2002 : 14 pauvres âmes dont 11 français disparaissent lors d’un attentat à Karachi au Pakistan…
2010 : Dans une petite bourgade paisible, des génisses broutent paisiblement leur maigre pâturage, tandis que des clabauds maigrichons aboient la douce lumière matinale. Dans une même cadence, les corvéables sortent de leur préfabriqué aux couleurs pastel, pour aller piétiner de concert, les pavés de la Capitale dorée, pour chercher l’ouvrage…
Derrière l’oeil de boeuf de son manoir, le mystérieux Edouard Balladur n’est pas un vieux garçon ordinaire. Il a reçu un coeur pour cacher, un cerveau pour compter et 10 millions de francs pour financer… sa campagne présidentielle de 1995. Son créateur lui attribua même de vieilles lames de métal en guise de doigts, pour couper court aux rumeurs…
Coupé des réalités et touché par tant de pouvoir, il rangera précieusement dans un coffre marqué de son sceau, un contrat de vente de sous-marins au Pakistan et des preuves bancaires de l’insidieuse transaction. Epaulé par son complice le nain d’argent Sarkozy, alors ministre du budget et porte parole de la campagne d’Edouard, ce dernier aurait validé scrupuleusement le système des sociétés écrans agencées pour eclipser des rétro-commissions sur des ventes d’armes qui auraient bien sculpté la campagne présidentielle d’Edouard…
Et c’est après le coup de cisaille brutal par sir Chirac, sur le versement de ces commissions malfaisantes, que l’Etat pakistanais aurait commis l’attentat de Karachi en guise de pénitences ! Un financement politique illicite donc, qui aurait provoqué la mort de ces pauvres infortunés…