Hier se tenait au sein de mon IUT, la journée de prévention des conduites à risques à savoir les dangers de l’alcool, de la drogue, de la route etc…. Je dois avouer qu’à la vue de cette journée sur mon emploi du temps, l’envie de ne pas y aller était très grande.
Mais cette journée était un projet tutoré des deuxième année donc obligatoire et surtout je ne voulais pas manquer de respect envers des gens qui ont travaillé dur pour mettre en oeuvre cette journée.
On a eu le droit à l’intervention d’un commissaire de Grenoble sympathique certes mais qui nous a parlé pendant une heure et demi des dangers de la drogue douce, dure ainsi que les différents types de dangers encourus. En gros, le même discours qu’on nous rabâche depuis la 3ème sans vraiment varier.
Bonne surprise par la suite puisque nous étions divisés en petits groupes pour participer à des jeux instructifs sur les calories de l’alcool, les MST et la défibrillation. Ceci était fort amusant puisque nous participions activement. On nous fait essayer des lunettes donnant l’illusion d’être bourré et personne n’a su marcher normalement et fort heureusement!
Pourtant je trouve que ce genre de journée devient lassant puisqu’au final les thèmes abordés sont toujours les mêmes. L’absentéïsme était tout de même de 40% donc le sujet n’a pas intéressé les étudiants. Il faut savoir que les conduites à risques sont multiples dans ce monde, pourquoi ne pas parler de la violence conjugale? de la prostitution? du milieu de la mode? Tant de thèmes qui ont leur place dans des journées comme celle là et qui surtout ont le mérite d’être moins souvent abordés.
Il faudrait donc penser à remodeler ces journées puisqu’en études supérieures les dangers de la drogue et du sexe nous les connaissons par coeur. Le projet étant reconduit l’année prochaine, j’espère que le groupe en charge de ce projet saura nous éblouir et nous surprendre avec de l’originalité! Quand même chapeau à mes collègues pour le travail fourni ainsi qu’à tous ceux qui chaque année tentent de prévenir les jeunes des dangers qui les entourent.
Sept Guatémaltèques ont déposé plainte devant le tribunal fédéral de Washington pour demander des dommages et intérêts aux Etats-Unis qui ont pratiqué dans les années 1940 des expériences médicales sur des centaines de personnes, à leur insu.
La plainte, révélée mardi par un blog américain spécialisé, le Blog du Legal Times, est présenté en nom collectif, au nom de toutes les victimes de ces expérimentations qui se sont traduites notamment par l’inoculation sans consentement de maladies sexuellement transmissibles comme la syphilis et la gonorrhée dans le but de tester l’efficacité de la pénicilline.
Vous n’avez pas fini d’être étonné !!!