Je me suis réveillée ce matin, et j’ai appris…J’ai appris, j’ai saisi que tu étais parti … J’ai tout d’abord pris cet uppercut en pleine face, cette violente réalité est venue me frappée, fort très fort, trop fort.
Je me suis réveillée ce matin, et j’ai appris…J’ai appris, j’ai saisi que tu étais parti … J’ai tout d’abord pris cet uppercut en pleine face, cette violente réalité est venue me frapper, fort très fort, trop fort. Mon cœur s’est brisé et pas au sens figuré. Les larmes sont arrivées, les souvenirs, les mots, les sourires…
On fait comment à présent ? On fait comment pour combler cette absence, ces lourds silences, mes maux qui resteront dorénavant sans réponse, mes articles sous lesquels les commentaires manqueront quoi qu’ il arrive? Je fais comment quand mes doigts qui se posent sur une touche de clavier, tremblent rien qu’à l’idée que tu ne me liras plus ? Alors on pleure. On se remémore, on se dit que la vie est cruellement dure. Et là, on se dit que l’on t’a connu, on a la chance de t’avoir connu.
Oui …
Un homme, un Monsieur, et quel Monsieur ! Admirable, attentionné, aimant, cultivé. Tu aimais la vie, tu aimais les gens, tu aimais les chats, les causes perdues, défenseur des opprimés, envers et contre tout. Tu avais ce langage, ce verbiage que peu ont encore. Manier avec tact et désinvolture les lettres tout en posant chacune d’entre elles. Tu avais ce don, de transmettre, d’exploiter nos sens, là même où on se sous-estimait nous-même.
Aujourd’hui, j’ai vu, la déferlante de condoléances, de témoignages qui venait pour toi ou vers toi, je ne sais pas trop comment définir tout cela. Quoiqu’il en soit, Mon Ami, on est unanime, tous, je dis bien tous… Tu nous manques déjà, et moi tu me manques tout court.
C’est en ce lieu, ou nous avons passé beaucoup de temps, que je tiens à te faire un hommage, pas le dernier bien entendu, mais un hommage… Tu aimais les mots, tu en connaissais tous leurs sens. Tu aimais nous lire, et nous rendre encore meilleurs … Tu étais investi dans tout ce que tu entreprenais, tu prenais le temps pour chacun de tes amis, quiet à les préserver des choses trop dures à encaisser
… Et ce soir, je me sens bien seule.
A toi.
Mademoiselle
Un grand
Monsieur,un maître des mots qui n’avait de cesse que de porter, encourager et conseiller celles et ceux qui se prêtaient à l’écouter
l’écouter. « Ludo » pour les uns, Guy Tounet pour d’autres, un Homme qui reste et restera dans les coeurs et les mémoires, un homme parmi les hommes de la race de ceux qu’on ne fait plus. Un hommage vibrant, en ce lieu qui a vu naître tant de passions et de debats. La famille C4n est en deuil aujourd’hui et que meilleur endroit que celui ci pour lui rendre le plus beau des hommages. Tu nous manques mon bon Guy et merci à ta mademoiselle pour ce magnifique et poignant témoignage.
Je regrette de n’avoir pas plus correspondu avec ce si gentil interlocuteur.
Nous n’avons jamais eu que des liens amicaux et chère Demoiselle permettez moi de vous embrasser pour le courage dont vous faites preuve à travers vos lignes ci-dessus
Yves
[b]C’est une amie qui m’a appris la mort de Ludo (Guy Tounet). Vraiment dommage que ce Grand Monsieur soit parti si tôt ! Je salue, moi aussi, sa mémoire. Il n’est pas mort, puisque, seule, son âme est partie.
Au revoir Ludo. A bientôt[/b]
Yves, Dominique, un incroyable monsieur en effet je vous le concédé qui a la fois à tant fait pour notre site mais aussi pour our chacun d’entre nous. Un homme incroyable d’une gentillesse à toutes épreuves qui n’avait de cesse que de tirer le meilleur d’entre nous. Mon bon Guy tu nous manques comme tu n’as pas idée et à jamais.
Quoi Ludo décédé…Trop triste…il était tellement sympathique et marrant..