Une manière sournoise de faire ombrage à Monsieur Al Gore, qui n'oubliant pas est membre du conseil d'administration d'Apple. L'Iphone, après une batterie de test se révèle toxique… Le rapport établit qu'Apple va à l'encontre de la politique écologie, affichée par Stéve Jobs. Au détriment de la nature pour le plus grand bonheur des actionnaires… Non, Bill Gates n'était pas caché dans une éprouvette !!
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ALLO !!
Des traces de phatales, notamment présent dans la gaine PVC du câble audio. Un rapport de l'IRS accable ce produit, touchant l'appareil reproducteur. Le plus insolite, étant la batterie. La batterie faisant partie intégrante du système de fonctionnement, collée, soudée et quasiment impossible a désolidariser de l'appareil. En quelque sorte, on achète une voiture dont on ne peut ouvrir le capot !! Stéve Jobs avait présenté, en mai 2007, tout un programme incluant l'usage de composants plus propres et des actions favorisant le recyclage. Donc, incidemment, Apple reconnait publiquement avoir utilisé des composants nocifs… La réalité est bien plus simple. Apple, comme toutes les autres sociétés, maximise les profits, en diminuant le coût de production, tant pis pour l'environnement et tant mieux pour les actionnaires. Les nouveaux modèles, l'Imac en particulier, présentent toutes les caractéristiques de la volonté d'aller vers des matériaux plus nobles. L'Iphone s'avère "toxique", les médisants affirmeront que Bill Gates a financé les tests de Greenpeace !! La réalité économique diffère de la volonté écologique. Apple n'échappe pas à la règle, malgré il faut bien le reconnaitre, des efforts évidents. L'action de Greepeace est sujette à caution, une attitude à la limite de la provocation. Une campagne qui serait diligentée contre Apple, en oubliant les efforts accomplis par la firme à la pomme. Un petit manque de transparence et une volonté de nuire. La seule grosse imperfection, émanant de cette batterie, le reste est limite d'une désinformation, en exagérant la dangerosité (non prouvé) de l'Iphone. Greenpeace extrapole…
les 14 interpellés remis en liberté
Action de Greenpeace à Dampierre: les 14 interpellés remis en liberté
GIEN (Loiret) – Les 14 militants de Greenpeace, qui avaient été placés en garde à vue vendredi après une action à la centrale nucléaire de Dampierre-en-Burly (Loiret) visant à dénoncer le réacteur de 3e génération EPR, ont été remis en liberté, a-t-on appris samedi auprès de leur avocat.
Ils sont « sortis libres » de la gendarmerie de Gien (Loiret) vendredi entre 21H30 et 22H30, a précisé à l’AFP Me Alexandre Faro.
Le peloton de gendarmerie de haute-montagne était intervenu vendredi après-midi afin de déloger des militants installés sur la tour de refroidissement.
Huit militants à l’intérieur de l’enceinte de la centrale et six à l’extérieur avaient alors été interpellés et placés en garde à vue à Gien.
Les membres de l’association écologiste avaient annoncé avoir l’intention, lors de leur descente en rappel contre la tour de refroidissement, de dessiner sur cette tour une lampe basse consommation de 20 mètres de haut et d’y peindre le slogan « EPR inutile ».
La construction de l’EPR doit commencer à la fin de l’année sur le site de la centrale nucléaire de Flamanville (Manche), pour une mise en service prévue en 2012.
(©AFP / 20 octobre 2007 11h45)