Fin du magazine Isa

Le magazine « Isa », mensuel féminin, malgré une relance en 2005 cessera d’exister après son numéro de décembre 2007. L’annonce a été faite par le propriétaire du magazine même Lagardère.

De nos jours, on trouve chaque mois ou presque des nouveaux magazines dans les kiosques mais malheureusement par cette multiplication il n’y a pas de place pour tous les magazines. C’est pour cela que chaque mois on constate la disparition de nombreux magazines et au mois de décembre c’est le magazine connu « Isa » qui disparaîtra. Le porte-parole d’Isa explique son retrait par «… En termes de publicité, c'est un titre qui n'a pas trouvé son équilibre économique et qui n'a pas une part de marché publicitaire à la hauteur de sa part de marché en terme de diffusion".

Les très nombreuses lectrices de ce magazine devront se faire une raison en renonçant au magazine "Isa" placé en 6ème place sur les marchés mensuels féminins haut de gamme!

Mais derrière la disparition de ce magazine, il y a de nombreuses personnes qui perdent leurs postes même si elles doivent être toutes reclassées ou presque. Mais que va-t-il vraiment leur arriver ? Vont-elles pouvoir conserver le même poste, même emploi et même salaire après la disparition d’Isa ? Il faut espérer que Lagardère propose un nouveau mensuel qui puisse équilibrer ses exigences financières et les exigences des lecteurs.

9 réflexions sur « Fin du magazine Isa »

  1. les abonnés
    j’aimerais savoir suite a la disparition du magazine isa les abonnés seront ils remboursés?

  2. les abonnés?
    en effet, comment cela se passe pour les abonnements?
    je venais juste de m’abonner et cela me laisse un gout plutot amer car c’est bien cher payé pour deux numéro recus!!!

  3. Et nous !!
    Comme beaucoup je suis super déçue de voir disparaitre ISA !!
    C’est la première fois que je m’abonnais à un numéro, je le regrette déjà !! Ce qui est inacceptable c’est que j’ai reçue mon numéro de décembre et pas un mot sur le sujet !!!
    Merci de prévenir !!

  4. dommage
    J’ étais abonné à ISA depuis 6 mois, et j’adorais ce magazine très complet, et au 14 janvier 2008, je recois le magazine ELLE et un courrier am’annoncant la fin de ISA, à la place je recevrai donc le magazine ELLE (plus cher que ISA c’est déjà ça), dont 2 numeros gratuit. Le pire c’est que j’ai offert un abonnement au mag ISA pour Noël à quelqu’un, j’ai pas l’air bête !!!! Mais ca aurait pu être pire car ils auraient pu envoyer un mag très pourri à la place lol. En tout cas, moi je suis très déçue et je voudrais dire à toutes les personnes qui faisaient ISA que c’était franchement un mag très réussi.

  5. Je ne pense pas qu’un magazine disparaisse du fait de la multiplication de nouveaux magazines, qui, à leur tour, risquent de disparaitre… Que de répétitions impropres à notre si belle Langue de Molière : mais, c’est voulu !

    Il faut savoir que beaucoup de Françaiss lisent de moins en moins, collés qu’ils sont devant leur petit écran. De plus, ils fréquentent moins les salles de cinéma… Et c’est un constat qu’on est obligés de faire…

    A quoi cette situation est due ?

    – une certaine érosion publicitaire, sachant que certains annonceurs préfèrent s’en aller vers les radios, les chaînes de télévision ou le web, même si cela peut paraitre (à juste titre) plus cher.

    – le quasi monople de la distribution exercé par les Nouvelles Messageries de la Presse Parisienne (NMPP) et par les Messageries de Presse Lyonnaise (MLP), qui, pour vendre les journaux et magazines, imposent des règles commerciales très draconniennes et très strictes !
    Il faut savoir qu’un directeur de presse paie pour la mise au pilon de son (ses) titre(s) mis au pilon et qu’il ne reçoit qu’une infime partie du prix de vente annoncé sur la Première de Couverture de son journal ou magazine.
    Donc, ses principales recettes proviennent de la publicité et des abonnements. Encore faut-il, pour qu’il conserve son numéro de Commission paritaire (véritable sésame pour être distribué dans tous les kiosques de France et de Navarre), et, de ce fait, continue à payer des frais postaux et une TVA réduite, que sa surface rédactionnelle dépasse sa surface publicitaire de plus de 50 %

    – Les coûts exorbitants du papier et de l’impression.

    – L’inaptitude, pour les journaux ou magazines, de se rénover, de faire preuve d’imagination éditorielle et rédactionnelle ce, de manière à capter l’attention des lecteurs !
    Si on prend l’exemple du possible mariage du Président Sarkozy avec Carla Bruni, beaucoup de journaux et magazines en ont fait leur Une.
    Pour parler de la presse féminine, puisque « Isa » est un magazine féminin, celle-ci n’ayant fait preuve d’aucune innovation, s’est contentée de traiter les mêmes dossiers que « Glamour », « Elle », « Marie-Claire », « Marie-France »…

    – l’invasion de la presse quotidienne ou hebdomadaire gratuite, qui, incite le Français à ne se contenter que d’articles courts, qui, souvent, émanent d’agences de presse…

    De plus, pour conclure, la faute majeure de cette presse écrite est de n’avoir jamais considéré que la Radio et la Télévision étaient des médias complémentaires. Dans les pays anglo-saxons, aux USA et au Canada, les citoyens de ces pays, qui sont de grands consommateurs de télévision, passent énormément de temps devant leurs journaux et magazines : ils pensent fort (et leurs médias les ont incités à le faire) qu’une information lancée et largement commentée sur les chaînes de télévision et de radio sera largement et longuement analysée dans la presse quotidienne ou magazine !
    Or, les Français ne prennent plus le temps de lire, préférant regarder des émissions insipides et dangereuses comme « KOH LANTHA » ou « L’ÎLE DE LA TENTATION »… L’école ne leur a pas donné le goût de lire et c’est bien dommage…

  6. Dommage
    qu’ils nous privent de ce très bon magazine, le commentaire avant moi (D.D) : n’importe quoi, faut pas tout mélanger , Isa n’a rien à voir avoir ceux qu’il cite, et aussi il faudrait avoir vraiment eu les titres entre les mains et les yeux dessus pour argumenter, sinon on se la boucle.
    Les raisons sont tout autres, le magazine n’avait pas de problèmes dans ses ventes et dans son contenu de très bonne qualité.

  7. @ nath
    D’abord, nath, je n’aime pas trop ce pseudo : D.D, que vous m’attribuez… Jusqu’à preuve du contraire, mon commentaire était signé : Dominique Dutilloy. Donc, il convenait de me citer ainsi…

    Ensuite, nath, je maintiens ce que j’ai dit : je suis journaliste de presse écrite, et, sais de quoi je parle !
    Puis, je vous prierais d’être poli : personne ne me fera la boucler, surtout quand j’ai quelque chose à dire ! Alors, tâchez d’être correcte… Ou bien, abstenez-vous de commenter !

    Que votre magazine préféré ne rentre pas dans le cas de figure que je décris, je le conçois… Mais, il faudra bien que vous compreniez qu’ISA subit les difficultés que la presse écrite subit…
    J’ai déjà eu à plusieurs reprises ISA entre les mains, d’autant que ma filleule y était abonné : donc, je sais de quoi je parle !

    Editer un journal, un magazine, fût-il intéressant, est très dur dans notre Pays… Tout ce que j’ai décrit est rigoureusement exact… Et, ISA n’échappe pas à la règle, d’autant que la presse féminine est bien représentée.

  8. ISA ?
    Eh bien moi je ne connais pas ISA!!!
    Apparemment il avait quelques lectrices qui me semblent bien jeunes…et Midori a eu raison de signaler sa disparition.
    Par contre je n’admets pas que l’on se permette, même dans un commentaire ,de parler avec un vocabulaire aussi pauvre, et là je m’adresse à nath;
    Quand en plus ,elle s’adresse à un VRAI Journaliste de la presse écrite en ces termes là je  » vois rouge »!!
    nath, que vous soyez :triste, voire « désespérée » de la disparition de votre magasine préféré, je le conçois, mais sur ce site C4N tout journaliste, tout commentateur, se doit de respecter son prochain!
    Midori a tres bien présenté son article en n’insultant personne, juste en ayant une pensée pour les salariés de ce journal qui risquent de se retrouver au chômage, et elle demande respectueuesement à M; LAGARDERE de proposer la diffussion d’un nouveau magasine qui équilibrerai ses exigences financières et celles de leur lectrices. Je n’ai trouvé aucune agressivité, aucune rancoeur malsaine dans ce texte.
    Vous avez eu l’explication d’un spécialiste de la presse écrite qui connait parfaitement les difficultés rencontrées par les éditeurs, Toute la presse écrite souffre en ce moment, et l’apparition des webzines n’arrange pas leurs « affaires ». Mais je reste persuadée que des magasines de valeurs trouveront encore leur place dans les kiosques, car comme le dit si bien DOMINIQUE DUTILLOY, rien ne remplace la lecture papier quand on veut approndir un sujet qui nous interpelle! Le goût de la lecture s’acquiert à l’école, et il est bien dommage,qu’à notre époque, on n’y accorde plus suffisemment d’importance, ce qui nous amène à ces dérives de vocabulaire tronqués, à une expression approximative, qui n’apporte rien à la personne qui vous lit : c’est votre cas nath! Parole de Prof de littérature Française!!!!!!!!

  9. concernant les remboursements des abonnements
    Pour répondre à ceux d’autres vous qui se demande comment va se passer les remboursements d’abonnement je peux juste vous dire que c’est possible, il faut renvoyer un courrier et vous recevrez l’argent correspondant aux numéros ISa nu reçus.

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