Jack Koch, un dessinateur de talent qui (re)donne le sourire aux maîtres et aux maîtresses!!!



En ce moment, à l’éducation nationale, on parle beaucoup de la violence, des profs insultés, frappés, menacés… pas très réjouissant.

 

Il paraît qu’un professeur des écoles (le nouveau nom des instituteurs et institutrices) sur cinq a déjà été victime d’insultes verbales de la part de parents…. charmant de la part de personnes qui nous confient leurs enfants…

 

Autour de notre métier flotte toujours un parfum de "privilège", les instits seraient bien payés, pour peu d’heures de travail, des vacances à rallonge…

On sait bien, nous, que les 24 heures passées en classe en présence des élèves ne représentent souvent que la moitié, oui je dis bien la moitié! des heures de travail effectives, entre conseils des maîtres, conseils d’écoles, conseils de cycle, rendez vous avec les parents, animations pédagogiques et surtout, préparation de nos cours et correction de nos cahiers! Et qu’on n’est pas si bien payés que ça, vraiment pas, pour le travail et les responsabilités que nous avons.

 

On sait bien, nous, que nous sommes si souvent démunis devant un élève en perdition, une absence de personnels spécialisés, psychologues scolaires et maîtres spécialisés dans les grosses difficultés scolaires, absence due à la quasi suppression des RASED par le gouvernement précédent…

 

On assiste impuissants à la misère sociale qui grossit, à l’inégalité des chances entre nos élèves qui se creuse et, quoiqu’on essaie de mettre en place, on sait que certains enfants ont bien trop de soucis qui ne sont pas de leur âge pour être vraiment disponibles pour l’apprentissage…

 

On râle, souvent, contre des parents qui ont des remarques ou des revendications farfelues, on se partage les mots les plus "drôles" dans les cahiers de liaison, le midi en salle des maîtres, on décompresse, on se moque un peu parfois mais ce n’est jamais méchant… on a besoin de ce sas de décompression!

 

Mais notre métier est magnifique, et on l’aime! On ne se voit rien faire d’autre!


Et pour décompresser, j’ai découvert il y a maintenant 2 ans environ, via facebook, un dessinateur qui est également maître, et qui partage nos quotidiens et comprend parfois que notre métier est vraiment un métier difficile, et que ceux qui ricanent devraient prendre notre place ne serait-ce qu’une semaine pour comprendre!

 

Jack Koch, par ses dessins plein de drôlerie et de tendresse aussi, me donne vraiment le sourire lorsque le soir, je rentre parfois découragée, fatiguée très souvent (bonjour mes cernes après 4 semaines de classe!). Il croque des dialogues, des situations entre élèves, entre maîtresses et élèves, entre maîtres et parents (souvent les plus hilarants!), entre collègues aussi (j’en ai imprimé et affiché plusieurs, mon préféré restant "Et si tu débarrassais tes  épluchures de massicot!")et on a l’impression qu’on aurait pu dessiner (beaucoup moins bien) la même chose car on l’a vécu! On y trouve aussi plein de dessins à usage pédagogique.

 

Dans ses dessins, il y a tout ce qui fait notre métier: la frustration parfois, l’agacement devant l’attitude de certains parents, l’incompréhension mutuelle aussi, mais surtout, SURTOUT, les élans de tendresse devant les enfants en train de grandir et dont nous avons la charge, cette responsabilité énorme et si difficile de les accompagner vers le futur.

 

Pour tout cela, merci Jack!

 

Jack Koch a un blog, que je vous encourage à visiter, http://dangerecole.blogspot.fr/

Il commercialise des agendas avec ses dessins, il fait aussi les illustrations d’albums pour enfants.

27 réflexions sur « Jack Koch, un dessinateur de talent qui (re)donne le sourire aux maîtres et aux maîtresses!!! »

  1. Il est vraiment formidable! Il me fait vraiment beaucoup rire! Toujours dans le vrai et avec l’humour! Ca fait du bien et merci aussi pour cet article qui illustre très bien notre vie de prof.

  2. bonjour sheli – Un beau métier que vous avez là avec il est vrai un nombre d’heures de travail aussi nombreuses qu’insoupçonnées. votre article est intéressant et nous fait découvrir un charmant personnage et dessinateur qui mériterait d’être plus connu. Par contre une chose m’interpelle. Autrefois on avait pas besoin de psy, d’éducateurs, les classes étaient souvent nombreuses et l’équipement réduit au minimum, surtout pour la récupération d’information (internet et traitement de texte informatique) et pourtant j’estime avoir reçu une éducation correcte. habitant le nord du pays les classes étaient assez bariolées: algériens – portugais – fils de mineurs – d’ouvriers et de « riches » mélangés dans une même école et même classe. les établissements étaient gardés par des pions qui assuraient les heures d’étude et l’enceinte n’était pas protégée ni contrôlée en entrée. aujourd’hui les écoles sont de plus en plus transformées en forteresses, les équipements sont modernes, les classes moins chargées et on ne peux plus faire se métier sans l’aide médicale et psychologique, sans avs voir même pour certains établissements sans service de police à la porte – c’est un constat pas une accusation! d’après vous? pourquoi en est-on arrivé là? un bon sujet à débattre me semble t-il – cordialement – JP
    J’ en profite pour rappeler à tous les reporters et lecteurs passant sur cet article,
    qu’un groupe de reporters de C4N met en place sur le site un appel à la solidarité, pour venir en aide à un sans-abri – Je vous invite à prendre connaissance de l’article suivant :
    http://www.come4news.com/les-reporters-de-c4n-se-mobilisent-contre-la-pauvrete-948802
    Nous vous disons tout sur le groupe bénévole « NOUS »
    Cordialement – JP
    [img]https://lh6.googleusercontent.com/-k3KYujMwR3s/UGgxqFIxJhI/AAAAAAAAAVU/wRMMPTFcGgM/s400/sdfnous.jpg[/img]

  3. @JP : Moi aussi j’ai connu cette école là et en suis sortie assez bien éduquée me semble-t-il. Mais ne vous rappelez-vous pas des « mauvais élèves » ? A cette époque c’est vrai les élèves décrocheurs tout le monde s’en fichait : ils étaient orientés en classe de perf’ et de toute façon arrêtaient l’école très vite. Les élèves handicapés n’étaient pas scolarisés : qui aurait pensé qu’un autiste ou un trisomique avait un quelconque intérêt à être scolarisé? Alors, non, je ne regrette pas cette école sans AVS et sans service d’accompagnement, même si l’école d’aujourd’hui est très loin d’être parfaite elle a au moins le mérite d’être ouverte à ses anciens laissés pour compte.
    Cordialement
    Brise, Prof des écoles, Directrice et maman d’un enfant autiste.

  4. Mozarine: visitez sa page facebook (Jack Koch) ou son blog dont je donne l’adresse dans l’article et vous verrez des centaines de ses dessins 🙂

  5. Classes moins chargées, ça se discute, rien que l’an dernier j’avais un CP qui est monté à 32 élèves avec les enfants du voyage, dont 3 handicapés auditifs, parmi lesquels seulement une avait une aide en classe, de 6 heures par semaine…

  6. pour ce qui est des enfants en difficulté et handicapés, oui c’est vrai que des progrès sérieux ont été fait et les avs sont utiles bien sur et ont un métier difficile et non reconnu. par contre les enfants qui étaient dépassés dans les classes pouvaient encore trouver des apprentissages en entreprises et faisaient une carrière manuelle tout à fait respectable. je ne suis pas sur que les mêmes aujourd’hui trouveraient une formation qui leurs convienne. Avec mes quatre enfants dont deux sont scolarisés, j’ai pu me rendre compte du changement entre mes deux grande de 21 ans et le dernier de 7 ans et je trouve que le système éducatif se détériore et que le métier d’enseignant se dévalue de plus en plus et en cela je ne jette aucunement la pierre aux enseignants qui travaillent, il me semble, dans de plus mauvaises conditions. Comme je le disais plus haut à mon époque un instituteur ou institutrice était respecté, ce qui me semble ne plus être le cas aujourd’hui et c’est bien dommage.

  7. Un enseignant toujours un groupe d’enfants variables plus ou moins de 30 têtes… et plus de 50 réformes de l’éducation nationale depuis nos époques (pour les plus de 50 ans disons…) la est la cause externe des problématiques de l’école ou jamais réellement les professionnels et pedagogues ont été suivi. L’évolution de la Sté à pris le dessus sur un plan comptable mais les écoles et l’éducation ne sont surtout pas à aborder mathématiquement.

    L’on parle de moyen, mais une classe c’est toujours 4 murs des tables des chaises un tableau noir, des cahiers et de l’encre, et hier cela suffisait pour qu’un enfant ait les bonnes bases. Aujourd’hui l’on réclame des moyens comme des subventions pour payer des cahiers Walt Disney, des stylos qui sentent la fraise et des tailles crayons Spiderman à mettre dans un sacoche Barbie, le tout jetable aprés 6 mois… jadis l’école nous donnait de quoi écrire et lire et nous donnait même des vitamines chaque soir sous forme de sachets de confiture sans oublier la coquille (brioche)des oranges et un jouet à Noël et nous emmenait même en classe de neige ou en classe verte et visiter les musées de la ville…

    Résultat des classes ou l’on demande à des jeunes enseignants insuffisamment formés désormais de devoir assumer un rôle de transmission des savoirs codifiés (leur métier) mais aussi de jouer les éducateurs, les spécialistes pour des petits handicapés, des assistants sociaux face à des cas qui ne sont plus sociaux pour lesquel il leur sera demandé bientôt de prendre aussi la casquette de gardien de prison avec ce qui tristement évolue en ce sens par les dernières informations.

    La société a déposé le bilan de l’éducation des jeunes mais reporte tout sur les écoles, ce n’est donc pas une question de moyen mais un retour ou chacun devrait reprendre ses responsabilités dans la société. Mais peut-on refaire un film à l’envers quand les producteurs ne voient plus les histoires…

    PH

  8. Toujours aussi objectif PH – la seule chose qui me gène dans votre commentaire c’est cette forme de fatalisme impuissant et résigné. Je pense que c’est au parents de reprendre la main sur l’éducation de leurs enfants et aux enseignants le rôle d’instruction et bien évidemment arrêter de faire faire tout et n’importe quoi aux enseignants. on ne peut pas refaire le film à l’envers mais rien interdit de prendre des leçons du passé pour revenir à des valeurs qui ont fait leurs preuves. Je pense aussi qu’il faut améliorer les formations, augmenter leurs nombres ou donner un statut correct aux auxiliaires et surtout revaloriser la profession en punissant fortement tout acte physique ou verbal contre un professeur. cordialement – JP

  9. Oui JP je sais mes analyses ne sont que le reflet de la sociologie sur le sujet. Je suis issus aussi de l’université en sciences de l’éducation (psycho-socio-pédago-Philo de l’éducation…) et j’ai eu comme profs les grands sociologues qui s’étaient penché alors sur le rapport MAUROY, jute aprés mai 1981 qui faisaient déja l’état des lieux bien avant moi… rapport que Le premier Ministre avait vite enfermé dans un tiroir et qui expliquait ce qu’il fallait faire sur le plan social de l’éducation des écoles jusqu’au solutions à prendre pour les banlieues qui commençaient à chauffer seulement…

  10. Ma réponse est partie trop vite…. suite

    Donc l’état sait trés bien comment faire à toutes les époques mais il n’écoute jamais ses experts objectifs qu’ils entretiennent dans les universités, encore plus quand les vérités objectives arrivent des sociologues de l’époque qui étaient tous des vraix socialistes qui y croyaient encore…

    Déterminer un audit des problématiques nous savons le faire en sciences dites encore humaines, mais la politique est le maître des lieux mis en place par les peuples croyants. La messe est dite… amen…:-))

    Les beaux discours positifs restent des théories, il suffit d’inverser mes réponses pour rèver en pensant qu’un jour les solutions seraient enfin appliquées…

    PH

    Je suis un optimiste à long terme néanmoins…:-))

  11. une chose que j’ai du mal à comprendre est la mauvaise volonté manifeste des politique à améliorer tous ces problèmes liés à l’enseignement. pourtant il me semble que les progrès techniques et commerciaux sont liés à la formation de nos jeunes, quel intérêt de saborder le navire? il y a des raisonnements qui m’échappent. j’ai toujours pensé qu’un pays fort devait avoir un système éducatifs fort et des diplômes de qualités.Bien entendu pour cela il nous faut des enseignants performants également – JP

  12. une chose que j’ai du mal à comprendre est la mauvaise volonté manifeste des politique à améliorer tous ces problèmes liés à l’enseignement. pourtant il me semble que les progrès techniques et commerciaux sont liés à la formation de nos jeunes, quel intérêt de saborder le navire? il y a des raisonnements qui m’échappent. j’ai toujours pensé qu’un pays fort devait avoir un système éducatifs fort et des diplômes de qualités.Bien entendu pour cela il nous faut des enseignants performants également – JP

  13. Bonjours
    Un groupe de reporters de C4N met en place sur le site un appel à la solidarité, pour venir en aide à un sans-abri – Je vous invite à prendre connaissance de l’article suivant :
    http://www.come4news.com/les-reporters-de-c4n-se-mobilisent-contre-la-pauvrete-948802
    Nous vous disons tout sur le groupe bénévole « NOUS »
    [img]https://lh6.googleusercontent.com/-k3KYujMwR3s/UGgxqFIxJhI/AAAAAAAAAVU/wRMMPTFcGgM/s400/sdfnous.jpg[/img]
    Cordialement – JP

  14. Une approche à savoir qui joue sur le décalage entre école et Sté cher JP…

    L’école est reconnue par ses enseignants comme le lieu de l’apprentissage du savoir ETRE, base même des plus hauts chercheurs en sciences humaines donc de l’éducation, une de ses branches.

    Le savoir AVOIR est justement celui que le système dominant désire implanter dans l’éducation nationale depuis un moment.

    L’école et ses divers enseignants sont des gens qui pensent plus homme et non homme au service des avoirs de la société qui elle réclame des formations plus pratiques en rapport direct avec les besoins de la productivité.

    Voila pourquoi depuis toujours les enseignants ont toujours été plus dans une vision « socialiste » sur le plan politique, plus à voir comme une vision sociale et non spécialement politique je précise bien.

    PH

  15. @ TOUS :
    [b]Un exemple à suivre ![/b]

    Sheli a récolté en deux heures de temps plus de mille visites.
    Et pourtant ici, on ne traite pas un sujet People, ou érotique.

    Mais, Sheli a eu l’ingénieuse idée de mettre le lien de son article sur la page du dessinateur, qui lui même l’a partagé, à l’ensemble de ses « amis » sur FACEBOOK.

    Faites en TOUS autant quand vous avez une page facebook, et que vous connaissez la personne qui est « interpellée » dans l’article !!

    BRAVO SHELI !!!

  16. Bonjour,

    Je viens de découvrir votre blog par une amie institutrice (pardon, professeur des écoles) et cet article m’a particulièrement « parlé »…
    Pourtant je ne suis pas instit'(pardon professeur des écoles), je ne travaille pas en zep, cela ne fait pas dix ans que je suis dans l’éducation nationale…

    Mais j’ai commencé cette rentrée, un travail de surveillante (pardon personnel de la vie scolaire) dans un collège de campagne.

    Comme les amis à qui j’en ai parlé avant de commencer, je me suis réjouie de trouver un travail à « mi-temps » (annualisé) dans une école… « trop bien, pas beaucoup d’heures, toutes les vacances scolaire, ça va être tranquille Emile !! »…
    Mais après seulement quelques semaines, je me rend compte à quel point, non ce n’est pas « tranquille Emile »…

    Les insultes des parents, done.
    Les insultes des élèves, done.
    La sensation de ne rien pouvoir faire pour aider certains élèves, done.
    Le sentiment de parfois servir de dernier relais pour les élèves difficiles dont les profs ne veulent plus en cours, done.
    Les prises de têtes avec les élèves qui mettent le bazar pendant 1h dans une permanence de 50, done.
    Ce sentiment de ne plus savoir à quel saint se vouer pour essayer de ramener un peu de calme, d’humanité, de douceur et de compréhension auprès d’élèves qui n’y croient plus, done.

    Oui je me suis dit que ce serait bien tranquille de retourner dans un collège et surveiller.
    Maintenant je ne me dit plus du tout la même chose et je l’avoue j’attends les vacances avec impatience.

    Pourtant j’adore mon travail, c’est une révélation après tant et tant d’années d’intérim dans divers métiers inintéressants.
    Certains élèves m’ont particulièrement touchée, j’ai envie de les aider, leur faire comprendre que l’école n’est pas une torture, et les profs ou tout autre autorité ne sont pas des gardiens de prisons…

    Mais ce n’est clairement pas facile. Tellement à faire, si peu de temps… Et toute l’écoute, et les tentatives d’humanité que l’on pourrait essayer d’inculquer à certains enfants révoltés et violent, partent en éclat dès le retour à la maison parfois…

    Et pourtant, ce n’est qu’un collège de campagne.

    Alors, oui j’adore mon métier, je retrouve avec plaisir le « chemin des écoliers » mais parfois je me dit qu’un peu d’aide, un peu d’écoute, ça ferait du bien, parce que nous les surveillants, nous ne sommes absolument pas formés pour porter tout le poids de ces responsabilités.

  17. Merci So pour ce témoignage en direct de la réalité.
    La question est de savoir si vous en étant au coeur de la situation, pensiez que cette situation pourrait être réversible désormais ?

    Et comme vous le dites vous n’êtes pas dans un secteur qui serait spécialement ciblé comme banlieue ni en dite prioritaire, en quoi c’est une autre question.

    Merci

    PH

  18. @ SO :
    Vous devriez vous inscrire sur C4N et publier votre expérience, votre ressenti… Nous sommes certains que cela intéresserait nos lecteurs !
    Alors, à bientôt peut-être 😉

  19. Et si certains site comme C4N entraient dans les écoles via les profs et les surveillants, via un grand écran…

    Ces jeunes qui ne voient un autre horizon que le leur, seraient peu être heureux de voir un monde différent en échangeant avec d’autres dans des réflexions plus utiles pour eux et la société au final ? Pourquoi même ne pas ainsi créer des parrainages, combiens se plaignent de l’état des jeunes mais combien apportent des solutions ? Combien parlent mais ne font rien de plus hors d’un PC pour les autres…

    Et Si internet était réellement un outil de communication…

    PH

  20. Sophy, nous ne sommes pas ici sur cette page pour faire du chiffre mais pour répondre à un sujet sérieux…:-)) rejoignez-nous, vous êtes en train de vous faire avaler par le système du bénévolat comme chez Emmaüs… vous n’avez même plus le temps de gagner votre euros symbolique…:-))

    Prenez soin de vous vous n’allez pas tenir ainsi jusqu’à Noël…:-))

    PH

  21. bien vu PH – ce serait certainement mieux que le voyeurisme latent sur Facebook. Des sujets et des réponses multiples pour pouvoir se forger une opinion – ce serait certainement un plus pour les écoles – JP

  22. Merci pour ce magnifique article, Sheli!!! Vais aller voir les dessins de Jack Koch de ce pas. Le témoignage de So est passionnant aussi.
    Je reviendrai !

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