Le parti socialiste poursuit sa politique d'ingérance. La réunion du bureau national, mardi soir, adoptant une nouvelle politique. La répression au lieu de la rénovation.

François Hollande ne fait qu'accentuer la vétusté de l'outil socialiste. Au lieu de se cacher derrière le calendrier, le premier secrétaire fait preuve d'ingérance. L'échec de l'élection présidentielle…20070710.www000000407_15354_1.jpg

Les défections s'enchaînent. La cellule du parti socialiste vole en éclats. Comment oser prétendre vouloir rénover le parti, dans de telles conditions. La mise en place d'une politique suspensive ne fera qu'accroître les velléités de départ. Jack Lang étant devenu la cible.

Son attitude courrouce le bureau. Le trublion de service est montré du doigt. Invité à rejoindre une commission sur la réforme des institutions, Jack Lang, en se disant honoré, a provoqué une réplique du bureau national. Des mesures suspensives pour empêcher un exode inévitable. Le parti socialiste se désagrège.

François Hollande refuse la responsabilisation des échecs répétés du parti socialiste. Le passéisme poursuit l'appareil du parti. La rénovation n'est toujours pas à l'ordre du jour. Une politique obsolète, complétement dépassée conduit vers l'inévitable : la scission.

Hollande fustige la politique d'ouverture de Nicolas Sarkozy, qui ne fait que profiter des errances du parti socialiste. Le départ de Dominique Stauss-Kahn, vers la présidence du FMI, la mise en retrait de Laurent Fabius. Le constat est accablant.

François Hollande doit démissionner. La restucturation du parti doit s'accélérer et ne pas rester parasiter par les querelles intestines. En suivant le calendrier et surtout en l'adoptant, le parti socialiste met le frein sur le processus de rénovation. Comment éviter les défections, la scission proche, en agissant de telle sorte.

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