Fuite radioactive, après Tricastin c’est au tour de Romans-sur-Isère

Après la fuite radioactive de Tricastin, c'est maintenant au tour de Romans-sur-Isère dans la Drôme.

Des rejets radioactifs ont été constaté à Romans-sur-Isère dans une usine, filiale d'Areva.

Cette pollution "sans impact sur l'environnement" selon l'Autorité de sûreté nucléaire se serait produite suite à une rupture de canalisation.

Fuite qui intervient seulement dix jours après celle de Tricastin dans le Vaucluse.

Cet incident vient d'être annoncé ce matin.

Cela s'est produit dans l'usine FBFC, qui fabrique du combustible nucléaire pour des centrales de production d'électricité et des réacteurs de recherche.

Trois inspecteurs se sont rendu à Romans-sur-Isère dans l'usine en question entre 1 heure et 5 heures du matin.

Ils étaient sur place pour examiner les circonstances de cette fuite et les mesures prisent par l'exploitant de l'usine.

 

Le Directeur de l'usine du Tricastin a été remplacé. Anne Lauvergeon, PDG d'Areva est attendue ce matin dans le Vaucluse.

Mr Jean-Louis Borloo Ministre de l'écologie… A prit la décision que toute les sites nucléaires soient vérifiés, il estime à juste titre que vieillissants, ils doivent subir un contrôle.

 

12 réflexions sur « Fuite radioactive, après Tricastin c’est au tour de Romans-sur-Isère »

  1. Les centrales nucléaires qui s’y mettent maintenant,bonjour la vétusté de ces sites,que la lumière se fasse!!!
    Bonjour Andréa.

    Bon,plus besoin de craindre une guerre nucléaire,nous nous sabordons nous même.C’est formidable!!! Il suffit qu’un pépin survienne pour que les responsables fassent le nécessaire.
    En attendant,comme d’habitude rien de grave a déclarer point de vu sécurité!!!
    Mais non bien sur,rien a craindre,nous sommes bon dans ce domaine,ben voyons!!!
    Mais a quoi sont t-ils payés ceux qui contrôle ces centrales a décimées une nation? Deux incidents de la sorte en peu de temps sans compter ceux qui ne sont pas révélés au grand public,GÉNIAL.
    Des inspecteurs sur place,bien,a quand les pauv’types qui agiront sur ordres comme a Tchernobyl pour éviter le pire.

    Faudrait que les contrôles soient plus strictes et réguliers afin que l’on ne finisse pas irradiés par ce danger sournois dans le pire des cas!!! Enfin je dis ça,il se pourrait que le pire se ballade déjà dans le ciel de notre hexagone!!!

    Quand je pense que nous sommes tous abonnés a EDF,même si ces centrales ne dépendent pas d’EDF en question,que font-ils du fric des contribuables???

    Bon,nous verrons bien dans quelques années,les répercussions de ces fuites radioactives soient disant sans dangerosité pour l’humain…

    Bye Andréa,merci pour l’info et bonne journée.
    😉 >:(

  2. les radio-elements sont en fuite ! on demande la gendarmerie !!!!!!!!!!!!!!!!
    suivi par les RG possible ; inculpations souhaitées
    pour mise en cause de la vie d’autrui .

  3. Soyez prudents, vigilants, méfiez vous des enchanteurs et des charlatans, des illusionnistes qui se trompent eux-mêmes et entraînent les autres dans leurs déviations.

    « Seigneur que faut-il que je fasse pour être sauvé ? » Paul lui répondit : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé » (Actes 16 : 30-31).

  4. Bonjour à tous,

    Il n’y a pas de fumée sans feu.
    Il n’y a pas de centrales nucléaires sans risques
    Il n’a pas de déchets sans risques
    Il n’y a pas d’énergie sans centrales nucléaires
    Il n’y a pas de combustibles dérivés du pétrole sans pollution
    Il n’y a rien de parfait.

    En conséquence il faut savoir ce que l’on veut. Des fuites il y en aura toujours, les centrales nucléaires vieillissent très vite, et leur remplacement nécessite la dépollution du site ce qui demande des centaines d’années.
    Ce que l’on peut espérer c’est que notre maîtrise des déchets et de la technologie de nos constructions nucléaires nous préserve d’accidents graves, mais tout est possible.
    Nous avons de vieilles centrales qu’il faudrait rénover, mais cela coûte un prix fou se sorte que nous faisons ce que nous pouvons.
    Nous ne devons pas nous affoler.
    Le problème se pose pour nos enfants et petits enfants en espérant qu’ils trouveront à se protéger, et nous faisons tout pour qu’ils n’en subissent pas les coséquences .
    Actuellement à Romans-sur-Isère se sont des fuites d’uranium qui n’ont pas la toxicité des autres combustibles comme, par exemple, les déchets de type C venant du retraitement à la Hague de l’oxyde de plutonium mélangé à l’oxyde d’uranium, le MOX, conduisant à des déchets que nous ne savons que faire. Le traitement de cette chaîne nucléaire est très complexe.
    [u][b]L’uranium se trouvant dans la nature les fuites de Romans-sur-Isère ne sont pas toxiques pour l’humain.[/b][/u]
    Ces fuites sont dues à un tuyau percé.

  5. PAS VRAI NIDOLGA , DESOLE : « L’uranium se trouvant dans la nature les fuites de Romans-sur-Isère ne sont pas toxiques pour l’humain.  »
    attaque chimique et radiologique des tissus en particulier les reins en particulier pour les expositions chroniques comme pour la région de Tricastin .
    La pollution des nappes est dangereuse au titre de l’exposition à long terme .
    voir fiche INRS

  6. Vautier vous n’avez pas lu l’article que j’ai mis en com de Monde.fr

    En outre, mon fils travaille dans une filiale d’Aréva « Canberra Eurisys S.A » et justement son travail est le contrôle des déchets des centrales nucléaires.
    Comme l’Uranium est à l’Etat naturel dans la nature cela veut simplement dire qu’il n’est pas toxique en lui même, et que cela dépend de sa concentration massique.

    [u][b]Toxicité et radiotoxicité[/b][/u]

    Sur le plan chimique, l’Uranium présente la toxicité habituelle pour un métal lourd et est du même ordre de toxicité que le plomb. La dose léthale pour l’homme semble être de quelques grammes. Le contenu normal d’un corps humain en équilibre avec son environnement est de l’ordre de 90 à 150 µg d’uranium, résultant d’un apport journalier de l’ordre de 1 à 2 µg/jour par l’eau courante et l’alimentation. Les deux tiers s’accumulent dans les os.

    Le rein est l’organe critique pour la toxicité chimique. Le seuil de toxicité chimique rénale est estimé à 70µg/kg de poids corporel ou 16µg/g de rein (limite de 3µg/g de rein pour la protection des travailleurs).

    Quel que soit son enrichissement, la radioactivité de l’uranium est toujours du type alpha de l’ordre de 4.5MeV. De ce fait, sa radiotoxicité dépend simplement de son activité massique, et faiblement de sa composition. Elle est de l’ordre de 0.6 µSv/Bq (F) à 7 µSv/Bq en inhalation, 0.05µSv/Bq (F) à 0.008µSv/Bq (S) en ingestion, les poumons et les os étant les organes critiques.

    La radiotoxicité de l’uranium est donc du même ordre de grandeur que celle de la toxicité chimique: la radiotoxicité l’emporte pour des enrichissements supérieurs à 6%, la toxicité chimique est prépondérante. (Wikipédia).

    Donc la fuite de Romans-sur-Isère ne veut rien dire si l’on ne connait pas la concentration massique dans les puits d’eau.
    Le fait de donner de l’eau en bouteilles aux riverains n’est qu’une mesure de précaution bien normale avant de faire des prélèvements.

  7. NIDOLGA , la réactivité des autorites est plus que lente dans cette affaire !
    La communication est à géométrie variable , comme d’habitude .
    Des négligences criminelles ont été monnaie courante depuis des années, avec l’accord tacite des autorités directes et avec une certaine passivité des administrations locales dues au fait qu’il y a pas mal de subventions en jeux .!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    J’ACCUSE !

  8. Vautier mon fils va me faire parvenir une doc donnant des précisions sur les déchets radioactifs. Si ce n’est pas trop compliqué je la communiquerais sur le site.
    Dans l’attente, il faut être prudent avant de juger, il faut des mesures, sans elles toutes les suppositions sont permises.
    J’espère recevoir cette doc avant son départ aux States pour lundi.

  9. les gendarmes à la castagne au tricastin !!!:
    « Les deux perquisitions à l’usine Socatri se sont déroulées le 11 juillet et le 22 juillet, a-t-on ajouté de même source, confirmant des informations parues dans le quotidien Le Parisien.
    Une troisième perquisition a été menée également le 22 juillet, mais au siège de l’ASN à Lyon, a-t-on ajouté de même source.
    A la suite de la fuite de 74 kilos d’uranium du site nucléaire du Tricastin, dans la nuit du 7 au 8 juillet, le parquet de Carpentras avait ouvert une enquête préliminaire et désigné l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (OCLAESP), ainsi que la section de recherches de Marseille.
    C’est dans le cadre de cette enquête que les gendarmes de l’OCLAESP ont effectué ces perquisitions à l’usine de la Socatri, filiale d’Areva, ainsi qu’à l’ASN

Les commentaires sont fermés.