Des femmes battues quittent leur domicile parce qu’elles craignent pour leur vie et celle de leurs enfants.
Fatima a reçu les premiers coups pour une stupidité. Elle n’avait pas acheté ce qu’il voulait au marché. Il s’est énervé en ouvrant le frigo. Il est devenu violent… Fatima se demande pourquoi elle n’est pas partie plus tôt de la maison. Les choses n’étaient pas si simples. Après ses crises de violence, son homme redevenait doux comme un agneau. Il promettait de ne plus me faire du mal. Les femmes battues subissent en réalité une spirale de violences.
Tout commence par une période de tensions au cours de laquelle la violence verbale est très présente. Puis, pour un événement mineur comme une soupe qui manque de sel, les coups se perdent. Enfin, le soufflé retombe. L’homme s’excuse, promet qu’il ne le fera plus… jusqu’à la prochaine fois.
Cette spirale peut durer des années avant que la compagne ne réagisse. Les femmes battues ne quittent leur domicile que parce qu’elles viennent d’être agressées et craignent pour leur vie et celle de leurs enfants. Ces femmes sont désemparées, souvent sans argent ni vêtements. Elles doivent retrouver leur estime, quitter leur position de victime, décider de leur avenir. Il ne faut pas croire que la violence domestique ne touche que les milieux défavorisés, même si certaines cultures sont davantage machistes. Toutes les classes sociales et toutes les tranches d’âge vivent ce problème. La violence, qu’elle soit verbale, psychologique, physique ou sexuelle, trouve ses origines dans les rapports inégalitaires entre les hommes et les femmes, d’où l’importance d’une éducation non sexiste au sein de la famille, de l’école ou à travers les médias. Les clichés ont la vie dure : les garçons sont destinés à devenir des êtres forts tandis que les fillettes apprennent à gérer la sphère familiale. Il suffit d’observer les catalogues de jouets : aux petites filles, les dînettes et aux petits garçons, les jeux de construction. Ce schéma est pourtant dépassé dans la vie de beaucoup d’hommes et de femmes aujourd’hui.
François Negret
Il était vital, pour moi, de ne pas passer à côté du personnage de Serguei. J’avais vu
jouer François dans le film de Jean-Claude Brisseau De bruit et de fureur
et il a marqué mon esprit, pour toujours. Je n’ai rencontré qu’un seul comédien
pour jouer Serguei : lui. Là encore cela échappe à la compréhension. Ce sont les
certitudes de sa voix, de son visage, de la manière qu’il a de bouger son corps.
François est un être silencieux dont la voix, lorsqu’elle sonne, nous descend le
long de la colonne vertébrale et dont le regard, quand il s’arrête sur nous, nous
fixe pour une éternelle petite durée.
Alain Ollivier et Dominique Frot
Pardon grosse erreur dû au copié collé. Voici le commentaire que je voulais poster :
L’AFFAIRE POLANSI a été mise à jour et c’est Maître Georges Kiejman qui défend Polanski MAIS AUSSI michel dubec le psy qui justifie le viol ! Donc ce même Kiejman défend notre pervers national : michel dubec, le psy qui justifie le viol, déjà condamné par ailleurs par le TGI de Paris pour injures publiques à caractère raciste et religieux, et que ce même expert psychiatre auprès des tribunaux qui officie toujours actuellement et malgré une interdiction d’exercer la médecine pendant 3 mois (avec sursis) suite à une décision du Conseil départemental du Conseil de l’Ordre des médecins datant du 4 décembre 2009, cette décision faisait suite à plusieurs dizaines de plaintes, et la condamnation de michel dubec concerne la VIOLATION DU SECRET MEDICAL.
Alors, ne peut-on pas légitimement s’interroger sur le prochain pervers (et pourquoi violeur et/ou pédophile) mais toujours PUISSANT RICHE, et CELEBRE, dont Kiejman défendra les droits ?
N’hésitez pas à poster sur vos blogs et sites préférés ces informations, et bien entendu de les diffuser largement à vos listes car le combat continue; plus que jamais
Plus d’infos sur : dubeclepsyquijustifieleviol.over-blog.fr
bojour, j’ai été battue, humiliée par le père de mon fils. mais le pire, c’est la manipulation idéologique qu’il a exercé sur notre fils. ceci porte un nom : le Syndrome d’Aliénation Parentale (sap), dont tout le monde se fout (pour ceux, et je parle bien sur de professionnels, qui connaissent).
j’ai 52 ans, mon fils 23 ans, cela fait plusieurs années qu’il ne veut plus me voir, je suis diabolisée à ses yeux.
j’accuse les travailleurs sociaux (assistantes sociales, éducateurs) de nous juger, et non de nous entendre, surtout quand c’est une femme qui part sans son enfant (pour sauver son enfant et sa vie).
tous ces discours, ces lois ne sont pratiquement jamais appliquées, on est toujours abandonnée.
il faut de l’empathie, de l’écoute, de l’aide physique (accompagnement pour démarches etc..) et morale. bien peu sur cette terre, en sont capables.
Halte aux violences conjugales!!!