Dans tout les gouvernements précédents, la censure était exercée, certes, mais pas autant que nous pouvons le constater sous ce gouvernement dont le chef autocrate veut tout contrôler.
Avant, les journalistes de la presse écrite et autre de droite et de gauche pouvaient s’exprimer. Maintenant si quelqu’un ose dire un mot qui ne plaît pas au marionnettiste en chef, eh bien le quelqu’un en question est viré ou muté (quand il s’agit de fonctionnaires de police, préfets qui n’ont pu empêcher quelques sifflets destinés au visiteur du jour, ou faire sortir des manifestants corses de la propriété d’un ami de…).
Il suffirait alors que toutes les marionnettes décident de couper le fil qui les lie à celui qui les dirige pour que nous retrouvions une certaine liberté d’expression, que tout le monde puisse dire ce qu’il a envie de communiquer et que nous soyons d’accord ou pas peu importe. Mais non, plus rien, les journalistes ont été castrés, que leur reste-t-il alors?
La censure est partout, tout le monde y a droit, chanteurs, auteurs, blogs, vidéos, sur internet où avant l’intronisation du marionnettiste tout le monde pouvait y aller de son envie de s’exprimer, maintenant qu’avons nous ? Sur aol-neuf par exemple plus personne ne peut laisser de commentaire après un article qu’il soit politique ou autre, il est vrai que depuis un petit moment le mot REVOLUTION revenait souvent dans les avis des internautes, ainsi que la déception exprimée de ceux qui avaient voté pour le chef au pouvoir et qui le regrettaient amèrement !
Les professeurs/étudiants bloquent pendant plus de deux mois les universités et que voyons nous dans les journaux télé ? Rien ou pratiquement rien, excepté les reportages des étudiants qui disent en avoir marre du blocus !
La censure est en général exercée par les hommes qui sont incompétents, qui ont PEUR du peuple qu’ils dirigent et qui ont un complexe de supériorité si fort qu’ils ne supportent AUCUNE CRITIQUE de leurs faits et gestes et sur leur personne !
Mais trop de censure amène à la réflexion du peuple qui trouve toujours un moyen de s’exprimer que ce soit en mots ou en actes.
Alors penser que l’on peut contrôler indéfiniment un peuple qui SOUFFRE est une erreur qui finit toujours par le rassemblement unitaire de celui-ci pour exprimer haut et fort son affliction, son ras-le-bol et son désir de ne plus être méprisé et traité comme de la m…. en se révoltant rongé par le désespoir ! 🙂