Toute femme en face d’un danger, doit être en mesure de se défendre. Elle pourrait assimiler quelques défenses en prévision de certaines attaques bien définies. Un agresseur tentera de maîtriser une femme d’apparence faible et sans défense, mais la probabilité pour que celui attente à sa vie serait très faible. Dans ces conditions, une femme doit être capable de se défendre. Car notons que la femme dispose de moyens de riposte d’autant plus efficace que son agresseur ne s’y attend pas, à condition d’agir avec des décisions, précisions et vitesse et de ne pas s’affoler.
Un coup de genou au bas ventre, un coup de coude à l’estomac, une « pique » de main aux yeux, une claque sur les oreilles, un coup de griffe au visage ou un coup de pied au tibia sont là, quelques moyens faciles à appliquer, ne demandant pas un entraînement spécial et c’est largement suffisant pour une femme de se dégager d’une prise. Elle a intérêt aussi à rompre tout contact au plus vite possible, puis prendre la fuite, au quel cas, elle risquerait un danger. La femme pratiquant la self défense veillera toute fois à ne pas s’affoler pour rien et à ne pas faire montre de ses premières ressources à la première occasion.
UN COUP DE PIED BIEN appliqué entre les deux jambes c’est plus efficace que dans les tibias, et prendre la poudre des scampettes ( est comme celà que l’on écrit cette expression ? ) en criant au secours ! si l’attaquant s’est introduit dans l’appartement connez un coup de pied entre les deux jambes en hurlant pour ameuter les voisins courir à la cuisine prendre un rouleau à patisserie et lui en appliquer un grand coup dans la tronche, retourner à la cuisine prendre un pschitt à laver les vitres ou mieux encore une bombe mousse à moquette et lui en pulvérser les yeux et visage en poussant des cris de guerre puis ouvrir la porte et décamper avertir les voisins . Si vous ne pouvez ouvrir la porte, pendant qu’il se débat dans ses douleurs et dans sa mousse courrez dans la chambre prenez une couverture et la lui jeter sur le corps pour l’empêtrer , courez à la cuisine chercher une casserole d’eau chaude du robinet , lui verser sur la tête, si vous avez une corde sous la main le prendre au lasso, redonnez un coup de rouleau à patisserie sur la tête jusqu’à achèvement complet, quand il est moet téléphonez à la police et aux pompiers et dites que vous avez commis une simple bavure ! non non je paisentait : il vaut mieux dès le plus jeune âge filles et garçons apprendre sérieusement un sport de défense
Le femme est plus forte que l’homme
Nous remercions DIMOSY pour avoir écrit ce sujet concernant une question dont on ne parle pas assez souvent: les agressions physiques des femmes.
Depuis que nous avons ouvert une cellule spécialisée au sein de notre Fédération (Fédération des clubs de close-combat), nous avons remarqué que c’est un sujet qui dérange; et dont personne ne semble se soucier. Sans doute, en raison de toutes les angoisses que cela implique lorsque l’on prend la peine de penser aux statistiques.
En effet, dans une ville comme Paris, dans un secteur calme et tranquille tel que le 5ème arrondissement, il faut garder à l’esprit qu’il y a environ 100 agressions sexuelles et 10 viols chaque année. Pour le seul 5ème arrondissement!
Naturellement, les autorités se gardent bien de signaler ces chiffres à la population (de temps en temps, un quotidient titre « il y a un viol toutes les 2 heures en France », puis après: plus rien). On comprend bien le risque de psychose que represente la divulgation du nombre de crimes de ce type (tous le monde à une mère, une soeur, une épouse pour lequel il s’inquiète), mais il convient cependant de rester vigilent.
Pour conclure et rester positif, il ressort de nos séances d’entraînement que ce sont les femmes les plus fortes. En ce sens que, au plan psychologique, elles sont moins « paranos » que les hommes. Et c’est un point très important en combat: ne pas penser que l’on va se faire agresser à chaque coin de rue, attendre le choc du combat corps à corps avec la plus grande sérennité!
Pour nous, compte tenu de notre expérience dans l’instruction du combat à main nue, nous sommes convaincus que si les hommes fréquentent plus les salles de sports de combat, c’est non pas à cause de leur prétendue supriorité, ou aptitude, physique par rapport aux femmes, mais plutôt parce qu’ils ont bien plus peur de la « dérouillée »…