"FranceMorte", c’est ainsi que nous corrigeons depuis deux semaines, les affiches de cet imbécile, qui n’a pas vu à quel point l’astuce est facile…

 Mais que font les communicants ? Une bande de publicitaires qui n’a rien à voir avec la Com’, la vraie, celle qui n’est pas faite de vantardise et de mots creux si faciles à détourner qu’on n’en éprouve plus aucun plaisir…

Lors de son débat – que j’appellerai "essai de soliloque" – raté avec Hollande , tout était permis à l’Affreux. Il s’est plaint d’avoir vu ses initiales transformées en "National – socialisme".

Il m’a fait grand plaisir, c’est un rapprochement que j’avais lancé sur le défunt "Le Post", dix jours après sa prise de pouvoir. Ayant bien étudié la période hitlérienne – de sa montée à sa chute – c’est un sujet que je connais bien (je n’ai toujours pas fini et cela fait près de quarante ans…).

Il en avait les gênes, les attitudes, les tics, les manies de paroles répétitives, l’accent particulier, faubourien, qu’un certain peuple reconnaît sien, que des bourgeois se disent, frissonnant, "youpi, je m’encanaille à peu de frais…"

Cette fin de semaine, nous avons eu droit à la plus pure, la plus dure expression nazie, celle du retournement systématique du discours prononcé par l’autre, la "meilleure", bien rodée, façon, de retourner la phrase, l’idée, de se l’approprier comme une sangsue sans aucune vergogne qui n’a rien trouvé à "pomper" depuis une bonne quinzaine…

C’était Hollande qui tenait le rôle du monsieur bien éduqué, Sarkozy, encore président ès qualité, celui du voyou attaquant avec n’importe quelle arme faux-cul passant à sa portée…