Free a déposé le mercredi 28 octobre un jour avant la date limite un dossier pour présenter sa candidature pour devenir le quatrième opérateur français sous le nom de Free Mobile. Or de nombreuses embuches devront se dresser sur la route de l’actuel fournisseur internet inventeur de la célèbre freebox. Tout d’abord UFC-Que Choisir a intenté Free en procés pour "pratiques commerciales déloyales", ce qui pourrait réduire fortement l’admission par l’ARCEP. De plus les 3 opérateurs déjà présent en France voit d’un mauvais oeil l’arrivé d’un nouveau concurant dont les dirigeants du groupe Illiad dont Free est la filliale avait annoncé vouloir "accélérer l’essor du multimédia mobile et répondre à la forte attente des consommateurs vis-à-vis d’offres plus simples, moins chères et plus innovantes" et aller jusqu’à diminuer de moitié la facture en fin de mois par rapport aux autres opérateurs actuels.

De plus on se rappelle l’amitié qui lis l’actuel président de la République et du patron de Bouygues Telecom: Martin Bouygues. Or désormais que nous savons qu’il ne présente (presque) aucun problème au chef de l’état de catapulter son fils à la tête de l’EPAD (la manifestation médiatique et politique l’ayant empéché) des coups de pouces en faveur de la société de son ami, bien plus discret ne sont pas à exclure.

De plus le coût pour se permettre de devenir opérateur sera chère pour Free Mobile, en effet en plus des 240 millions d’€uro pour l’achat de la licence, le future opérateur devra débourser pret de 1milliards d’€uro pour étendre et se constituer son propre réseau en France.

  On comprend alors pourquoi les nombreux prétendants à la quatrième place pour devenir opérateur en France se soit tous volatilisés, on comptait auparavant Kertel, Numericable, Virgin, le conglomérat Bolloré et enfin Orascom, seul Free a donc présenté sa candidature.

  Free sera fixé sur son sort et son future dans la téléphonie mobile avant noël.