Une nouvelle fois pointé du doigt, dans une affaire de vente de stupéfiants, internet n’en finit plus d’être l’intermédiaire dans des fraudes de plus en plus variées et diverses. Comme bon nombre d’inventions dont l’utilisation finale a été détournée à des fins militaires ou crapuleuses, internet tarde à mettre en place des protections efficaces et des lois, destinées à limiter son emploi à des fins malhonnêtes.



 Une chose nous interpelle, chaque utilisateur d’internet doit souscrire un abonnement auprès d’un fournisseur d’accès et ceux qui éditent des sites internet doivent se les faire héberger pour pouvoir être visibles sur la toile. Un hébergement est contrôlé ou du moins devrait l’être par l’organisme qui possède les serveurs qui lui-même doit faire appel à un fournisseur d’accès qui devrait être tenu de surveiller ce qui se diffuse par son intermédiaire

Au même titre que les filtres parentaux, pourquoi ne pas équiper tous ces intermédiaires d’outils informatiques qui protégeraient de la fraude en bloquant les sites de vente en ligne de produits prohibés, comme les drogues qui en plus d’être interdites à la vente sont fabriquées avec tout et n’importe quoi. Il devrait être obligatoire, pour mettre en ligne un site de vente, quel qu’il soit, de montrer patte blanche en obligeant l’ouverture d’un compte qui serait soumis à des contrôles et pourrait être supprimé  purement et simplement. La question est de savoir si nos dirigeants Français, Européens et mondiaux ont vraiment la volonté de mettre un terme à ces utilisations. Les utilisateurs de sites internet et de blog le savent bien, il est extrêmement difficile de se faire référencer correctement sur internet. Il faut s’inscrire sur des annuaires et des moteurs de recherche qui devraient avoir l’obligation de refuser le référencement de sites non conformes à nos lois. Nous pensons qu’il  faut pénaliser les vendeurs et les acheteurs pour mettre un terme à l’impunité qui entoure les « Marchants » et légaliser les sites commerçants, au même titre que tous les commerces qui doivent, eux, obtenir licences et inscription au registre du commerce.