Entre Sorbier et le goulag


 

Entre Sorbier et le goulag

Dans le cadre calfeutré du petit village de Sorbier, au-dessus de tout soupçon, on peut lire ce ban : Assignation en référé

Madame le Maire informe l'assemblée que la Commune est assignée en référé devant le TGI de Cusset, à la requête de Mme et M. Sott, le 17 octobre 2007.

Le Conseil Municipal après avoir délibéré et l'unanimité décide de solliciter les service de M° Chable en qualité d'avocate pour défendre la Commune et d'inscrire une provision de crédits d'un montant de 2000 € ?

Personnes Présentes : Perard Pierrette – Favier Jean – Arveuf Bernard – Perrot Jean-Claude- Hervier Brigitte – Letot Jean-Pierre lesquels forment la majorité des membres en excercice.

Absentes : Ressot Aurelie – Bourgeois Monique.

Secrétaire : Arveuf Bernard

Sorbier le 8 octobre 2007.

Une analyse rapide de ce texte nous démontre, si besoin est, que le village de Sorbier est dirigé d'une seule main. En effet, la Mairesse informe le 8 octobre 2007 les Conseillers municipaux que la commune de Sorbier est assignée en référé le 17 octobre 2007. Nous somme en droit de nous poser cette question : « Qui a fait les démarches auprès de M° Chable avant le 8 octobre 2007 sans l'assentiment des Conseillers municipaux ? » Le texte parle de lui-même, les Municipaux n'ont fait qu'approuver une décision déjà entérinée. Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que les Municipaux jouent le rôle des marionnettes. La marionnette Bernard Arveuf, secrétaire, relate la séance d'une municipalité qui ne doit pas exister car la Conseillère municipale Mlle Aurelie Ressot a déménagé de Sorbier et, en vertu de la loi, ne peut plus être Conseillère à Sorbier. La Mairesse aurait dû organiser une élection partielle pour remplacer Mlle Ressot. Juridiquement les séances du conseil municipal étaient et sont nulles depuis le départ de la conseillère. Pourquoi n'a-t-elle pas organisé une élection partielle ? Ou pourquoi le conseil municipal n'a pas choisi par vote un ou une remplaçante ?

Jacob Loewe – Basel – Suisse

Communiqué de presse

de Jacob Loewe – [email protected]

Basel – Suisse

3 réflexions sur « Entre Sorbier et le goulag »

  1. Ajout
    Nous avons appris que la mairesse à changer de parti, du communisme à l’UMP. Si nous étions sous Vichy est-ce que la mairesse aurait changé de parti ? Est-elle devenue communiste par idéal ou pour cacher d’éventuels secrets ? Son de feu époux a-t-il été obligé de travailler dans les Jeunesses françaises et en Allemagne ?
    Ce qui est sûr c’est qu’en retournant sa veste, la mairesse de Sorbier aura du mal à expliquer aux retraités qu’elle « choye » pour des raisons politiques, pourquoi ils devront payer une redevance TV…

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