Est-ce la fin du « YES WE CAN » ?

 

Le rêve américain insufflé par Barack Obama il y a deux ans lors de son élection à la présidence américaine, risque de s’assombrir d’ici peu avec les résultats des élections de mi-mandat. Comment va t-il pouvoir réagir face à ce revers cinglant  qui va l’obliger à gouverner sans majorité absolue dans les deux ans à venir 

Les résultats des élections américaines de mi-mandat viennent d’être diffusées, à travers le monde par  l’ensemble des médias ; les démocrates ont perdu près de 60 élus à la Chambre des représentants c’est-à-dire au Congrès et le parti républicain gagne plusieurs sièges au Sénat, sans pour autant  en compromettre la majorité.

 

Les commentateurs spécialisés avaient prédit depuis bien longtemps la défaite du camp du président américain à ces élections de mi-mandat très médiatisées et très coûteuses financièrement.

 

Le président américain n’a plus le choix, il va être obligé de changer sa manière de gouverner et de modifier son image.

 

Cet homme porteur d’espoir et encensé lors de son élection en 2008, apparaît aujourd’hui aux yeux des américains comme quelqu’un de  rigide et de distant, même si ces facilités d’élocution renforce son charisme.

 

Son manque d’expérience de pouvoir a peut être aussi été un élément déterminant dans ses choix politiques.

 

Sa mission était très difficile dans la mesure où le pays était confronté à une grave crise économique et financière et à un déclin de nombreux secteurs d’activité.

 

Il a voulu tout  mettre en marche à la fois, les réformes structurelles et conjoncturelles pour mener à bien le relèvement économique du pays, mais les résultats de reprise économique se sont faits attendre et le taux de chômage a atteint les 10 % ce qui est très mal vécu par les américains.

 

La grande réforme de la Sécurité sociale, n’a pas été non plus perçue favorablement par une grande partie des américains qui ont compris qu’ils allaient devoir financer la couverture médicale des plus pauvres sans de réelles contreparties.

Les déficits publics se sont considérablement élargis et l’esprit d’entreprise n’a pas suffisamment été soutenu.

 

Beaucoup, lui ont reproché de ne pas avoir su gérer en matière d’image, la marée noire du Golfe du Mexique qui a provoqué de nombreux dégâts écologiques et économiques.

 

Et puis il y a aussi ce projet de mosquée,  soutenu par Barak Obama mais très largement contesté par l’ensemble de l’Amérique, qui doit être construite, près du World Trade Center, à New York, sur le lieu symbolique des attaques terroristes du 11 septembre 2001.

 

Tous ces éléments, sans parler aussi de la guerre en Afghanistan ont considérablement affaibli la popularité du président américain, qui après avoir été porté aux cieux il y a deux ans, doit actuellement retrouver un regain de légitimité auprès de ces concitoyens.

 

 

3 réflexions sur « Est-ce la fin du « YES WE CAN » ? »

  1. « OUI-YES-WE-CAN-est d’actualitè,voila un president elu depuis,a,peine deux ans et là toutes les turpitudes du capitalismes hybrides,de jadis…LE-44-è president des etats-unis- d’amerique droit trouver l’origines ,de nos predateurs averè,l’amerique n’est pas une simple-affaires,le cotè inculte en politique du nouveau monde me consterne,helas; met là,la condescendance qui nous sied bien ici m’exaspeire,de vouloire comparer…pour une juxtaposition…aucune comparaison…??? b zebo correspt de press

  2. « LE-REVEIL-DES-EXTREMES-DROITES-fini,la politique bipolaire de,ce monde,et route vers un ordre-nouveau,qui vit sa genesse dans les tours,du,11-septembre,dou émerge part la force hybrides de l’information,une peur imposer a la vie citoyenne dans le monde,de plus avec l’election du 44em president des etats-unis de surcroit un noir,les republicains ce sont trouvez,un triste-sire,pour ce refaire une image,et effacez,cette misere-sociale et, intellectuelle,de la societe nord americaine,et,depenaliser les injustice flagrantes d’une classe pauvres »the-working-poors » de l’amerique,le travaille accomplie par le president »BARACK-OBAMA-est titanesque;met l’amerique est un meltig-pot avec c’est paradox…

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