Fondamentalement, l'Islam est une religion de paix et d'amour. La recrudescence du terrorisme entraine son lot d'hostilités envers la communauté musulmane.
Brandissant le spectre de la Guerre Sainte, glorifiant les actes suicidaires en les qualifiant de "martyrs", les faux prophètes conditionnent ce fanatisme d'un aspect quasi-mystique.
KAMIKAZE, une profession de foi.
Ethymologiquement, Islam est un dérivé du mot Salam, qui signifie paix. Les oulémas réfutent cette théorie du terrorisme. L'extrêmisme exacerbé de ces faux prophètes conduit la communauté musulmane a vivre dans les préjugés, émanant de ce fanatisme religieux. Le conditionnement de ces foules atteint des summums de propagande meurtrière.
Qualifié de "martyrs" du peuple, les kamikazes présentent un visage bien différent de ce que l'on pensait. Les derniers attentats en Grande-Bretagne ne font que confirmer ce changement radical. Des médecins terroristes, à l'opposé de leurs fonctions, le serment d'Hippocrate bafoué. Une filière bien inquiétante voit le jour. Des enfants transformés en bombes vivantes, pour la gloire d'un dieu. Le fanatisme étend son magnétisme et touche tous les secteurs.
La communauté musulmane a beau condamner cette spirale de violence, l'Islam inspire la crainte. Nous sommes les premiers fautifs de cette dégradation. La France, pendant des années a abriter l'imam Khomeyni , qui a transformé l'Iran en dépositaire de ce fanatisme religieux.
Ben Laden n'est qu'un produit de la CIA. Les Etats-Unis n'ont fait qu'aggraver la montée de ce terrorisme aveugle, à leurs profits. La communauté musulmane est bien la victime de ces manipulations politico-financières.
L'innoncence est la première victime de cette guerre sans fin. L'idéologie extrémiste n'est que le reflet de ceux qui l'ont crée. La soif de puissance des maitres du monde conduit vers ce cheminement, parsemé de cadavres, morts pour la gloire d'un dieu, qui aurait la couleur du billet vert.
Les faux prophètes sont les enfants de cette politique. L'Islam ne porte pas la responsabilité de cette supercherie. Le piedestal vacille et l'avidité engloutira un jour ou l'autre les vrais coupables.