En France, on s’obstine avec la loi DADVSI

DADVSI (Droit d'Auteur et Droits Voisins dans la Société de l'Information) : Et du coup, on ne parle que de piratage, de vols, de partages de fichiers interdits et de téléchargement illégal.

Jamais de chose positive comme par exemple le site MySpace, qui permet aux "musiciens internautes" de partager et de commercialiser leur musique (l' idée vient du créateur du très controversé "Napster", l' un des premiers "poids lourd" du logiciel peer-to-peer) …

On ne parle jamais non plus de tout ces artistes de l' ombre qui partagent leur musique via leur site parce que la musique est faite pour circuler.

On peut aussi citer l' exemple de G.Michael, décidé à vendre ses albums via le web ou encore de Prince, qui offrira sa dernière galette à tous ceux qui viendront aux concerts.

Hier la musique marchande, demain la musique solidaire ?!

Une réflexion sur « En France, on s’obstine avec la loi DADVSI »

  1. La clé: le consentement
    Est-ce la mauvaise foi ou la bêtise ou les deux qui amènent certains commentateurs à utiliser le fait des téléchargements effectués AVEC le consentement des auteurs (les débutants, occasionnellement certains pros comme Prince) pour justifie les téléchargements effectés SANS le consentement des auteurs? Serait-ce que l’idéologie l’emporte sur l’intelligence et sur l’éthique?

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