Le "Super Tuesday", avec ses scrutins dans 24 Etats américains, a livré son verdict. Ou presque. Du côté des Républicains, John McCain, sénateur de l’Arizona, prend une bonne longueur d’avance sur ses concurrents, l’ancien gouverneur de l’Arkansas, Mike Huckabee, et celui du Massachusetts, Mitt Romney. Ainsi, le héros de la guerre du Vietnam semble bien parti pour être le candidat républicain. Il reste néanmoins que plusieurs Etats du sud, plutôt favorable à l’ancien pasteur Mike Huckabee, n’ont pas encore voté.
Du côté des démocrates, en revanche, c’est extrêmement serré entre Hillary Clinton et Barack Obama. Si la sénatrice de New-York a pris une légère avance en nombre de délégués (760 contre 692), le sénateur de l’Illinois l’a emporté dans un plus grand nombre d’Etats (13 contre 9). Il s’agit d’un duel très incertain, et donc palpitant.
Pour ma part, je soutiens Barack Obama. D’abord, parce qu’il est membre du part Démocrate. Ensuite, il est jeune, charismatique, il attire de jeunes électeurs à s’engager en politique. Enfin, il amènerait du neuf aux Etats-Unis en mettant fin au cycle Bush-Clinton qui a commencé en 1988.
Jérôme Charré
Le "Super Tuesday", avec ses scrutins dans 24 Etats américains, a livré son verdict. Ou presque. Du côté des Républicains, John McCain, sénateur de l’Arizona, prend une bonne longueur d’avance sur ses concurrents, l’ancien gouverneur de l’Arkansas, Mike Huckabee, et celui du Massachusetts, Mitt Romney. Ainsi, le héros de la guerre du Vietnam semble bien parti pour être le candidat républicain. Il reste néanmoins que plusieurs Etats du sud, plutôt favorable à l’ancien pasteur Mike Huckabee, n’ont pas encore voté.
Du côté des démocrates, en revanche, c’est extrêmement serré entre Hillary Clinton et Barack Obama. Si la sénatrice de New-York a pris une légère avance en nombre de délégués (760 contre 692), le sénateur de l’Illinois l’a emporté dans un plus grand nombre d’Etats (13 contre 9). Il s’agit d’un duel très incertain, et donc palpitant.
Pour ma part, je soutiens Barack Obama. D’abord, parce qu’il est membre du part Démocrate. Ensuite, il est jeune, charismatique, il attire de jeunes électeurs à s’engager en politique. Enfin, il amènerait du neuf aux Etats-Unis en mettant fin au cycle Bush-Clinton qui a commencé en 1988.
Jérôme Charré
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