Jérusalem, ville d’or…
Yeroushalaïm, shel zahav..
Ville éternelle…ville de David…ville de paix…ville de tous les conflits…
Centre du monde…villle intemporelle…
Ville des 3 grandes religions monothéistes…
Incarnation d’Israël…ville de la passion de Jésus…cité de Mahomet…
Ville qui comme nulle autre pareille sait émouvoir, éclairer l’âme et enflammer l’imagination.
La vieille ville, berceau des religions
La vieille ville compte 27000 habitants dans ses vieux murs d’enceinte , pour une surface de 4km2.
On y pénètre par des portes: porte de Damas, porte dorée, porte des Détritus, porte de Sion, porte de Jaffa…
Il y a 4 différents quartiers: juif, musulman, chrétien et arménien. Ce quartier est peuplé par des Juifs depuis l’époque du premier temple, dont le Mur Occidental (Mur des Lamentations) est le vestige.
Aujourd’hui, c’est un quartier moderne qui comprend de nombreuses synagogues et yeshivot (écoles juives).
C’est un quartier animé, avec des boutiques, des centres communautaires, et un vaste musée historique à l’air libre. Il y a notamment le Cardo, une voie pédestre couverte, axe de la ville de garnison romaine après la destruction de Jérusalem, en 70 après JC.
Paralèlle au Cardo, il y a le musée du Quartier Juif, qui retrace l’histoire de ce secteur depuis l’époque des Hébreux jusqu’à aujourd’hui, en passant par la guerre d’indépendance de 1948 ou la guerre des Six Jours de 1967.
A voir également, la cours Ashkenazi, avec une belle synagogue et des résidences du début du XVè siècle, les ruines de la synagogue Hourvah, dynamitée par les arabes en 1948, la synagogue Ramban qui date de 1267, superbe et très fréquenté.
Mais les plus belles synagogues que j’ai pu voir se trouvent dans le domaine des quatre synagogues séfarades, détruites en 1948 et très bien restaurées.
J’ai aussi visité le musée du vieux Yishouv qui explique les styles de vie de la communauté juive d’antan, très enrichissant.
A ne pas manquer enfin, la maison brûlée, un site archéologique extraordinaire, résidence d’un clan de prêtres dont j’ai oublié de noter le nom, et qui fut incendiée à la destruction de Jérusalem; on peut y voir le squelette authentique d’un bras de femme qui essayait de s’enfuir! (la femme en entier essayait de s’enfuir, pas son bras…)
Le Mur Occidental ou Mur des Lamentations
C’est un lieu indescriptible; il faut le voir, le toucher, le sentir…voir la ferveur des fidèles, prier devant lui, l’embrasser…nulle part ailleurs je n’ai ressenti ce sentiment unique sur lequel
je ne peux mettre des mots…Il fut élevé par Hérode en 20 avant JC; il fait 15 mètres de hauteur. Il est l’unique vestige du Temple détruit par les Romains en 70 après JC, d’où la vénération qu’on lui porte.
On s’y rassemble pour pleurer cette destruction , prier pour l’arrivée du Messie et la reconstruction du Temple.
Les femmes prient à droite, les hommes à gauche. Le jeudi, de nombreuses bar mitsvah s’y déroulent et on assiste alors à de réjouissantes scènes de liesse qui saluent l’entrée dans le monde adulte des jeunes garçons de 13 ans.
Dans les interstices du Mur, pléthore de petits papiers portant des prières pour Hashem; j’ai même entendu dire qu’un site web proposait ce service pour les gens à travers le monde…!
Des femmes proposent contre une petite tsedaka (don) les petits fils rouges que vous avez peut-être remarqués au poignet de quelques stars écervelées qui ne savent que faire pour donner un semblant de but à leurs vies dissolues…
Juste à l’extérieur de l’enceinte de la vieille ville, je vous conseille 3 sites majeurs.
– La cité de David où les fouilles archéologiques sont toujours en cours.
-La vallée du Cédron
– le mont Sion où des églises et des yeshivot se côtoient.
Le chemin du Calvaire
Pour les chrétiens, j’imagine l’émotion de suivre les pas qu’aurait suivi le Christ depuis la remise de la croix jusque la crucifixion. Ce chemin s’appelle la via dolorosa (voie douloureuse).
Le vrai chemin existerait encore, enfoui quelque part sous le niveau actuel.
Les fidèles peuvent y suivre toutes les stations de la croix, jusqu’à la quatorzième, au sein de l’église du Saint-Sépulcre, qui abrite également le tombeau de Jésus.
Cette église est immense et pas très jolie à mon avis, mais remarquable pour les raisons sus-nommées, et également par le fait que 4 communautés chrétiennes s’en partagent le maintien.
Le Mont des Oliviers
On peut y visiter le jardin des oliviers où, selon la tradition chrétienne, Judas aurait "donné" Jésus, puis se serait pendu à un des oliviers, toujours en place, et donc vieux de presque 2 000 ans.
Dans ce même jardin, s’élève la Basilique de toutes les nations, très jolie de l’extérieur; et, plus haut sur le mont, la singulière église russe Marie-Madeleine avec ses clochetons à bulbes dorés .
Les monuments musulmans
Le plus connu est bien sûr le Dôme du Rocher, qu’à mon grand regret je n’ai pu admirer que depuis le Mur Occidental car l’accès y est interdit aux non-musulmans depuis le début de la seconde intifada…
On l’appelle aussi mosquée d’Omar; tout le monde connaît sa coupole entièrement dorée à l’or fin.
L’ambiance de la vieille ville
Pour moi, elle est à nulle autre comparable.
Bien sûr , en tant que juive, je ressens un sentiment particulier quand j’embrasse le Mur, quand je visite une synagogue…mais je gage que toute personne, même athée ou agnostique, ne peut se promener dans ses murs sans ressentir cet indéfinissable sentiment d’éternité et de plénitude.
Autre chose que j’aime faire à Jérusalem, c’est arpenter un peu au hasard les souks qui couvrent tous les quartiers et qui proposent un incroyable bric-à-brac à des prix souvent super intéressants par rapport à Tel-Aviv.
Nulle peur quand je m’y promène, nulle agressivité dans les regards…et si vous parlez français, vous serez même reçus à bras ouverts…et surtout, n’oubliez pas de marchander, ça vous évitera de vous faire truander et puis, c’est la coutume!
Côté nourriture, pour moi rien ne vaut une petite échoppe où on s’assoit sur un coin de table pour déguster un falafel ou un kebab…c’est délicieux!La ville nouvelle, une ville moderne
Pour nous, Jérusalem est notre capitale, même si le centre économique est Tel-Aviv.
Mais seules 3 ambassades le reconnaissent, toutes les autres sont à Tel-Aviv.
Je connais moins bien la ville nouvelle et elle présente tout de même moins d’intérêt alors je vais vous parler de ce que j’ai visité…
– Côté centre ville, tout tourne autour de la rue Ben-Yehuda, avec toutes ses boutiques à touristes, de souvenirs religieux même pas casher, ses boutiques de vêtements, ses bars, son McDonald…
Il y a plein de jeunes à toute heure, et beaucoup de Français!
– Mea Shearim, c’est exactement le contraire puisque c’est le quartier des religieux ultra-orthodoxes. Pour le visiter, vous devrez impérativement être vêtus comme ils l’entendent, c’est à dire en jupe longue et manches longues pour les femmes, pantalons et chemise pour les hommes, sinon les enfants peuvent vous jeter des pierres!!! Je vous jure que ce n’est pas une blague!!!
Ce quartier, c’est la reproduction des ghettos ashkenazes du début du siècle; le temps s’y est arrêté, c’est absolument saisissant…et ultra-impressionnant.
– Superbe musée à découvrir: le musée d’Israel, qui, en plus de ses collections magnifiques en ethnologie, histoire et art moderne, renferme les fameux Manuscrits de la Mer Morte, le plus vieux manuscrit biblique.
Non loin, vous pourrez également visiter la Knesset, le parlement israélien (apportez votre passeport si vous voulez rentrer), et admirer la grande Menorah.
– Mais je terminerai par la visite qui m’a le plus marquée depuis le début de ma vie en eretz: celle de Yad Vashem, le musée du souvenir de la Shoah.
Ce musée se tient à la fois dans des bâtiments, avec des expositions, et dans des jardins, avec diverses sculptures. Il est gratuit, bien entendu.
Vous ne passerez pas un BON moment à Yad Vashem, mais, je le souhaite pour votre âme, un moment d’horreur, d’émotion et d’angoisse.
nécessaire.
Dans le hall du Souvenir brûle une flamme éternelle au milieur de 21 blocs de pierre aux noms des 21 camps d’extermination .
L’Avenue des Justes des Nations est plantée de six mille arbres pour remercier les non-juifs qui sauvèrent des juifs au péril de leur vie; leurs noms sont gravés sur d’immenses murs de pierre, classés par pays.
Moi, l’émotion m’a saisie comme jamais dans le pavillon des enfants.
C’est un bâtiment d’une sobriété remarquable. Vous y entrez, et vous êtes quasiment dans le noir, hormis les flammes de quelques bougies qui, reflétées par des centaines de miroirs, représentent les neshamot (âmes) des 600.000 enfants juifs morts pendant
la Shoah. Pendant ce temps, sur une musique, sont égrénés les noms, prénoms et âges de ces petits.
C’est l’émotion à l’état pur, sans artifice.
De tous nouveaux batiments ont ete inaugures a Yad Vashem, essentiellement tournes vers le Souvenir, L’Histoire. la Memoire… comme tout le site…
Je n’y suis pas encore allee, je pense que j’irai pour Yom Ha Shoah et je vous dirai alors ce que j’ai ressenti.
Aux personnes qui passent a Jerusalem, ne zappez pas cette visite… ca fait mal, mais il faut y aller…
"Requiem pour six millions d’âmes
Qui n’ont pas leur mausolée de marbre
Et qui malgré ce sable infâme
Ont fait pousser six millions d’arbres…"
– Je terminerai par le Mont Herzl qui honore le fondateur du mouvement sioniste, Theodore Herzl. Il y est enterré, ainsi que Yitzhak Rabin, Golda Meïr et de nombreux soldats israéliens morts pour la défense de leur pays.
J’ai été longue mais la plus belle ville du monde mérite bien plus encore. Merci de m’avoir éventuellement lue jusqu’au bout!
Merci Shéli pour votre article qui nous informe bien. Un jour, j’irai à Jérusalem !
Parmi les multiples oublis, la mosquée El Aqsa, l’église et le musée arméniens. Le cénacle et le tombeau de David, la tour de David, l’église croisée Ste Anne, propriété française. La maquette au Holyland Hotel, etc… Ne passez pas à côté la prochaine fois.
Vous admettrez qu’il est difficile d’être exhaustif sur une telle ville, je n’ai pas pour ambition d’écrire un livre complet sur Jérusalem mais d’exprimer mon ressenti sur mes lieux favoris. De plus en tant que juive il m’est impossible d’accéder à un site tel que la Mosquée du Dôme du Rocher par exemple. Cordialement.
De tout temps, il est interdit aux Juifs de se rendre sur le mont du Temple car ils risquent de piétiner le Saint des Saints. Cet interdit peut être aussi dû à la situation politique. Dans ce dernier cas, c’est très triste qu’une telle ville en arrive à ces contraintes d’un autre âge. Ceux qui en sont responsables appartiennent au parti de la paix impossible. Il serait temps que politique ou religion deviennent RAISONNABLES. On s’en éloigne chaque jour davantage. Comment peut-on imaginer que Dieu reconnaisse les siens? Il n’y a guère que Véritas pour le savoir.
oh non , cher Jacques Monnet!!!!!!!!
rien qu’en France,on est aumoins 100000 à le savoir !
et je ne vous parle pas du monde entier !
Véritas je n’ai pas écrit cet article pour que tu laisses cours à tes délires secto-chrétiens… De plus en insultant Maïmonide, tu manques de respect aux Juifs du monde entier… Nous espérons le Machia’h et ce n’est pas Yeoshua que nous ne reconnaissons absolument pas comme le fils de D. Sur ce, bonne soirée!
Cher Véritas, vous seriez des milliards que le nombre ne changerait rien aux volontés divines auxquelles il faut croire à défaut de savoir. Il est plus rasurant, il est plus évident de se passer de transcendance, laquelle nous bercera toujours d’illusions consenties, et donc si rassurantes, sans la moindre chance d’atteindre notre esprit.
Bonnes illusions rassurantes !
en fait dès qu’on fouille un peu , Jérusalem estun veritable volcan !!!
elle est prévue pour quand la visite d’Haroun Tazieff ?!!!!!!!!!
de plus, les hommes ont fait du mont du temple un véritable gruyère !
TU AS DU SOUCI A TE FAIRE, SHELI !:
La terre d’Israël est riche d’une extraordinaire diversité
évangélique peu connue du reste du monde.
La seule ville de Jérusalem comptait en 2000 environ
20 communautés protestantes évangéliques couvrant
le spectre de la diversité évangélique française
et même au-delà dans la diversité du protestantisme
évangélique messianique (également représenté en France
mais pas dans toute cette diversité).
Par exemple, à Tel-Aviv il y avait le matin une communauté
évangélique russe, l’après-midi une communauté anglophone
charismatique, et le soir une communauté africaine francophone,
principalement congolaise. Un service à Ashdod était en 4 langues :
le français, l’hébreu, l’anglais et le russe.
[b]exhaustif…[/b] ou [b]trop exhaustive[/b] chair sheli…
berceau des religions ???
– même pas des religions monothéistes si j’ne m’abuse
voir le culte, certes éphémère mais persistant après sa déconstruction d’ATON Rhâ (ancienne égypte)
le culte de la vie, de la maternité se compte en millénaire très chère
Totémisme et animisme …
cf. W Blake
«[i]some one born to sweet delight, someone born to endless night[/i]»
sourire
et
bien à vous
avata_ tit_diable_au_teint blafard (si loin de son sud à_dorer)
paul_le_poulpe lâme_usé(e)
evil_pilgrim pour les intime(s) – idée(s)
…
[b]Religion…[/b]
[b][i]Les définitions qui ont été proposées reprennent le plus souvent l’idée selon laquelle la religion est un système de croyances.
Bien que l’idée de religion semble avoir une histoire propre à l’Occident, ce terme a aujourd’hui des équivalents dans toutes les langues. Le cas, échéant, des néologismes ont été créés. Ces termes disposent de leur propre étymologie et ils n’ont pas nécessairement exactement les mêmes connotations ni la même portée d’une langue à l’autre, de la même manière que le terme religion n’a pas toujours eu exactement la même signification dans l’histoire occidentale.
Les définitions de la religion qui l’envisagent à partir de l’idée de croyances ou de la présence d’un élément surnaturel dans le monde établissent une distinction entre ce qui d’un côté serait de l’ordre de savoir scientifiques et vérifiés et de l’autre un donné inaccessible à la raison. (Source: wiki_knowledge)[/i][/b]
Dans le sens du mot de bien des maux…
Sens étymologique:
• reli_gare : ce qui relie, unit en une même croyance, foi.
[b]Religion… Idéologie… Nationalisme… même combat![/b]
[b]De la supra rationalité à la supra_réalité… le monde bloque sur toute méta_physique.
Ô_raison funeste.[/b]
…
De la Lumière des lumières…
De la philosophie critique de la raison à la révolution cellulaire:
– pouvons-nous rester en toute espérance ?
Et pendant ce temps des résolutions bafouées…
De la colonisation… ô attentat !
Des attentats… ô colonisation !
– cercle sans fin, dont toutes les faims d’espérance se conjuguent toujours… ô présent bafoué.
Le « [i]peuple élu[/i] » semble bien finir par s’illusionner , et la jeunesse Gazaouite aussi! – En êtes vous si sûr ?
cf. le manifeste de la jeunesse de gaza.
[url]http://rocbo.lautre.net/spip/spip.php?article608[/url]
[b]De la pensée aux ‘idéologisme(s) , nationalisme(s) sous couvert de RELIGION… BASTA !!! [/b]
– entend-t-on en vruissement imperceptible dans le corps de toute raison résonante.
Ô Raison funeste, que ne m’as-tu éclairé de l’esprit de ta chair, en mon corps, toujours bafoué mais intègre…
[b]Ô PROBITé !!![/b]
De la chair à l’esprit de la chair,
De l’esprit de la chair à la peau_easy de la vie,
De la poésie de la vie… ô lyrisme de l’instant partagé !
[b]le corps est l’énergie, le souffle, le mouvement qui nous propulse de notre vacuité originelle en l’élan vital de toute condition, notre engagement. [/b]
De l’espérance à l’espoir… tout n’est-il point déjà dévoilé ? De l’espoir en la vacuité, voilà que les codes se compliquent, me rétorquerez-vous. Mais j’y reviendrai(s), très prochainement, s’il m’est loisible de le faire ici.
Et pourtant : considérant encor le Moyen Orient: ô Jérusalem! carrefour potentiel de toute multitude, bigarrée de toutes les raisons, résonant en silence en l’esprit de tes chairs avenantes…
– Me suis-je emporté ?! Je tempère:
Qui parlera toujours et encor d’espoir ? Quand l’action est aliénée par l’esprit de l’intérêt (de quelques uns (?) de nous-même)!
– Je vous le demande.
[b]DREAM ON IN BLUE! [/b]
…
« [i]La spécificité de la « condition humaine » s’épuiserait-elle dans le principe méta-praxis ([i]pas dit physique[/i]) du divin principe : l’homme doit s’ouvrir, et ce…. jusqu’au plus profond de sa néantitude, au vide – [i]plein du sens orgasmique[/i] – que le voit naitre. L’avantage du néant sur l’éternité, c’est que le temps ne peut l’entacher d’aucune turpitude.
Rien ne s’explique, rien n’est prouvé, jamais – tout se voit !!! [/i]»
Si… [i]si ô rang[/i] – de toute infortune!
Notons:
[i]L’AMOUR… commence lorsque l’on accepte la différence de l’autre et son « imprescriptible » liberté. Accepter que l’autre soi habité par d’autres présences que la nôtre, n’avoir la prétention de répondre à tous ses besoins, à toutes ses attentes ; ce n’est pas se résigner à l’infidélité à notre égard. Non, c’est plutôt vouloir comme la plus haute preuve d’amour que l’autre soi tout d’abord fidèle à lui même ; même si cela est une souffrance, féconde. Car elle nous oblige à nous déprendre de nous même, à vivre intensément cette « dépossession » enrichissante.[/i]
[i]Dans la plus amoureuse étreinte, c’est un être libre qui nous étreignons, avec toutes ses possibilités ; mêmes celles qui nous échappent.[/i] (source: Wiki knowledge on Edge leaks.)
avata pour les âmes_ usé(€)s.
paul_(le_poulpe) – en stand by sur Paname: ville des lumières obscures !
– et la nuit brille de mil’éclats… Dors ! Dors mon ami(e), cils en cieux.
Bien à toi.
[b][i]« Je ne suis pas là, je ne dors pas,
«Je suis les mille vents qui soufflent,
«Je suis le scintillement des cristaux de neige,
«Je suis la lumière qui traverse les champs de blé,
«Je suis la douce pluie d’automne,
«Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,
«Je suis l’étoile qui illumine dans la nuit»* [/i][/b]
…
Je suis le trou noir de tout espace
N’allez pas sur mes absences pour pleurer, vous lamenter…
Mes chairs sont dansantes
Et si votre désir est de m’éconduire … soit
– c’est tout à votre guise !
Les lumières de vos rêves vous attendent,
– sans doute pour éclore.
je ne suis pas là.
et m’élude en silence.
Dansez maintenant!
j’ai dit
*Je rends hommage à ces Incantations indiennes.
[u]en conclusion[/u]:
– Il m’appert que ce n’est pas la raison qui fut l’outil privilégié par la conscience humaine, mais bien plutôt une spiritualité fonctionnelle et supra rationnelle: métaphysique religieuse ou philosophie métaphysique – dans l’oubli (ou la négation du corps) – de ce « MOI – (JE) » illusoire, toujours prêt à arrimer… nouer… lier… riveter… clouer… cheviller… enraciner… sceller… toutes ses peurs, ses angoisses, en l’espérance d’une finalité toujours prête à ordonner la finalité anthropologique de ces chairs.
[u]Et ici et maintenant,[/u]
Que cette nouvelle révolution (5771è de l’année hébraïque, 5107è année indienne du KaliYuga, 4708è de l’année chinoise, 2553è de l’année bouddhiste, 2137 pour les bouddhistes tibétains, 2011è de tradition chrétienne, 1431è de Hégire, 1389è de l’an iranien, 218è du calendrier républicain, (…) de gaïa autour du soleil soit pour tous un joli tour de man_âge.
– il faut… bien vivre pour bien mourir.
Alors que tout contenant inclut son contenu, l’homme chercherait-il à inclure ce qui le contient ?
[b]Ô vacuité[/b]
…
@ Sheli, je ne saurai trop vous conseiller un livre sur Jérusalem en 1981, intitulé « Jérusalem again » Edilivre.com. J’en suis l’auteur et j’aurai plaisir à savoir si l’écriture d’un goy vous intéresse.
Mais pourquoi l’écriture d’un goy ne m’intéresserait-elle pas? Je ne suis pas sectaire, moi! ;D 😉
ouvrez les yeux , Sheli !:
la France vient de voter oui
à la participation de l’autorité paslestienne à l’UNESCO !!!