Ecoutes électroniques –
DGSE : Orange, un nid d’espions !
Une enquête du Monde révèle les liens étroits
entre la DGSE et Orange.
Des personnes habilitées secret-défense mènent
des activités de renseignement [b]« à l’insu de
tout contrôle ».[/b]
« Selon l’enquête de la CNIL, les données
personnelles issues de Copains d’avant,
Facebook, Twitter, Trombi, LinkedIn et
Viadeo furent aspirées sur l’annuaire
Pages Blanches, histoire d’enrichir ses
pages.
Problème, jamais Pages Jaunes n’a cru bon
d’informer les 25 millions de personnes
ouchées. Le Conseil d’État jugera cette
collecte et ce traitement déloyales et
illicites.
Autre chose, le droit des données personnelles
demande aussi que les données soient collectées
« pour des finalités déterminées, explicites
et légitimes ». On apprend ici que la société
avait croisé les données à caractère personnel
de l’annuaire universel avec celle du réseau
Facebook, histoire d’exclure les non-résidents
français. Or le Conseil d’État estime « qu’un
tel traitement n’est pas compatible avec la
finalité initiale de fourniture d’annuaires
universels pour laquelle ces données avaient
été collectées. » »
Ecoutes électroniques –
DGSE : Orange, un nid d’espions !
Une enquête du Monde révèle les liens étroits
entre la DGSE et Orange.
Des personnes habilitées secret-défense mènent
des activités de renseignement [b]« à l’insu de
tout contrôle ».[/b]
http://www.itespresso.fr/ecoutes-electroniques-dgse-orange-nid-espions-73887.html
Liens entre Orange et la DGSE :
vers des poursuites pénales ?
http://www.nextinpact.com/news/87176-liens-entre-orange-et-dgse-vers-poursuites-penales.htm
[b]Au Conseil d’État et à la CNIL, un coup de
frein sur la collecte des adresses IP[/b]
http://www.nextinpact.com/news/87162-au-conseil-detat-et-a-cnil-coup-frein-sur-collecte-adresses-ip.htm
« Selon l’enquête de la CNIL, les données
personnelles issues de Copains d’avant,
Facebook, Twitter, Trombi, LinkedIn et
Viadeo furent aspirées sur l’annuaire
Pages Blanches, histoire d’enrichir ses
pages.
Problème, jamais Pages Jaunes n’a cru bon
d’informer les 25 millions de personnes
ouchées. Le Conseil d’État jugera cette
collecte et ce traitement déloyales et
illicites.
Autre chose, le droit des données personnelles
demande aussi que les données soient collectées
« pour des finalités déterminées, explicites
et légitimes ». On apprend ici que la société
avait croisé les données à caractère personnel
de l’annuaire universel avec celle du réseau
Facebook, histoire d’exclure les non-résidents
français. Or le Conseil d’État estime « qu’un
tel traitement n’est pas compatible avec la
finalité initiale de fourniture d’annuaires
universels pour laquelle ces données avaient
été collectées. » »