Georges Fenech, actuellement accusé de recel de biens sociaux dans la sulfureuse affaire de l'Angolagate, Président de la controversée Miviludes (Mission interministérielle de lutte contre les sectes), est un homme dont les amitiés douteuses laissent perplexes, et sont en droit d'inquiéter les citoyens.
Georges Fenech…
Comment un homme qui n'hésite pas à s'associer avec ce qu'il prétend combattre, un homme qui ferme les yeux sur les exactions de ses amis, un homme qui touche de l'argent de la part d'un trafiquant d'armes en se permettant de répondre au tribunal "je n'ai rien contre les marchands d'armes français" quand on parle de centaines de milliers d'enfants morts sur des mines antipersonnelles vendues à l'Angola, un homme qui se mouille dans des affaires avec des dictateurs corrompus… Comment cet homme peut-il nous faire croire à la tolérance zéro ?
Comment un gouvernement peut-il placer cet homme à la tête d'une mission interministérielle et l'entendre dire "je vais sauver les enfants des sectes" quand il ne cille pas face à la mort des enfants africains, ou face à la pédophilie ?
Celui qui s'est longtemps prétendu être le chancre de la tolérance zéro en matière de justice. Celui qui se présente comme le protecteur de l'enfance face aux sectes, n'hésitant pas à avancer des chiffres allant jusqu'à 80000 pour parler des enfants en danger dans les mouvements religieux minoritaires, alors que les chiffres des différents ministères montraient 2 cas de maltraitance légère reliés à une dérive sectaire, dans l'ensemble du pays (ce qui fut bien ennuyeux pour lui puisque cela tendait à faire penser qu'il était moins dangereux pour un enfant de vivre dans une secte qu'en dehors, statistiquement parlant).
Un Georges Fenech qui se défend toujours de tout, ardent défenseur d'une justice implacable, est-il victime d'une incapacité de choisir ses amis ? Ou a-t-il une conscience à deux vitesses ?
Bien sûr, en plein dans l'affaire de l'Angolagate, tout le monde sait qu'il a touché 100 000 francs du marchand d'armes Pierre Falcone. Georges Fenech se défend d'avoir su qu'il était marchand d'armes, mais pourtant le Général Mouton, qui lui avait présenté Falcone à sa demande, déclare au tribunal que Fenech était parfaitement au courant de la qualité de trafiquant d'armes de Falcone… Et ne se trouve-t-il pas que Gilles-William Goldnadel, grand ami de Georges Fenech, est aussi l'avocat de Arcadi Gaydamak, l'associé de Pierre Falcone en fuite en Israël.
Et ne se trouve-t-il pas non plus qu’un membre de l’APM, protégé de Georges Fenech, le magistrat Jean-Louis Hérail a comme par hasard classé une affaire concernant Gaydamak. Et qu'en été 2000, quand le fisc commence à s’intéresser à Falcone et Gaydamak, un responsable de l’APM va supprimer toute trace de Falcone dans l’ordinateur de l’APM. Sur ordre de qui ?
Bon, l'Angolagate, tout le monde connait.
Mais Georges Fenech a d'autres amis.
Jean-Claude Pfeffer, correspondant priviligié de Georges Fenech pour la commune de Chan{mosimage}{mosimage}sson, et père de Renaud Pfeffer, qui fut l'attaché parlementaire de Fenech jusqu'à l'annulation de son mandat de député. Lorsqu'il était maitre de conférence à l'université Lyon III, il a été condamné pour avoir été pris à détourner l'argent de l'inscription d'une étudiante asiatique sur son propre compte (34 000 F). Ce même Jean-Claude Pfeffer qui avait fait l'apologie du Président du Burkina Faso, Blaise Compaoré. Pour ceux qui ne le savent pas, Blaise Compaoré est arrivé au pouvoir en assassinant son prédécesseur, et fut dénoncé en 2000 par l'ONU comme "étant au cœur de trafics croisés d’armes et de diamants au bénéfice des rebelles angolais de l’Unita et sierra-léonais"(source).
Mais tout ceci n'émeut pas Georges Fenech, qui entretient avec l'Afrique d'autres liens qui lui font partager d'autres amitiés.
Son grand ami Charles Debbasch, condamné en 2005 à deux ans de prison pour malversations financières. C'est avec lui et Gilles-William Goldnadel (tiens donc) que Georges Fenech s'était rendu en 1998 au Gabon, dans une mission d'observation des élections organisée à la demande du Dictateur Bongo.
Les élections seront truquées en faveur de Bongo et cautionnées par la mission de Georges Fenech et Charles Debbasch, ce qui vaudra à Georges Fenech de se voir refuser la place de premier juge d'instruction qu'il convoitait.
Cette même commission d'observation a cautionné d’autres élections en Afrique, notamment au Togo. Un pays où s'est rendu également Fenech en 1997.
Et son grand ami le juge Jean-Louis Voirain, condamné pour « blanchiment aggravé, recel de fonds provenant d’abus de biens sociaux et détournements d’actifs, corruption et trafic d’influence passifs ».
C'est lui qui a dirigé le Syndicat Professionnel de Magistrats avec Fenech pendant des années (Fenech en était le Président jusqu'à ce qu'il soit condamné lui-même pour injures antisémites à l'encontre d'Albert Levy). Ah, j'oubliais, Voirain faisait aussi partie de "l'opération Congo" susmentionnée. (Jean-Louis Voirain a été aussi soupçonné de pédophilie en 2003 après la découverte de photos d’adolescentes nues dans son ordinateur professionnel et dans une armoire de son bureau, et plainte de sa belle-fille mineure disant avoir été victime d'attouchements sexuels dans son enfance, mais je ne connais pas la fin de l'histoire, si tant est qu'elle est finie…)
Et puis le chanteur Jean-Luc Lahaye qui a accompagné Georges Fenech pendant toute sa campagne aux législatives de 2001, condamné le 8 janvier 2007 pour atteinte sexuelle sur mineure de moins de 15 ans lors d'un procès à huis clos au tribunal correctionnel de Paris. Jean-Luc Lahaye qui était aussi l'ami de… Voirain.
Finalement, que reste-t-il de ces amitiés ? Pour Georges Fenech, certainement un réseau d'influences bien utile en ces périodes de crises.
Mais pour moi, ce qui reste, c'est une profonde interrogation.
Comment un homme qui n'hésite pas à s'associer avec ce qu'il prétend combattre, un homme qui ferme les yeux sur les exactions de ses amis, un homme qui touche de l'argent de la part d'un trafiquant d'armes en se permettant de répondre au tribunal "je n'ai rien contre les marchands d'armes français" quand on parle de centaines de milliers d'enfants morts sur des mines antipersonnelles vendues à l'Angola, un homme qui se mouille dans des affaires avec des dictateurs corrompus… Comment cet homme peut-il nous faire croire à la tolérance zéro ?
Comment un gouvernement peut-il placer cet homme à la tête d'une mission interministérielle et l'entendre dire "je vais sauver les enfants des sectes" quand il ne cille pas face à la mort des enfants africains, ou face à la pédophilie ?
Eh bien, certainement que sa liste d'amis est encore un petit peu plus longue…
Anne Morelli / Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes / 1997)
« Leurs méthodes sont partout semblables : jeter le discrédit sur tous les groupes religieux en dehors des grandes religions classiques et semer à ce sujet la désinformation. La « secte des adversaires des sectes » tenaille donc particulièrement les médias et le monde politique, mais ne néglige pas non plus l’approche du monde de la recherche universitaire. En France, deux associations se partagent ce « marché », correspondant aux deux options fondamentales de la société française : l’une est laïque (C.C.M.M.) et l’autre est catholique (U.N.A.D.F.I.). »
(Anne Morelli / Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes / 1997)
« Une autre pratique de désinformation menée par la « secte des adversaires des sectes » est de gonfler les chiffres des adhérents à ces religions minoritaires. Ces chiffres, après douze années d’enquêtes dans ces milieux, je suis plus que jamais incapable de les préciser. En 1981, j’avais – péché de jeunesse – lancé le chiffre de 80.000, mais au fur et à mesure de nos travaux, mes certitudes se sont envolées. Le chiffre, lui, a souvent été repris. Dans chaque groupe religieux, on a tendance à les gonfler (cela donne du poids à la communauté et à ses croyances), mais curieusement, les adversaires des sectes aussi les gonflent, car la pertinence de leur « lutte » (et donc les moyens qu’ils réclament) est évidemment liée au danger potentiel que représente un groupe. »
(Anne Morelli / Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes / 1997)
« Lorsqu’un journaliste ne se soumet pas au schéma classique anti-secte, il est aussitôt accusé de complaisance. Ainsi, les auteurs de deux documentaires Arte consacrés aux mormons sont-ils vivement critiqués par « Le Monde » . Ils auraient présenté cette religion avec trop de sympathie… Les auditeurs belges, habitués à entendre l’actualité religieuse commentée par la douce voix de l’abbé Armand Pirard, croient rêver en entendant ces reproches. Ils imaginent mal qu’à l’occasion, par exemple, de la bénédiction pascale ou d’un voyage du pape, un de ses mièvres commentaires se mette à investiguer à propos des finances du Vatican et de ses opérations douteuses, ou des effets catastrophiques de sa diplomatie pro-Croate. Mais évidemment, il est des monopoles à ne pas traiter sans « complaisance » et des rivaux qu’il est bon d’enfoncer. On comprend dès lors pourquoi les « sectes » voient rarement avec plaisir débarquer en leurs murs des journalistes, chargés dès le départ de ramener des « informations » croustillantes, sensationnelles et surtout inquiétantes… »
(Anne Morelli / Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes / 1997)
« [Si un journaliste décrivait la bénédiction papale dans les termes habituellement utilisés à propos des sectes cela pourrait donner ceci:] Le gourou des catholiques s’est adressé à ses adeptes pour leur rappeler quelques-uns des mythes de leur bric-à-brac de croyances irrationnelles. Il leur a rappelé la nécessité d’embrigader leurs enfants pour faire proliférer le christianisme. Il avait son déguisement et ses colifichets habituels pour ce type de mascarade. »
(Anne Morelli / Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes / 1997)
« Les sectes ont généralement repris la tradition en vigueur dans les religions, qui veut que l’engagement total passe par le dévouement total. La vie monastique est évidemment construite sur cette base. Il faut se replonger dans la règle de saint Benoît, norme fondamentale de toute vie monastique en Occident. Tout plaisir personnel doit en être absent, et le temps, sauf l’indispensable à la survie, doit être totalement consacré à Dieu, soit par la prière (Ora et Labora) et rien, absolument rien, ne peut être possédé en propre puisqu’on a renoncé à posséder personnellement des biens. »
(Anne Morelli / Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes / 1997)
« Des Eglises catholiques réalistes, comme les Eglises américaines et canadiennes, ont d’ailleurs prévu des fonds spéciaux pour indemniser les victimes des prêtres pédophiles, prêtres qui seraient à 20% poussés à cette tendance. »
(Anne Morelli / Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes / 1997)
« La pérennité millénaire des religions n’est due qu’à cet envahissement intempestif des consciences enfantines, cette violation permanente de leur liberté par une information forcée, qui est le propre de tout conditionnement, mais donc aussi sans doute de toute éducation. »
(Anne Morelli / Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes / 1997)
« La secte, comme la communauté charismatique, le couvent, la prison, l’hôpital, la caserne, le pensionnat (et peut-être aussi certains partis ou entreprises lorsqu’il s’agit de Disney ou MacDo) est l’une des institutions totalitaires qui prend, marque, change de nom ou immatricule, imprime dans un moule et déguise pour donner l’impression d’uniformité des corps et des esprits. Elle ôte par essence sa personnalité à l’individu, qui n’a d’intérêt et de dignité qu’en tant que membre du groupe. »
(Anne Morelli / Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes / 1997)
« Il n’y pas de critères utilisables pour vérifier l’existence d’une foi et nous ne sommes pas en mesure de vérifier si ce que Ron Hubbard, fondateur de la scientologie a dit(..) est vrai ou faux. Toutes les croyances sont du domaine de l’irrationnel. »
(Anne Morelli / Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes / 1997)
« En réalité, toute croyance vue de l’extérieur est loufoque et il est impossible d’établir une gradation entre les religions selon leur degré plus ou moins élevé de rationalité. L’irrationnel des religions qui nous sont proches nous échappe parce que nous y sommes habitués. Mais rappelez-vous qu’un concile de l’Église s’est longuement penché sur une question […] : « La vierge Marie est-elle restée vierge également pendant son accouchement ? » […] Nous atteignons peut-être là des sommets d’irrationnel (bien que le dogme de la trans-substanciation ou transformation du pain et vin en chair et sang réels de Jésus ne soit pas mal non plus!) mais nous nous permettons de rire lorsque la méditation transcendantale nous propose de changer le monde par la matière médiatrice ».
(Anne Morelli / Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes / 1997)
« Je pense que les sectes ne sont encore en matière de « nocivité » que de pâles amateurs à côté des grandes multinationales des religions, dont les morts sont à comptabiliser par millions. »
(Anne Morelli / Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes / 1997)
« On sait le tumulte que créa la liste des « sectes » à la suite du rapport. Les protestations viendront surtout du milieu catholique n’admettant pas que certains de ses groupes (Oeuvre, Opus Dei, Charismatiques, …) s’y retrouvent malgré les appuis officiels qu’ils ont reçus et qui devaient, en principes, les rendre intouchables. »
(Anne Morelli / Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes / 1997)
Depuis Mars 2008, Georges Fenech n’est plus député de la 11ème circonscription du Rhône dont Givors est le siège de sa permanence. Le conseil constitutionnel a en effet invalidé son élection de Juin 2007 pour une « erreur » dans ses comptes de campagnes.
Il est à noter que Jean-Louis Voirain a participé activement à la 1ère campagne législative de Georges Fenech.
Jean-Louis Voirain est l’ancien procureur adjoint au Tribunal de Bobigny et fut évincé en 2003 de la magistrature et de nouveau condamné en à trois ans de prison dont 20 mois ferme et 20.000 € d’amende.
La raison de l’inéligibilité de M. Fenech est simple, une bénévole avait payé de sa poche des denrées pour les buffets de meeting politique sans que celle-ci passe par le mandataire financier.
Les sages ont estimé que cela ne portait pas atteinte à la sincérité des comptes mais que la procédure n’avait pas été respectée.
M. Fenech qui était de bonne foi face aux sages, montrait les certificats médicaux de son mandataire financier âgé de 72 ans qui souffrait de problèmes cardiovasculaires.
Une fois de plus M. Fenech avait misé sur le mauvais cheval !!! Sans vouloir porter préjudice à ce Monsieur qui est certainement de bonne foi, M. Fenech , confit ses comptes de campagnes à une personne souffrante, ce n’est vraiment pas sérieux.
M. Fenech se dit «…victime d’une loi absurde appliquée avec une rigueur implacable …» M. Fenech devrait être ravi qu’une loi soit appliquée avec rigueur, lui le pape de la tolérance zéro qui ne supporte pas le laxisme ….
M. Fenech, combien de justiciables sont tous les jours victimes de lois absurdes ? C’est toujours moins drôle quand ça vous arrive !!!
Les frais de bouche « non déclarés » s’élèvent malgré tout à 6.261€ , pas mal !!!
Vous avez appelé à la rescousse le Président de la République et votre ami Bernard Accoyer, le Président de l’Assemblée Nationale, lamentable …
Sur les 129 dossiers concernant les comptes de campagnes, 128 ont été rejetés pour inéligibilités.
Ne vous croyez pas persécuté M. Fenech et ne pensez pas non plus comme l’affirme votre ami le député communiste Jean-Pierre Brard que Mme Jacqueline de Guillenchmidt, membre du Conseil Constitutionnel serait la source de cette inéligibilité dont le mari est l’avocat des Témoins de Jéhovah.
Ces accusations sont graves : sous-entendre qu’un membre du Conseil Constitutionnel se laisserait aller à un jugement personnel ou pire, se laisserait influencer dans le but de noircir la courte carrière d’un député, est inadmissible.
Par contre, des députés se laissent eux facilement influencer par des lobbies pro-OGM, voir même placer un magistrat à la tête d’une entreprise pour obtenir de la justice des informations utiles à celle-ci.
journalistes et les autres…
Journalistes
Il n’est pas facile d’être libre penseur.
C’est un dur métier ; être journaliste.
Et si quelque part tu es un artiste,
Bien trop souvent tu passes pour un râleur.
Tu peux être chien de maître ou avocat.
Tu vois que la palette peut être grande.
Laisse le lecteur examiner chaque cas.
Réfléchis : » où commence la propagande ? »
Dévoile petits secrets et la malice.
Mais que toi, jamais, tu ne sois un menteur.
Donne-nous la vérité pour changer les cœurs.
Change le monde en restant idéaliste !
Tu ne dois pas rapporter les suppositions
…pas ton rôle que répéter des théories.
Énoncer les faits est la seule information,
Parce qu’il n’y a que des fables que l’on rit.
Journaliste ne peux-tu pas être neutre ?
Laisse de coté tes idées politiques.
L’information est comme marquée au feutre.
Ne sois ni assassin, ni dithyrambique !
Heureux es-tu si tu gardes ta repartie.
Un héros, si des religieux tu n’as pas peur.
Es-tu prêt à critiquer ton propre parti ?
Ou, dans ton propre pays, fustiger le dictateur…
Mais existe-t-il un journal vraiment libre ?
Chaque hérésie, combien osent la dénoncer ?
Celui qui à chaque imposture vibre,
Qui aux vrais idéaux ne pourra renoncer.
Dans les reporters, il se trouve des héros.
Au péril de sa vie, il brave l’interdit.
Défendant la liberté, ils sont ses hérauts.
S’il meure, il mérite le paradis.
Tu meurs seul, dans ce champ de bataille immonde.
Terré, poursuivi, égorgé à chaque instant.
Oui, le vrai journaliste ne vit pas longtemps.
Car la vérité ne plaît jamais au monde.
Jean-Baptiste… on disait ; » il est fou ».
Jésus Christ, lui… « un ivrogne, un glouton ».
On les critiquait par derrière, par-dessous.
Journaliste, apprend vite, change le ton…
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Jean Langlais, $cientologue, raélien, témoin de jéhova? >:(
Fenech lutte contre les sectes qui lavent le cerveau des enfants.