Ecoute, écoute… woerthgate suite provisoire.

 Les écoutes, comme jadis…

Vous aviez encore en travers de la gorge les liberalités qu’avait prises F. Mitterrand avec le trésor public et les services spéciaux pour protéger Mazarine. Certains, bienveillants, diront que c’est le passé, que nous avons dépassé ces mœurs d’un autre siècle. Quand ON écoutait Bouquet, Hallier, Pleynel…

Après nous eûmes J.Chirac, putain, 2ans…, mangez des pommes, Supermenteur, la fracture et l’endormissement sur des emplois fictifs.

Eh ! Bien, une génération plus tard… C’est pareil. Bis repetita placet… Pourtant après la rupture tonitruée en 2007, on était en droit d’espérer en une République transparente, celle qui nous manquait tant au bout de 2 monarchies quasi constitutionnelles et que l’on nous promis la main sur le cœur et le bulletin dans l’urne.

Depuis la technique des écoutes a changé. Le portable qui nous chante dans les poches a pour corollaire des Grandes Oreilles plus raffinées.

Et l’on en revient au bon vieux temps. Tout ça pour une affaire de cornecul, une de plus, où le mensonge, l’honnête Woerth, l’acharnement, les guéguerres de justice et l’agacement général se mêlent lourdement.

Le journal « Le Monde » va porter plainte contre X, parce que X a demandé à la DGCI de trouver la source d’un de ses journalistes. (Ce qui semble-t-il, fut simple.)

Les épisodes suivants vont être savoureux s’il n’y avait la crise pour nous ramener à des réalités moins grotesques.

C’est avec délectation que l’on va suivre le feuilleton sur le Canard Enchaîné ou bien nous régaler des Guignols. Putain ! Deux ans, aussi !

Et pendant ce temps-là… les taxes vont augmenter !