L’iPhone annoncé par Steve Jobs a tout pour faire malheur. Ça n’interdit pas de voir ses faiblesses.

Pour ceux qui veulent aller vite sur ce sujet abondamment couvert, j’ai retenu ce site australien APC où vous trouverez, côte à côte (mais sur deux pages différentes) dix choses que l’on peut aimer et dix que l’on peu haïr à propos du iPhone.

Le bon : le design superbe, les sensors qui permettent à l’iPhone de connaître son environnement, l’utilisation de Mac OS X, le fait de pouvoir choisir le message qu’on veut entendre sur la messagerie vocale, etc.

Le moins bon : la batterie intégrée et de courte durée, la limitation du choix du réseau (Cingular aux États-Unis), la transmission trop lente des données (pas de 3G), l’écran tactile, la mémoire flash limitée à 8 Go, etc.

Panégyriste et critique sont d’accord: ils sont furieux de devoir attendre 2008 que l’iPhone soit disponible en Australie.

Dans un cas comme celui-ci il est toujours bon de regarder en direction de Wall Street. Tout le monde a noté une hausse légèrement supérieure à 8% des actions d’Apple suite à la présentation de Jobs. Forbes note la chute , tout aussi révélatrice des actions de Palm (5,7%) et de Research in Motion productrice du Blackberry (8%).

Ceux qui veulent en savoir plus trouveront des liens à la couverture complète de C|Net ici . J’ajoute tout ce qui s’y réfère sur Wikio en français et en anglais . A dix heures du soir (San Francisco), il y avait déjà plus de 2.500 photos du iPod sur Flickr et 65 vidéos sur YouTube .

Je vous rappelle le billet posté cette après-midi (heure de SF) sur le vidéo de Jobs présentant l’iPhone et le doute qui semble encore planer sur le nom (qui appartient à Cisco).

Beaucoup d’entre nous auront bientôt (ou rêverons d’avoir) un iPod ou un iPhone, mais les ordinateurs sont poussés sur le strapontin chez Apple qui a supprimé “computer” de son nom et ne s’appelle plus que Apple Inc.

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