arrivent pas à gagner leur vie  et que, conjointement, les Chinois veulent acheter leurs terres, leurs maisons, et même nous acheter. Et d’ailleurs, je ne comprends toujours pas pourquoi ces agriculteurs ne sont pas capables d’avoir un marché pour l’exportation vers d’autre pays comme la Chine.  De mon côté, je suis totalement en désaccord avec cette façon de faire.  Nous devrions signer une pétition contre ces ventes de terres agricoles et l’envoyer au CPTAQ.   

4 réflexions sur « La chine veut acheter des terres arables au Québec »

  1. Il n(y a pas que les Chinois…
    Les Saoudiens et Émiratis achètent des terres en culture ou cultivables, notamment en Ukraine et Roumanie…

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  3. la France n’intéresse pas encore la Chine, celle-ci va plutôt en Amérique latine ou en Afrique. »

    « L’Argentine, par exemple, est un pays beaucoup plus vide, avec des propriétés en vente mesurant des dizaines, voire des centaines de milliers d’hectares, ce qui permet de jouer sur des effets d’échelle », ajoute-t-il.

    [u]La Chine, mais aussi des pétromonarchies du Golfe,[/u] ne cachent pas leurs ambitions agricoles à l’étranger. Outre le souci de devoir élargir une surface agricole utile trop limitée pour nourrir leur population, l’objectif est aussi purement financier grâce à des cultures très rentables, comme l’hévéa pour le caoutchouc ou le palmier à huile.

    En Europe, précise l’ONG internationale Grain, qui cherche à promouvoir la biodiversité agricole, ce sont surtout des fonds privés européens qui occupent le terrain, comme AgriSar lancé en 2008 par Sarasin au Royaume-Uni, ou le suédois Alpcot Agro, dédié à la Russie et à l’Ukraine.

    Les agriculteurs français investissent aussi en Roumanie, où 15% de la surface totale seraient aujourd’hui aux mains de propriétaires européens selon l’hebdomadaire France agricole, tandis que la Deutsche Bank a l’intention d’investir dans l’élevage en Chine, d’après un rapport de Grain intitulé « Main basse sur les terres agricoles ».

    « Les journées du Cirad ont montré que les investissements se font beaucoup dans les pays où les droits de propriété ne sont pas forcément très clairs et où règnent un certain nombre d’ambiguïtés », souligne Alain Karsenty. « En France, vous avez un régime de propriété privée fortement établi, cela paraît donc beaucoup plus difficile. »

    Mais pas impossible, précise Robert Levesque dans le cas de certaines exploitations sociétaires. Et cette forme juridique gagne du terrain: beaucoup de Gaec « père-fils » se transforment en exploitation agricole à responsabilité limitée (EARL) au départ à la retraite de l’exploitant le plus âgé. Plus grandes, moins familiales, les structures foncières se rapprochent ainsi des critères de choix des investisseurs offshore.

    Les accords de coopération agricole que Pékin a signés avec plusieurs pays africains ont permis l’installation de plus d’une dizaine de fermes expérimentales en Zambie, au Zimbabwe, en Ouganda et en Tanzanie. Certains estiment qu’un million de paysans chinois pourraient travailler la terre en Afrique d’ici 2010, surtout des victimes de l’exode rural qui accompagne l’industrialisation à marche forcée du pays.

    Cette ruée sur les terres agricoles est parfois bien accueillie car elle stimule la concurrence et apporte des techniques permettant d’améliorer les rendements. Elle peut aussi provoquer des remous sociaux et politiques, comme dans le cas du projet du coréen Daewoo Logistics de louer plus d’un million d’hectares à Madagascar.

  4. LE GOUVERNEMENT MONDIAL CONTROLERA TOUT :
    [url]http://sos-crise.over-blog.com/article-29601552.html[/url]
     » De petites fermes ou des particuliers faisant pousser leurs légumes pourraient être placés sous la supervision directe du gouvernement fédéral grâce à une nouvelle législation présentée au Congrès.

    La Résolution 875, a été présentée à la Chambre sous le nom de Acte de Modernisation de la Sécurité Alimentaire 2009 en février par Rosa DeLauro dont le mari, Stanley Greenburg, dirige les recherches pour la firme Monsanto – le leader mondial de la production d’herbicides et de semences génétiquement modifiées.

    La nouvelle loi viserait à réduire les risques de contamination par la nourriture: bactéries, produits chimiques, toxines naturelles ou artificielles, virus, parasites, prions et autres agents pathogènes pour l’homme.

    Elle concernerait les établissement qui produisent, stockent, font transiter ou vendent toute catégorie de nourriture. Fermes agricoles et aquacoles, ranches, vignobles seraient soumis à une stricte régulation gouvernementale.

    Des experts de l’industrie alimentaire, mandatés par le gouvernement, pourraient venir demander de mettre au norme de petites exploitations, causant des mises en faillite nombreuses.

    La blogosphère s’agite
    et relève les risques suivants:

    – Obama et son équipe cherchent-ils à tout nationaliser pour désarmer la population et contrôler la nourriture ?

    Super ! C’est très « écolo » de la part d’Obama. Quel est son motif véritable ?

    Ca va trop loin. La FDA autorise déjà bien assez de poisons dans notre nourriture !

    – Si tu meurs de faim, tu ne pourras plus te défendre pour rester libre. Celui qui contrôle la nourriture c’est celui qui fait les règles.

    – Le gouvernement a peur de perdre de l’argent en impôt collecté. Imaginez les taxes perdues si tout le monde fait pousser ses légumes? Imaginez si les gens coordonnaient leurs efforts entre amis, voisins et familles? En peu de temps, les gens pourraient manger le produit de leurs propres efforts et vivre en autarcie.

    – Ils veulent rendre dépendants du gouvernement. Ils veulent endetter mes arrière-arrière petits enfants, m’enlever mes armes, m’interdire toute médecine parallèle.

    Nous avons besoin d’une révolution
    contre ce nouveau fascisme.

    – Les mises aux normes seront excessivement chères pour les petits exploitants.

    – Sans l’ombre d’un doute, ils confisqueront votre propriété en cas de risque de contamination ou si vous n’êtes pas aux normes.

    – Ne perdez pas votre temps à raisonner les criminels de Washington. Tout cela se terminera en révolte sanglante.

    – Plus je regarde cette loi en apparence inoffensive, plus je la déteste. C’est une façon lâche de pousser les petits exploitants à l’illégalité car nombre d’entre eux feront le choix de ne pas se plier à la loi.
    WorldNet Daily « 

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