Une nouvelle fois pointé du doigt, dans une affaire de vente de stupéfiants, internet n’en finit plus d’être l’intermédiaire dans des fraudes de plus en plus variées et diverses. Comme bon nombre d’inventions dont l’utilisation finale a été détournée à des fins militaires ou crapuleuses, internet tarde à mettre en place des protections efficaces et des lois, destinées à limiter son emploi à des fins malhonnêtes.
Une chose nous interpelle, chaque utilisateur d’internet doit souscrire un abonnement auprès d’un fournisseur d’accès et ceux qui éditent des sites internet doivent se les faire héberger pour pouvoir être visibles sur la toile. Un hébergement est contrôlé ou du moins devrait l’être par l’organisme qui possède les serveurs qui lui-même doit faire appel à un fournisseur d’accès qui devrait être tenu de surveiller ce qui se diffuse par son intermédiaire
Au même titre que les filtres parentaux, pourquoi ne pas équiper tous ces intermédiaires d’outils informatiques qui protégeraient de la fraude en bloquant les sites de vente en ligne de produits prohibés, comme les drogues qui en plus d’être interdites à la vente sont fabriquées avec tout et n’importe quoi.
Internet est effectivement un lieu propice à toutes déviances… Il y a certes les vendeurs, mais il ne faut pas négliger les acheteurs, sans acheteurs, plus de vendeurs… Et en ce qui concerne les drogues douces par exemple le cannabis, il faudrait dans un premier temps une loi commune quant à son utilisation ne serait ce dans l’espace européen, ce qui n’est pas encore le cas…