C'est le message que les majors ont volu faire passer après l'invalidation par le conseil d'Etat d'une décision de justice interdisant le tracking (repérage) automatique des pirates sur le P2P.
En effet, à l'inverse d'autre pays européens, la France était épargnée par les sociétés privées qui proposent leur service pour dégoter de la bonne chair de pirate bien fraiche.
Quelques mois après l'adoption de la DADVSI les utilisateurs du P2P ont donc pas mal de soucis à se faire à partir de maintenant.