Vingt jeunes tunisiens sont morts et d’autres sont portés disparus après le chavirage de leur bateau à 70 Km de Mahdia, ils tentaient d’atteindre l’île italienne de Lampedusa le week-end avant dernier.
Cette catastrophe a été révélée par les médias suite à la découverte de trois cadavres accrochés dans les filets par des pécheurs opérant dans la région du sinistre dimanche 20 avril dernier. Selon le journal « Alousbouai» Les trois cadavres ont été identifiés comme étant ceux de Makrem Jbali (22 ans), Hamzi Ben Ahmed (21 ans) et Mohamed Dalhoum (24 ans), trois jeunes du village de M’hamdia, un faubourg pauvre de la banlieue sud de Tunis. Un quatrième cadavre, celui de Atef El Kiri (27 ans), a pu être aussi repêché une semaine après.
D’après les médias, les quatre victimes repêchées faisaient partie d’un groupe d’une vingtaine de jeunes de la même région. La nuit du samedi 19 avril, ils s’étaient donnés rendez-vous dans la forêt d’El Hmada. Forêt de la plage de Maloulech du gouvernorat de Mahdia. Vers deux heures et demi du matin, en pleine mer, leur voyage aurait tourné au cauchemar. L’un des sinistrés aurait appelé à cette heure là sa mère qui, sans pouvoir reconnaître sa voix, aurait entendu le moteur et le vacarme de la tempête avant d’être coupés. Un autre a pu joindre sa fiancée au même moment et a pu l’informer de la gravité de la situation avant que la communication ne soit à son tour coupée. Depuis, cette dernière n’a pu le rappeler.
Le journal sans indiquer si les gardes côtes et les autorités ont été immédiatement alertés, précise que ces dernières n’ont entrepris des recherches qu’après la découverte des premiers corps.
Jusqu’à présent, les autorités officielles ont observé un mutisme complet malgré l’ampleur de la catastrophe.
Vingt jeunes tunisiens sont morts et d’autres sont portés disparus après le chavirage de leur bateau à 70 Km de Mahdia, ils tentaient d’atteindre l’île italienne de Lampedusa le week-end avant dernier.
Cette catastrophe a été révélée par les médias suite à la découverte de trois cadavres accrochés dans les filets par des pécheurs opérant dans la région du sinistre dimanche 20 avril dernier. Selon le journal « Alousbouai» Les trois cadavres ont été identifiés comme étant ceux de Makrem Jbali (22 ans), Hamzi Ben Ahmed (21 ans) et Mohamed Dalhoum (24 ans), trois jeunes du village de M’hamdia, un faubourg pauvre de la banlieue sud de Tunis. Un quatrième cadavre, celui de Atef El Kiri (27 ans), a pu être aussi repêché une semaine après.
D’après les médias, les quatre victimes repêchées faisaient partie d’un groupe d’une vingtaine de jeunes de la même région. La nuit du samedi 19 avril, ils s’étaient donnés rendez-vous dans la forêt d’El Hmada. Forêt de la plage de Maloulech du gouvernorat de Mahdia. Vers deux heures et demi du matin, en pleine mer, leur voyage aurait tourné au cauchemar. L’un des sinistrés aurait appelé à cette heure là sa mère qui, sans pouvoir reconnaître sa voix, aurait entendu le moteur et le vacarme de la tempête avant d’être coupés. Un autre a pu joindre sa fiancée au même moment et a pu l’informer de la gravité de la situation avant que la communication ne soit à son tour coupée. Depuis, cette dernière n’a pu le rappeler.
Le journal sans indiquer si les gardes côtes et les autorités ont été immédiatement alertés, précise que ces dernières n’ont entrepris des recherches qu’après la découverte des premiers corps.
Jusqu’à présent, les autorités officielles ont observé un mutisme complet malgré l’ampleur de la catastrophe.
Lire la suite : http://tunisiawatch.rsfblog.org/archive/2008/04/29/harragas-une-nouvelle-tentative-d-immigration-clandestine-ve.html.