Envoyée spéciale en Tunisie NADIA HACHIMI ALAOUI
Petit à petit, ils s’organisent. A Tunis, à Sfax, ou Kairouan, devant les universités ou les ministères, leur voix, encore timide, se fait entendre. Depuis quelques mois, dans les rues propres et policées de Tunisie, les diplômés chômeurs bravent les interdictions. «Depuis novembre, nous avons organisé 146 manifestations», notent Cherif, 28 ans et Folla, 32 ans, tous deux membres fondateurs de la toute jeune Union des diplômés chômeurs. Avec sa maîtrise en sciences de la vie, Folla alterne, depuis sa sortie de l’université il y a cinq ans, stages et petits boulots pour à peine 150 dinars (82 euros) par mois, quand Cherif, bac + 6 en histoire, vit grâce au soutien financier de ses parents.
Petit à petit, ils s’organisent. A Tunis, à Sfax, ou Kairouan, devant les universités ou les ministères, leur voix, encore timide, se fait entendre. Depuis quelques mois, dans les rues propres et policées de Tunisie, les diplômés chômeurs bravent les interdictions. «Depuis novembre, nous avons organisé 146 manifestations», notent Cherif, 28 ans et Folla, 32 ans, tous deux membres fondateurs de la toute jeune Union des diplômés chômeurs. Avec sa maîtrise en sciences de la vie, Folla alterne, depuis sa sortie de l’université il y a cinq ans, stages et petits boulots pour à peine 150 dinars (82 euros) par mois, quand Cherif, bac + 6 en histoire, vit grâce au soutien financier de ses parents.
Envoyée spéciale en Tunisie NADIA HACHIMI ALAOUI
Petit à petit, ils s’organisent. A Tunis, à Sfax, ou Kairouan, devant les universités ou les ministères, leur voix, encore timide, se fait entendre. Depuis quelques mois, dans les rues propres et policées de Tunisie, les diplômés chômeurs bravent les interdictions. «Depuis novembre, nous avons organisé 146 manifestations», notent Cherif, 28 ans et Folla, 32 ans, tous deux membres fondateurs de la toute jeune Union des diplômés chômeurs. Avec sa maîtrise en sciences de la vie, Folla alterne, depuis sa sortie de l’université il y a cinq ans, stages et petits boulots pour à peine 150 dinars (82 euros) par mois, quand Cherif, bac + 6 en histoire, vit grâce au soutien financier de ses parents.
Petit à petit, ils s’organisent. A Tunis, à Sfax, ou Kairouan, devant les universités ou les ministères, leur voix, encore timide, se fait entendre. Depuis quelques mois, dans les rues propres et policées de Tunisie, les diplômés chômeurs bravent les interdictions. «Depuis novembre, nous avons organisé 146 manifestations», notent Cherif, 28 ans et Folla, 32 ans, tous deux membres fondateurs de la toute jeune Union des diplômés chômeurs. Avec sa maîtrise en sciences de la vie, Folla alterne, depuis sa sortie de l’université il y a cinq ans, stages et petits boulots pour à peine 150 dinars (82 euros) par mois, quand Cherif, bac + 6 en histoire, vit grâce au soutien financier de ses parents.
Lire la suite : http://tunisiawatch.rsfblog.org/archive/2008/04/30/en-tunisie-le-malaise-de-la-generation-ben-ali.html.
A mes Chères Consoeurs et mes Chers Confrères de Tunisie.
A la suite de la publication de nos articles sur come4news :
– « COME4NEWS , « NOTRE SITE » censuré en Tunisie!!!!! », rédigé par SOPHY(1),
– « Come4News en Tunisie: une popularité qui dérange sur fond de CENSURE », rédigé par Michel(2),
– « Le site Come4news, censuré en Tunisie par les autorités », rédigé par Blaise(3),
– mon « Appel lancé à Son Excellence, Monsieur Zine Abedine Ben Ali, Président de la République Tunisienne »(4),
voici le message que François Marginean me demande de vous transmettre…
NB : Vous trouverez nos 4 articles intégralement publiés sur le Site des Nouvelles Internationales :
http://lesnouvellesinternationales.blogspot.com/2008/05/censure-en-tunisie-du-site-come4news.html
—————« Censure en Tunisie du site Come4new : Basta ! »———
« Je tiens à appuyer ces gens qui comme vous et moi cherchons la vérité et s’impliquent dans leur milieu de façon constructive et respectueuse, mais qui doivent présentement lutter contre une censure de leur site Internet pour avoir commit le crime de pensée indépendante, d’exercer le droit fondamental et universel de liberté d’expression, pour avoir froissé la classe dirigeante.
Ne doutez jamais que nos actions individuelles peuvent et changent le monde. Elles sont encore plus fortes si elles se combinent en un effort commun. La seule chose qui vous est demandé est de prendre conscience de cette force que nous avons et d’une autre part, la censure réelle et qui est parfois mise en place et qui nous menace tous. Rien ne changera si vous ne passez pas à l’action. La classe dirigeante compte sur vous pour ne pas réagir et être indifférents, pour penser que tout est séparé et que le sort de nos frères et soeurs de par le monde ne vous concerne pas. Ils comptent sur vous pour que vous vous sentiez impuissants. Parce qu’ils savent bien que nous sommes la définition même du « pouvoir ». Sans notre consentement ou notre silence, ils ne peuvent rien faire.
Ce qu’on vous demande gentiment de la part de nos amis de la Tunisie, c’est de lire ces articles ci-bas et de vous rendre sur leurs pages originales et de laisser vos commentaires pour en avoir une quantité suffisante pour qu’ils puissent remettre une demande officielle au président de lever la censure de leur site de nouvelles alternatives.
Merci beaucoup de votre attention.
-LNI »
Nous souhaiterions que vous veniez en masse lire et commenter nos articles, non seulement sur le site des Nouvelles Internationales, mais également sur Come4news… Cela, je l’espère, contribuera à faire réfléchir le pouvoir tunisien sur ses relations avec les Médias !
Recevez mes sincères salutations
Dominique Dutilloy,
Journaliste
(1) http://www.come4news.com/index.php?option=com_content&task=view&id=13784
(2) http://www.come4news.com/index.php?option=com_content&task=view&id=13766
(3) http://www.come4news.com/index.php?option=com_content&task=view&id=13776
(4) http://www.come4news.com/index.php?option=com_content&task=view&id=13792