Christain Prouteau.
Celui par qui le scandale arrive.
Un simple box ou dormait paisiblement les « archives secrètes » de l’Elysée. Huit cantines numérotées, des dizaines de dossiers aux noms soigneusement étiquetés : Ouvéa, Otages du Liban, Greenpeace, Irlandais de Vincennes, Tchad, Corse, Paraguay, Uruguay, Luchaire, Affaire du Coral, etc.
Un listing explosif.
Le contenu de ces dossiers est édifiant. On y découvre l’autre visage de François Mitterrand, l’homme de l’ombre, obsessionnel à l’extrême dans son goût pour le renseignement policier et dans l’élaboration de coups tordus.
Les pédophiles de la « mitterrandie » ont été couverts par l’ex-Président de la République. Des criminels ont échappé à la justice, et encore une fois des victimes violées, souillées dont la mémoire sélective de certains ne font aucun égard. Des pratiques digne d’une République bananière !
Coral & Kripten: « secrets défense » explosifs, volés par le Cdt Prouteau
Samedi, mars 13, 2010.
Le 19 février 1997, le contre-espionnage français (DST), découvre les dossiers Coral et Kripten, dans le garage du Commandant Prouteau, créateur de la cellule anti-terroriste de l’Elysée. Il avait emporté ces documents en 1995, au départ de Mitterrand, avec tous les documents exposant les pratiques illégales couvertes par le président. Le capitaine Paul Barril, subordonné de Prouteau, déclarera en audience publique le 29 avril 1997 : « Je me rappelle qu’on nous avait alerté pour stopper l’enquête sur le réseau pédophile « Coral » à cause des personnalités mises en cause. » Parmi ces personnalités: Jack Lang, le ministre de la culture, mais aussi le neveu du président.
Mitterrand apparaît suivre de très près l’avocat Jacques Vergès, qui défend quantités de dossiers délicats, dont les intérêts Jean-Claude Krief, qui s’est fait attaqué de toute part, quand en septembre 1982, il a exposé l’affaire CORAL. Une attention soutenue pourtant contraire aux droits de la défense: « Septembre 1982. Conformément à vos instructions, j’ai fait effectuer les recherches destinées à vérifier les informations qui vous avaient été données sur l’avocat. Les marchés traités le sont effectivement par ce monsieur, et, comme vous le supposiez, le règlement doit se faire incessamment. Je précise effectivement: nous restons en contact sur cette affaire et, si elle doit se dérouler comme prévu, il y a de fortes chances pour que nous puissions aboutir. Sauf instructions nouvelles de votre part, nous poursuivons donc cette affaire jusqu’au bout. Le chef d’escadron Prouteau. »
Les archives explosives du préfet Prouteau
Par Dupuis Jérôme, Pontaut Jean-Marie, publié le 03/04/1997
Dans les malles que conservait l’ancien gendarme de l’Elysée se trouvent de nombreuses notes confidentielles, souvent embarrassantes pour François Mitterrand
C’est un box anonyme de la banlieue parisienne, comme il en existe des milliers. Mais celui-ci abritait, dans quelques cantines métalliques bourrées de dossiers, la part la plus secrète de la présidence de François Mitterrand. L’ancien responsable de la célèbre cellule de l’Elysée, Christian Prouteau, y avait entreposé toutes ses archives, en 1995, au départ du président. Un trésor débusqué le 19 février dernier par le contre-espionnage français (DST) et qu’il a partagé, non sans réticences, avec pas moins de trois juges d’instruction.
Ce jour-là, au petit matin, le procureur de Versailles, alerté par la DST, avait confié en urgence une information judiciaire au juge Jean-Marie Charpier pour «vol et recel de documents classés ?secret défense?». Escorté par deux hauts fonctionnaires du contre-espionnage, le magistrat s’est aussitôt rendu à l’intersection des rues Marie-Hillion et Marcel-Jeantet, à Plaisir, dans les Yvelines. Là, après avoir forcé la porte métallique du box de Christian Prouteau, ils découvrent un véritable capharnaüm: à droite, une quarantaine de cartons de livres et de souvenirs entassés et les pièces d’un moteur de R 25; à gauche, 12 cantines de dossiers sur les Jeux olympiques d’Albertville, en Savoie (dont Prouteau avait assuré la sécurité), et enfin, bien protégées tout au fond, 8 cantines numérotées renfermant les archives de l’Elysée. Ce sont ces dernières qui intéressent évidemment les policiers de la DST et le juge Charpier. A l’intérieur, des dizaines de dossiers aux noms soigneusement étiquetés: Ouvéa, Otages du Liban, Greenpeace, Irlandais de Vincennes, Tchad, Corse, Paraguay, Uruguay, Luchaire, Affaire du Coral, etc. Le tout recensé dans un listing explosif.
L’une des cantines contient également des «registres concernant des écoutes téléphoniques du GIC» – les fameuses écoutes de l’Elysée. Du coup, le juge Charpier appelle immédiatement sur son portable son collègue parisien Jean-Paul Valat, qui instruit cette affaire et qui a déjà mis en examen, notamment Gilles Ménage, ancien directeur du cabinet de François Mitterrand, et Christian Prouteau lui-même. Arrivé sur les lieux à 11 h 15, le magistrat va se heurter à la «gourmandise» de la DST: celle-ci estime que toutes les notes frappées du sceau «secret défense» lui reviennent, y compris le registre manuscrit dans lequel le préfet Prouteau avait consigné toutes ses demandes d’écoutes téléphoniques avec les noms et les dates. Mais le juge Valat parvient tout de même à récupérer 5 cantines et 2 cartons «contenant divers documents et objets». Le juge Charpier et son collègue versaillais Yves Madre, chargé de l’affaire des Irlandais de Vincennes, se partagent le reste du butin.
Le contenu de ces dossiers est édifiant – et parfois même inquiétant. On y découvre, au jour le jour, le goût personnel, voire maniaque, de François Mitterrand pour le renseignement policier et les «coups tordus» à travers une série de notes adressées au président par Christian Prouteau. Des mentions manuscrites «Vu» attestent que François Mitterrand a bien lu cette série de rapports.
L’obsession de la vie privée
Ainsi, une note du 6 novembre 1985, portant le n° 165/2 et signée Christian Prouteau, à l’attention de François Mitterrand, propose un certain nombre de mesures en prévision de la cohabitation de 1986, concernant en particulier la vie privée du président: «Le problème de votre sécurité au sens large, après les élections de mars 1986, me conduit, pour être le plus efficace possible, à envisager les conditions les plus dures pour être certain de pouvoir assurer ma mission au mieux. Il apparaît alors indispensable d’avoir vis-à-vis de certains ministères une autonomie de fonctionnement. Il s’agit en fait pour moi de vous garantir une discrétion totale de vos déplacements, surtout dans le cadre de ce qu’il est convenu d’appeler le ?privé? et de vos entretiens (téléphoniques ou autres). […] Concernant vos déplacements sur Paris et les problèmes d’ordre public qui pourraient être utilisés par le ministère de l’Intérieur comme un moyen de pression politique, le poste de préfet de police est un poste stratégique important.» Aussi Christian Prouteau propose-t-il de maintenir à son poste le préfet Guy Fougier, dont le «soutien [lui] paraît acquis». «Enfin se pose à nouveau le problème des écoutes tel que M. Ménage vous l’a exposé. Il peut se résumer en deux difficultés: les réticences du cabinet du Premier ministre en matière de construction [terme administratif pour écoutes téléphoniques], et la non-application de nouvelles mesures que M. Ménage vous avait proposées. […] Ainsi, en moins de deux mois, nous sommes passés de l’exploitation de 20 lignes à 11 lignes, réduisant d’autant nos moyens de vous renseigner.»
La protection de la vie privée de François Mitterrand et de sa fille Mazarine demeurera l’une des grandes obsessions de la cellule. Elle conduira ses responsables à s’occuper particulièrement de l’écrivain Jean-Edern Hallier, qui menace de révéler l’existence de la jeune fille. Dans une note à l’attention de M. le président de la République, le 2 mars 1984 Christian Prouteau n’hésite pas à écrire: «Objet: affaire Edern Hallier. Par les moyens techniques dont nous disposons, nous avons appris hier qu’Edern Hallier devait être l’un des invités surprises d’une émission appelée Aujourd’hui la vie, qui devait être diffusée aujourd’hui en direct à 13 h 50. J’ai donc averti immédiatement M. Colliard [collaborateur de François Mitterrand], qui a pris les dispositions qui s’imposaient, et l’émission a été annulée.»
François Mitterrand s’intéressait d’ailleurs au jour le jour aux agissements de Jean-Edern Hallier, ainsi qu’en témoigne une autre note que lui a adressée Christian Prouteau, le 29 février 1984: «Comme vous me l’avez demandé, lors de notre dernier entretien, voici la liste complémentaire des personnes avec lesquelles il est entré en contact. Si vous souhaitez quelques précisions les concernant, cochez les noms qui vous intéressent sur la liste, s’il vous plaît. Le chef d’escadron Prouteau.»
François Mitterrand suit également de près les activités de l’avocat Jacques Vergès, défenseur attitré de l’extrême gauche et de certains terroristes. Une attention soutenue pourtant contraire aux droits de la défense: «Septembre 1982. Conformément à vos instructions, j’ai fait effectuer les recherches destinées à vérifier les informations qui vous avaient été données sur l’avocat. Les marchés traités le sont effectivement par ce monsieur, et, comme vous le supposiez, le règlement doit se faire incessamment. Je précise effectivement: nous restons en contact sur cette affaire et, si elle doit se dérouler comme prévu, il y a de fortes chances pour que nous puissions aboutir. Sauf instructions nouvelles de votre part, nous poursuivons donc cette affaire jusqu’au bout. Le chef d’escadron Prouteau.»
L’un des plus célèbres clients de Me Vergès, le terroriste Carlos, était dans le collimateur de la cellule, qui aurait bien aimé s’en «occuper personnellement». Elle avait d’ailleurs reçu des ordres très précis du président à ce sujet, comme l’indique Christian Prouteau dans une note du 11 janvier 1983: «Il est sûr que dans votre esprit, compte tenu du danger représenté par Carlos, il était important, dès qu’il aurait été repéré, de faire le nécessaire pour qu’il ne puisse plus nuire. C’est ce que j’avais compris dans l’entretien que j’avais eu avec M. Defferre.»
Déstabiliser des adversaires
D’autres notes évoquent pêle-mêle la sécurité de MM. Debray et Jospin, menacés par des terroristes allemands, l’affaire Greenpeace, le dossier Carrefour du développement ou des nominations sensibles, comme celle du futur patron de la gendarmerie. Enfin, le 6 mars 1986, le chef de la cellule livre à François Mitterrand un avis de connaisseur: «Conseil sur le téléphone. Après le 16 mars, dans l’hypothèse d’un changement de majorité et de la désignation d’un ministre de l’Intérieur qui ne nous serait pas favorable, il sera important de se méfier de l’utilisation du téléphone du réseau interministériel. En effet, le central de ce réseau se trouve au ministère de l’Intérieur, et il est extrêmement facile, sans que personne s’en rende compte ni puisse le déceler, d’effectuer à partir du répartiteur des branchements.»
Outre les notes présidentielles, les cantines de Christian Prouteau débordent de curiosités en tout genre. On y trouve, par exemple, une surprenante note politique concernant un «jeune énarque de 35 ans» qui monte. Dans le «discrédit général» dont souffre la classe politique, poursuivent les «analystes» de la cellule, ce jeune inconnu nommé Philippe de Villiers émerge; la radio libre qu’il a créée en Vendée (Alouette FM) talonne de près France-Inter, continue la note, avant de proposer un contact entre Villiers et la présidence.
La politique intérieure ne semble d’ailleurs pas étrangère aux préoccupations des hommes du président: Prouteau a gardé dans ses archives une très longue note non signée qui propose sans ambages de déstabiliser certains adversaires politiques grâce à des «écoutes», à des enquêtes sur la «vie privée des candidats», à des «troubles à des réunions politiques», etc. On ne sait quelle suite lui a été réservée.
Plus anecdotiquement, Christian Prouteau et la cellule semblent rendre toutes sortes de services: les cantines retrouvées à Plaisir renferment de nombreuses «demandes d’intervention», allant des contraventions à faire sauter aux propositions de Légion d’honneur, en passant par l’organisation d’une rencontre entre le PDG d’IBM France et André Rousselet, ancien directeur du cabinet de François Mitterrand. C’est d’ailleurs IBM France qui a mis en place le système informatique de la cellule.
De nombreuses notes concernent la célèbre affaire des Irlandais de Vincennes. L’arrestation en fanfare, en 1982, de ces militants de l’IRA donne lieu à un feuilleton politico-judiciaire dans lequel les hommes de l’Elysée sont accusés d’avoir monté un coup. Christian Prouteau souhaite donc que son informateur, Bernard Jégat, ne révèle pas les dessous du dossier à la justice. Pour cela, il va le «bichonner». Le chef de la cellule multiplie les notes à ce sujet: le 9 juillet 1984, il propose que la compagne de Jégat, qui travaille à la SFP, bénéficie d’une promotion; le lendemain, une nouvelle note à Gilles Ménage, titrée «Aide à apporter à un informateur important», débute par ces mots: «Sur un sujet que connaît très bien M. Régis Debray, il était convenu d’aider l’un de nos informateurs, que nous appellerons M. X. […] Il est urgent de lui trouver une nouvelle résidence», car il a été effrayé de découvrir des graffiti dans sa cage d’escalier. Justement, la cellule s’est renseignée: grâce au 1% patronal, la SFP dispose d’un parc immobilier et, après vérification, il reste des appartements libres. Les hommes du président vont jusqu’à demander pour Jégat un port d’armes qui lui a pourtant été refusé par la préfecture de police en raison de ses liens avec des «terroristes» irlandais. Pourquoi tant de sollicitude? La conclusion de la note est sans ambiguïté: «Il faut éviter que Jégat ne se présente d’initiative devant le juge Verleene afin de prouver son bon droit.» On peut difficilement proposer plus clairement de court-circuiter la justice…
Les notes retrouvées dans le box de Christian Prouteau prouvent que, dans cette affaire, l’Elysée n’a pas hésité non plus à enquêter sur quatre journalistes (du Canard enchaîné, du Monde, de Libération et du Quotidien de Paris). Un véritable fichage politique les présente comme de dangereux gauchistes en relation avec le groupe anarchiste Bakounine-Gdansk. Ainsi qu’on l’a vu, les avocats ne sont pas épargnés, eux non plus: une note n° 104/2 du 2 juin 1983 précise que «Me Antoine Comte joue, au milieu de ce marécage, un rôle très louche en sa qualité de défenseur des membres d’Action directe». Un autre rapport (n° 142-2), qui ne peut se fonder que sur des filatures ou des écoutes, retrace même un dîner auquel a assisté l’avocat avec les épouses de plusieurs magistrats.
L’examen des archives de l’ancien chef de la cellule apporte surtout des éléments nouveaux dans l’affaire des écoutes de l’Elysée. Jusqu’à aujourd’hui, on pensait que ces écoutes – dont certaines transcriptions ont été retrouvées dans le box – s’arrêtaient brutalement en mars 1986, avec l’arrivée de Jacques Chirac à Matignon. On sait qu’au moins en une occasion la cellule a ensuite sous-traité avec des sociétés privées pour poser des écoutes sauvages: en décembre 1987, d’anciens gendarmes, dont un certain Robert Montoya, sont arrêtés alors qu’ils posent une bretelle sur la ligne d’un huissier de l’Elysée soupçonné d’avoir organisé des fuites. L’enquête n’avait pu établir formellement la responsabilité de la cellule dans cette affaire des «plombiers de l’Elysée». Pourtant, la saisie, dans le box de Plaisir, des agendas de Christian Prouteau prouve que, à la même période, le conseiller de François Mitterrand est en contact permanent avec Robert Montoya: 18 rendez-vous mentionnés pour la seule année 1987. Certaines annotations sont quasi transparentes: ainsi, à la date du 30 septembre 1986, on peut lire: «Montoya. Scanner [instrument servant à intercepter les téléphones de voiture]»; le 13 mai 1987 figure la mention: «Dewavrin. Sur liste objectif Montoya» (Dewavrin étant le PDG des établissements Luchaire, soupçonnés d’avoir vendu illégalement des obus à l’Iran).
De toute évidence, la cellule de l’Elysée s’intéresse de très près au matériel permettant d’effectuer ou de détecter des écoutes sauvages, comme en témoigne un devis du 2 avril 1984 de la société Protexarms. Une lettre du 24 juin 1985, de Christian Prouteau au patron de la société spécialisée Gérand SA, est sans ambiguïté: «Pouvez-vous me porter pour un essai la mallette HK MP5 pour une période d’un mois? A l’issue de ces essais, si ce type d’équipement nous convient, il est possible que nous en équipions certaines unités.» Le même jour, l’Elysée commande les «équipements de discrétion téléphoniques suivants: Scrambler n° 3100/6 et Scrambler n° 3200/6.»
Ce sont peut-être les éventuelles révélations sur cette période «chaude» de la première cohabitation qui expliquent l’empressement du ministère de l’Intérieur autour des archives de Christian Prouteau. La DST n’est pas tombée par hasard sur la piste du box de Plaisir. Cela fait sans doute plusieurs mois qu’elle enquête sur les anciens de la cellule, leur reconversion en Afrique de même que sur certaines fuites dans le dossier des écoutes de l’Elysée. C’est ainsi que le contre-espionnage serait remonté jusqu’aux fameuses cantines.
Quelques jours avant cette perquisition du 19 février dernier, Christian Prouteau, accompagné de deux amis, s’était rendu rue de Charonne, à Paris, chez Yvon Gaguèche, éditeur d’un ouvrage sur le GIGN. Il y avait récupéré quelques dizaines d’exemplaires du livre pour l’Association des anciens du GIGN – avant de les déposer à Plaisir. Quelques jours plus tard avait lieu la perquisition…
Le 27 février, une lettre anonyme tapée à la machine est parvenue au juge Valat: elle lui suggère d’aller faire un petit tour rue de Charonne dans le parking de l’éditeur Yvon Gaguèche. Le jour même, le magistrat s’y rend, très discrètement: au milieu de pièces détachées de Jaguar et de Triumph, il saisit une épée de cérémonie sur la lame de laquelle est gravée la mention «A monsieur le préfet Prouteau». Il s’agit d’un cadeau de l’éditeur à son ami préfet. Mais pas d’archives secrètes…
Le juge Valat entre alors en contact avec sa collègue Eva Joly. Curieusement, au même moment, en effet, une autre missive anonyme, adressée cette fois-ci à cette dernière, lui conseille d’aller visiter le château de Gilles Ménage, dans le Sud-Ouest. La lettre, très détaillée, promet des révélations sur l’affaire Elf. La juge n’aurait qu’à saisir des documents cachés derrière des boiseries de la propriété. Mais, là encore, la magistrate repartira les mains vides. Autant d’épisodes qui montrent la volonté de certains de voir la justice s’intéresser de près aux agissements de la cellule. Les cantines de Christian Prouteau livrent déjà leurs premiers secrets. D’autres pourraient suivre bientôt.
L’encombrant «trésor» du préfet Prouteau
Par Dupuis Jérôme, publié le 12/11/1998
L’ancien responsable de la sécurité élyséenne comparaît le 19 novembre pour avoir détenu deux documents secret défense
Parmi les milliers de documents ultraconfidentiels conservés par le préfet Prouteau dans un box de Plaisir (Yvelines), seuls deux lui vaudront d’être jugé le 19 novembre, à Versailles, pour «recel de documents présentant un caractère de secret de défense nationale». Le 19 février 1997, le juge Jean-Marie Charpier perquisitionne le box de l’ancien patron de la cellule élyséenne, en présence d’un haut fonctionnaire de la DST, Jacky Debain. Ils découvrent un véritable capharnaüm, mêlant souvenirs personnels, objets divers – un gilet pare-balles, un revolver Manurhin, des pièces détachées de R 25 – mais, surtout, 8 cantines numérotées et verrouillées.
A l’intérieur, des dossiers dont les étiquettes rappellent tous les épisodes chauds et les coups tordus des années 80: Action directe, Arménie, Carlos, Liban, Corse (opérations «Tapis volant» et «Soleil»), Coral-ballets bleus, Curiel, Tapie, Luchaire… On y trouve aussi des rapports des Renseignements généraux, des liasses d’ «interventions», des cassettes audio et vidéo et des centaines de notes adressées à François Mitterrand – et révélées par L’Express (n° 2387, le 3 avril 1997) – qui prouvent que le président de la République était au courant des écoutes téléphoniques pratiquées par la cellule de l’Elysée. Cette masse de documents ainsi que des registres d’écoutes sont alors transmis au juge Jean-Paul Valat, qui instruit toujours ce dossier.
Mais la DST a gardé par-devers elle quelques pièces qu’elle estime être couvertes par le secret défense. Saisi par le juge Charpier, le Premier ministre de l’époque, Alain Juppé, demanda une expertise à Paul Bouchet, président de la Commission nationale des interceptions de sécurité. Ce dernier estime que seules deux pièces sont frappées du secret défense: la retranscription d’un entretien téléphonique dans laquelle il est fait état d’un certain «Gilles» et un fax qui révèle les procédures de fonctionnement des écoutes administratives. Mais, paradoxalement, le contenu de ces deux pièces ne pourra être évoqué au cours du procès du 19 novembre, alors qu’elles constituent le coeur de l’accusation. Une curiosité de droit que ne manquera sans doute pas d’exploiter Me Francis Szpiner, l’avocat du préfet Prouteau. Ce dernier, amer, pourrait, pour se défendre, rappeler que le système des écoutes remontait toute la hiérarchie jusqu’au plus haut sommet de l’Etat.
Sources : Zandvoort doc.
{dailymotion}xj18ji{/dailymotion}
Le débat est ouvert.
http://illuminati-project.kazeo.com/Les-reseaux-pedophiles/Le-dossier-Coral,a2227408.html
{youtube}wW3_a4LjHfc{/youtube}
{youtube}BzVwhvEerww{/youtube}
{youtube}zwQdACP2sao{/youtube}
Bonjour Michel,
Je vois que ces derniers temps nous avons eu les mêmes lectures.
Les problèmes de DSK ont eu au mins ce mérite, de rappeler un certain nombres d’actes criminels qui avaient été enterrés car dérangeants.
On voit bien les propos gênés des politiques suite à la « révélation » de Luc ferry. Il y en a qui ne se sentent pas bien!
Il serait temps que toutes ces affaires ressortent au grand jour et que tous ces pourris soient jugées et condamnés. Vivement la réouverture des bagnes pour ces criminels!
Un peu de ménage dans le monde politique, journalistique, philosophiques …ferait le plus grand bien à notre pays voire d’autres surtout avant les élections présidentielles…Mais je sens que ça va encore être étouffé.
Amitiés
Ludo
Décidément, Michel, vous semblez encore mieux informé que Luc Ferry.
Mais, plutôt que de conclure
[quote]Sources : Zandvoort doc.[/quote]
n’aurait-il pas été plus juste de vous contenter de donner le lien [url]http://zandvoort.morkhoven.org/wordpress/?p=333[/url] qui aurait renvoyé le lecteur vers l’original d’un article dont le vôtre n’est, pratiquement, qu’un copier-coller ?
Peut-être risque-t-il de disparaître, comme la vidéo que vous avez publiée quelques heures à peine après que DSK soit devenu « candidat à FLEURY-MEROGIS », désormais remplacée par la mention « [b][i]CONTENU REJETÉ. Ce contenu a été retiré à la demande de Paris Première[/i][/b] » ?
Enfin, le site auquel vous vous référez, [i]Réseau de production d’images de crime réels[/i] (???), manquant cruellement cruellement des mentions légales auxquelles la législation française nous a habitués, pourriez-vous SVP éclairer notre lanterne et nous dire ce qu’il est et qui le fait fonctionner ? Par avance, merci.
[b]Interview de Serge Garde par Karl Zéro [/b]
{dailymotion}x9ogjg{/dailymotion}
[b]Zandvoort – Le dossier de la honte (plus de 90 mn)
Le lien:[/b]
[url]http://www.ubest1.com/?page=video/17038/13ème-rue-Les-faits-Karl-Zéro-Zandvoort,-le-fichier-de-la-honte#null[/url]
On trouve aussi celle ci (sans doute la même) [url]http://fr.gloria.tv/?media=83031[/url] sous l’intitulé [b]Pédophilie : Doc Karl Zéro reseau zandvoort[/b], avec le commentaire « [i]16/06/2010 23:31:58: Excellent documentaire de Karl Zéro sur le fichier de la honte du pédophile chef de réseau « Ulrich »…[/i] ».
Je n’en suis qu’à la moitié des 90 minutes, mais pour l’instant, je n’ai entendu aucun des noms cités dans le copier-coller (peut-être viennent-ils dans la seconde moitié ?). Idem pour l’interview de Serge Garde, dont j’ai écouté la totalité des 6’22
Bonjour tout le monde,
Michel est absent ce week-end (Roland-Garros) et donc je répondrai dans la mesure de mes moyens.
Cet article au départ était beaucoup plus imposant, Michel a préféré le raccourcir, les liens placés sous les articles ne sont malheureusement pas souvent visités.
Sylvie
Ayant maintenant regardé consciencieusement l’intégralité des 90 minutes, je confirme qu’il s’agit bien de la même vidéo réalisée par Karl Zéro pour 13ème rue.
Les premières 45 minutes sont consacrées quasi exclusivement à la Belgique, autour de l’affaire Marc Dutroux et sa condamnation en solitaire, niant contre toute vraisemblance l’existence d’un réseau.
Les secondes 45 minutes évoquent aussi les affaires d’Angers et les disparues de l’Yonne, là aussi pour s’étonner de la négation de l’hypothèse d’un réseau (bien que 2 des victimes de Émile Louis figurent sur le CD de Zandvoort).
Les noms de Rachida Dati et de Nicolas Sarkozy sont cités, pour évoquer le soutien qu’ils ont témoigné aux parents des victimes de Patrice Evrard (vers la 65ème minute). Mais le reportage regrette aussi qu’aucune mesure sérieuse ne soit prise en France pour traiter la pédophilie, alors que d’autres pays (l’Allemagne, en particulier) ont adopté des méthodes de traitement préventif.
Le nom de Nadine Morano est également cité (vers la 81ème minute) pour une déclaration prononcée dans un colloque à Berlin, laissant espérer une amélioration de cette situation.
Enfin, les noms de Frédéric Mitterrand et de Bernard Kouchner sont cités (vers la 53ème minute) pour dénoncer le tort qu’ils ont eu d’apporter leur soutien à Roman Polanski.
[b]Donc, [u]rien[/u] qui corroborerait le titre de cet article ou la photo qui l’illustre[/b].
Michel nous donnera sans doute des explications dès qu’il sera de retour, mais puisque vous dites avoir les mêmes lectures que lui, Ludo, peut-être pourriez-vous éclairer vos propos, pour mémoire
[quote]Zandvoort – Le dossier de la honte (plus de 90 mn)
Le lien:
http://www.ubest1.com/?page=vi…honte#null[/quote]
et
[quote]On voit bien les propos gênés des politiques suite à la « révélation » de Luc ferry. Il y en a qui ne se sentent pas bien!
Il serait temps que toutes ces affaires ressortent au grand jour et que tous ces pourris soient jugées et condamnés. Vivement la réouverture des bagnes pour ces criminels![/quote]
Quel rapport existe-t-il, selon vous, entre le titre et le fond de l’article et les vidéos ?
Bon, on peut parfois se tromper et par exemple, [i]Le Canard enchaîné[/i] avait fini par conclure mordicus au suicide de Robert Boulin. Je reste encore sur ce point dubitatif, sans pouvoir me prononcer.
Sur Lang et des « personnalités de la Mitterrandie », je reste aussi dubitatif, dans l’affaire Coral, sur l’étendue de la dite implication.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que je n’étais pas un mitterrandiste enthousiaste, et c’est une litote.
Mais quand je n’arrive pas à me prononcer sur des faits précis, ben, je cale.
Là, je cale.
http://reopendutroux.blogs.fr/page_8.html
Qu’un professionnel tel que vous, Jef, cale, voilà qui me rassure, moi qui n’y comprend goutte, non plus.
Et ce n’est pas ce qui se trouve sur le dernier fourni qui va nous aider : on ne sait pas qui écrit et cela semble plutôt viser Hubert Védrine.
Quant au « témoignage » de Yves Bertrand !…
Voici plusieurs liens:
[url]http://droitfondamental.eu/007-Coral___fr.htm[/url]
[url]http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20110603020425AAoNgmJ[/url]
[url]http://www.lexpress.fr/informations/les-archives-explosives-du-prefet-prouteau_621693.html[/url]
Puis ceux-ci:
[url]http://www.nationspresse.info/?p=134764[/url]
[url]http://mili-terre.com/article/24/1101/des-hommes-politiques-francais-entretiennent-ils-d.htm[/url]
[url]http://www.contre-info.com/jack-lang-accuse-de-pedophilie-par-luc-ferry[/url]
[url]http://droitfondamental.eu/007-Coral___fr.htm[/url]
A noter que ces sujets ont été virés du Post !!!!!!!!!
Ça en fait des recoupements! Une vidéo suit.
Voici la vidéo
{youtube}mpXccNe0umE{/youtube}
(suite)
4)L’article, en date du 1er juin 2011 (difficile de rêver plus récent) s’intitule « [b][i]Affaire Coral : les pédophiles de la mitterrandie couverts par l’ex président[/i][/b] », qui est donc presque identique à celui de C4N. Il ouvre sur cette affirmation « [i]L’Express (n° 2387, le 3 avril 1997) raconte que le 19 février 1997, le contre-espionnage français (DST), découvre les dossiers Coral et Kripten, dans le garage du commandant Prouteau, créateur de la cellule anti-terroriste de l’Elysée[/i] ». Or, voir juste au-dessus, l’Express ne mentionne Coral que dans l’énumération reproduite et le mot Kripten en est totalement absent. Il se termine sur la mention « [i]Source : Relire l’article de L’Express : « L’emcombrant[/i] (sic) [i]trésor du préfet Prouteau » du 12 novembre 1998 ICI[/i] ». Hélas, le lien sur ICI renvoie à un article du Midi Libre, du 1er juin 2011 intitulé « [u][i] »Ministre pédophile » : Lang répond à Ferry[/i][/u] » Pourtant, cet article existe bien (voir [url]http://www.lexpress.fr/informations/l-encombrant-tresor-du-prefet-prouteau_631172.html[/url]). Beaucoup moins détaillé que celui du 3 avril 1997, il apporte quelques précisions en associant opérations «Tapis volant» et «Soleil» à Corse et ballets bleus à Coral. A l’approche de l’ouverture du procès des écoutes téléphoniques, il ne traite d’aucun autre sujet. Surprenant cafouillage pour un site qui annonce à la rubrique « [i][b]Qui sommes-nous ?[/b][/i] » : « [i]Nations Presse Info, entend diffuser [u]des informations précises, recoupées, aux sources mentionnées[/u] et en parfait accord avec l’esprit du Mouvement national, dont le Front National de Jean-Marie Le Pen est la principale composante[/i] » (ici également, le soulignement est de ma main).
(suite)
5)L’article, intitulé « [i][b]DES HOMMES POLITIQUES FRANÇAIS ENTRETIENNENT-ILS DES RÉSEAUX PÉDOPHILES ?[/b][/i] » ouvre sur « [i]L’ancien ministre et philosophe Luc Ferry a lancé, [u]sans le nommer[/u], des accusations gravissimes [u]à l’encontre de Jack Lang[/u]…[/i] » ; une formule qui ne serait contradictoire qu’en l’absence de précisions « incontestables » : « [i]la référence au député socialiste est plus qu’évidente et [u]a même été soulignée sur le plateau par Alain Duhamel qui lui a répondu qu’il était « mauvaise Lang »[/u][/i] » ; et tant pis pour tous ceux qui auraient entendu « mauvaise langue », mais sans être suffisamment subtils (ou initiés) pour saisir le sel du jeu de mots. L’article poursuit : « [i]Cette arrestation présumée de Jack Lang a été évoquée dès 2005 par L’Express et le site Arrêt sur Images fait également mention de la rumeur sur la pédophilie de Jack Lang. Le silence du reste des médias serait lié au fait qu'[u]aucun élément tangible n’aurait été trouvé[/u] pour valider cette rumeur.[/i] » Plus loin, il évoque l’affaire Coral : « [i]Le capitaine Paul Barril, subordonné de Prouteau, déclarera en audience publique le 29 avril 1997 : « [u]Je me rappelle qu’on nous avait alerté pour stopper l’enquête sur le réseau pédophile « Coral » à cause des personnalités mises en cause.[/u] » Parmi ces personnalités : Jack Lang, le ministre de la culture, mais aussi le neveu du président[/i] ». Bien observer l’emplacement des guillemets : ce n’est pas Baril qui nomme les personnalités. Attention toutefois à ne pas généraliser l’usage des jeux de mots : à la rubrique « [b][i]Qui sommes-nous ?[/i][/b] », vous apprendrez que « [i]Je m’informe, ça m’atterre, alors c’est décidé je milite, pour la Terre ![/i] » ; faute de cette précision, vous auriez risqué d’être induits en erreur par la dominante kaki de la charte visuelle du site.
[quote]L’article, en date du 1er juin 2011 (difficile de rêver plus récent) s’intitule « Affaire Coral : les pédophiles de la mitterrandie couverts par l’ex président », qui est donc presque identique à celui de C4N[/quote]
Si je lis bien JPLT007, l’article de Michel rapporte comme il l’indique d’ailleurs des parutions dont il indique de plus les dates. Je ne comprends pas votre « presque à l’identique ».
Par ailleurs, je les ai également reportées sous un article de Sophy y compris les vidéos de 13ème Rue pour souligner que les propos de Luc Ferry qui font suites à un premier évènement celui de l’affaire DSK, montrent bien que les français sont quelques peu offusqués d’entendre de pareilles informations et que la plupart leur avaient été cachées.
Je crois qu’ile en ont marre de toutes ces « cachoteries » de l’oligarchie et ne souhaitent que la vérité et un bon coup de balai dans le paysage politique et journalistique français.
De là à prétendre que ce sont des preuves contre un tel ou un tel certainement pas et ce n’est pas le propos, mais dire que toutes ces affaires doivent ressurgir pour être jugées, alors OUI car elles existent bien puisque relatées par la presse en général, et c’est une fois encore ce qu’attendent les français.
Maintenant vous avez parfaitement le droit de ne pas être d’accord, mais je crois que la tension actuelle qui pèse sur nos dirigeants mérite d’éclater si j’en crois les postures très très gênée de ceux-ci face à tous ces évènements, comme l’attitude de JP Raffarin qui prétend à propos de Luc Ferry: « J’ignore totalement à quels éventuels événements il fait référence »
Un vieil adage dit: « Il n’y a pas de fumée sans feu »
Alors voyons!
JPLT007 vous avez numéroté vos articles et n’apparaissent que le 4 et le 5 ?
(suite)
6)En revanche, pas de telle rubrique sur ce site dédié à « [b][i]L’information alternative[/i][/b] », et qui ne fait pas dans le détail comme en atteste le titre « [i][b]Scandale : Jack Lang accusé de pédophilie par Luc Ferry[/b][/i] » qui précède la vidéo où Luc Ferry dit « [i]Si je lâche le nom maintenant … c’est moi qui serai mis en examen…[/i] » ! Avant de citer un peu plus loin le site FDesouche ; attention là aussi à l’abus de jeux de mots : il s’agit d’un personnage, François Desouche, et non pas d’une nationalité comme le visuel du site aurait pu vous le laisser penser. Un site qui va loin dans le billard à trois bandes : « [i]Un ancien ministre pédophile selon Luc Ferry et Le Figaro Magazine : « Ce n’est pas Jack Lang » selon JF Kahn[/i] » (http://www.fdesouche.com/214703-un-ancien-ministre-pedophile-selon-luc-ferry), le même JF Kahn dont le site se flatte de l’avoir poussé au silence ([url]http://www.fdesouche.com/212946-fdesouche-com-contraint-jean-francois-kahn-a-mettre-fin-a-toute-activite-journalistique[/url]). Mais pour en revenir à Contre-info, son article poursuit : « [i]C’est arrêt sur image qui ose lâcher le nom : Jack Lang[/i] ». Arrêt sur Images déjà évoqué ci-dessus. Cela mérite d’y revenir, un peu plus loin.
7)Redite, déjà cité en 1)
8)La vidéo ne sait me dire, obstinément, autre chose que « [i]Cette vidéo est privée[/i] ». Coïncidence, cabale, complot ?
(suite et fin)
Pour en revenir à Arrêt sur images, dont 5) nous dit que « [i]le site … fait également mention de la rumeur sur la pédophilie de Jack Lang[/i] » et 6) que « [i]C’est[/i] [le site] [i]qui ose lâcher le nom[/i] », voici ce que j’y lis, pour ma part : « [i]comme le souligne sur Twitter Guy Birenbaum, [u]ces rumeurs avaient été évoquées, et « évacuées »[/u], par L’Express en 2005, dans un article entièrement consacré aux rumeurs sur la vie privée de Jack Lang[/i] » et plus loin « [i]Au paragraphe suivant, L’Express citait la fameuse rumeur du Figaro et de Ferry. [u]En la faisant démentir[/u] par un proche anonyme, de façon très générale : « A l’approche de la présidentielle de 2002, quelques chiraquiens racontent une arrestation de Jack Lang au Maroc, dans une affaire de mœurs, suivie d’une exfiltration discrète organisée par l’Elysée. [s]Pas la moindre preuve, mais les missiles anti-Jospin se préparent, que le 21 avril rendra caducs[/s][/i] ». Des missiles qui se préparent, à l’approche d’une élection présidentielle dont le candidat de droite n’est pas favori ? Ça me rappelle vaguement quelque chose, mais quoi ?…
Oui, désolé, Ludo ; il faudra trouver autre chose. Peut-être avez-vous raison, mais le fait que plusieurs personnes s’entre-copient mutuellement et en boucle démontre simplement qu’elles partagent les mêmes opinions, ce qui est parfaitement leur droit. Mais cela ne constitue pas la preuve de la véracité et de l’authenticité des « informations », parfois tendancieuses, ainsi véhiculées. La répétition ne suffit pas à emporter la conviction ; au contraire, peut-être… Et je persiste à m’interroger sur le fait que des affaires « universellement connues » fort anciennes (7 ans pour Banon/DSK et 14 pour Coral/Lang !) refassent surface avec autant d’à propos.
(suite)
1)DROIT FONDAMENTAL ([i]éditeur : Fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti[/i]) est déjà largement cité par Zandvoort doc ; il s’agit même d’un copier-coller maladroit puisqu’une formule obscure comme « [i]Matzneff & Scherrer: les pédo-philosophes Le Capitaine Barril de la gendarmerie avait reçu alors instruction de stopper l’enquête du fait du nombre de personnalités[/i] » ne s’éclaire qu’en remarquant que le passage en gras est en fait la légende d’une photo dans l’article original signé Jacqueline de Croÿ. Le nom de l’ancien ministre de la Culture n’y apparait que dans le passage « [i][u]Un faux procès-verbal[/u] accolé d'[u]une signature qui ressemblait[/u] à celle de Jean-Claude Krief, blâmant l’écrivain Shérer et le Ministre Lang d’abus d’enfants. [u]Piège ou fausse signature, nul ne le sais[/u] (sic) mais Krief fut incarcéré pour cela dans la même prison que Sigala[/i] » (les soulignements sont de ma main).
2)Sous le pseudo « [i][b]marie m[/b][/i] », l’auteur reproduit des extraits de deux articles qu’elle a « [i]trouvé sur le net[/i] » (le premier publié par l’Express du 22/09/2005, le second simplement référencé « en 1998 ») avant de conclure : « [i]En tout cas moi je veux savoir et vous ?[/i] ». Nous aussi, nous le voulons, bien entendu, mais aucun des cinq commentaires n’y aidera !
3)Intitulé « [i][b]Les archives explosives du préfet Prouteau[/b][/i] », cet article du 3 avril 1997 élargit la découverte des malles du préfet (ex GIGN) à l’analyse des activités de la cellule d’écoute : pêle-mêle Jean-Edern Hallier, les Irlandais de Vincennes, la protection du « secret » Mazarine (dont Danièle Mitterrand connaissait l’existence dès sa naissance). De larges extraits en sont copiés-collés par Zandvoort doc, y compris l’énumération « [i]Ouvéa, Otages du Liban, Greenpeace, Irlandais de Vincennes, Tchad, Corse, Paraguay, Uruguay, Luchaire, Affaire du Coral, etc.[/i] » qui est la seule référence à cette dernière
[quote]Oui, désolé, Ludo ; il faudra trouver autre chose. Peut-être avez-vous raison, mais le fait que plusieurs personnes s’entre-copient mutuellement et en boucle démontre simplement qu’elles partagent les mêmes opinions, ce qui est parfaitement leur droit. Mais cela ne constitue pas la preuve de la véracité et de l’authenticité des « informations », parfois tendancieuses, ainsi véhiculées. La répétition ne suffit pas à emporter la conviction ; au contraire, peut-être… Et je persiste à m’interroger sur le fait que des affaires « universellement connues » fort anciennes (7 ans pour Banon/DSK et 14 pour Coral/Lang !) refassent surface avec autant d’à propos.[/quote]
[b]JPLT007,
La preuve ou les preuves, ce sera à la justice de les mettre en évidence.
Par contre j’estime de notre devoir de dénoncer et de mettre sur la place publique ces dites affaires réputées bien pourries encore et encore et avec des copier/coller tant qu’il en faudra, puisque les journalistes ne font pas leur boulot d’investigations, tout le temps que la justice ne se saisisse de ces problèmes.
Je ne vois rien de gênant la dedans si ce n’est encore une fois pour nos politiques et journalistes qui tout à coup perdent des couleurs!
Une chose est sûre c’est qu’elles nous ont été cachées, et à cela il doit bien y avoir une raison, et qu’il importe aujourd’hui de les mettre à nouveau au grand jour, car, nous voudrions y voir clair dans toutes ces affaires, sinon en qui pourrons-nous porter notre confiance.
Il n’est quand même pas normal de vivre dans une société avec de tels doutes, on se croirait au moyen âge, quoiqu’à mon avis on ne l’a jamais quitté!
Ce n’est pas le fait d’avoir raison ou pas, de dire que ces infos sont ou pas assez précise, c’est vouloir la VERITE qui importe![/b]
Cher Ludo,
Je ne songe nullement à mettre en cause votre désir de vérité, qui est sincère, respectable et même louable.
En revanche, après avoir consacré un temps conséquent au contenu des liens que vous avez cités, je constate qu’il ne me convainc absolument pas. Entendez par là que, pour reprendre les termes de Jef, je reste dubitatif, sans pouvoir me prononcer sur le fond, et donc a fortiori sur un raccourci péremptoire comme « comment les pédophiles de la mitterrandie ont échappé à la justice » (c’est ce titre, et rien d’autre, qui était presque à l’identique).
Il me semble donc, cher Ludo, qu’à vous appuyer sur des « sources » renfermant, comme je l’ai découvert et publié, pas mal de contradictions et/ou d’affirmations sans preuves, vous aboutissez à un résultat qui est en totale contradiction avec votre vœu de recherche de vérité ; un comble.
Quant au copier-coller, je ne vous le reproche pas, bien au contraire, pour en user bien volontiers moi-même. Mais je le fais en général à l’appui de mes dires (cf. ci-dessus en particulier) et il ne me viendrait pas à l’idée d’écrire un article uniquement par ce procédé. Enfin, je continue de prétendre qu’il ne suffit pas que A (par copier-coller ou tout autre moyen technique) cite B, qui cite C, qui cite A pour affirmer qu’il s’agit d’investigations démontrant l’authenticité de ce qu’ils disent, quel qu’en soit le sens ; la seule démonstration qu’apporte ces citations mutuelles et en boucle, est que A, B et C partagent la même opinion. Après tout est leur droit ; ce qui ne l’est plus, c’est s’ils tentent de me l’imposer.
Si vous disiez « [i]Il existe à mes yeux suffisamment de doutes pour justifier que s’ouvre une enquête véritablement indépendante qui permettra de conclure, dans un sens ou dans l’autre, selon qu’elle apportera des preuves ou non[/i] », il me semble que nous serions tout près d’être complètement d’accord.
Enfin, si l’article que j’ai soumis voici près de 48 heures finit par sortir vous pourrez y voir pourquoi je ne vous suivrai jamais sur le chemin de la fumée et du feu…
N’étant pas SOPHY, je n’oserai pas conclure GBGB. Remplacez ce sigle par un synonyme à votre convenance ; le cœur y est.
[b]JPLT007,[/b]
[quote]Je ne songe nullement à mettre en cause votre désir de vérité, qui est sincère, respectable et même louable. [/quote]
[b]Je ne le pensais pas non plus, soyez-en assuré.
Vous dites rester dubitatif sur ce que vous avez lu des liens qui ont été mis ici ou ailleurs. On peut effectivement l’être, mais dans ce cas pourquoi ces liens existent-ils encore aujourd’hui?
Le fait que les sites reprennent les mêmes infos par copier coller ne me dérange pas dans la mesure où tous ont visiblement un souhait de transparence.
Mitterrand a bien étouffé certaines affaires en cause ici lors de son arrivée à la présidence en 81. Reste à savoir lesquelles exactement et pourquoi ne sont-elles pas ressorties maintenant?
J’attends votre nouvel article, car pour un calumet de la paix il y a systématiquement du feu et de la fumée. Quand le fumera t-on pour enterrer ces affaires?[/b]
[b][i]Un bug persistant semble m’interdire de placer en citation la numérotation des liens qui ouvrait ma série de commentaires ; j’essaye donc de la donner autrement…[/i][/b]
Le 1) se rapporte au lien http://droitfondamental.eu/007-Coral___fr.htm ; le 2) au lien http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20110603020425AAoNgmJ ; le 3) au lien http://www.lexpress.fr/informations/les-archives-explosives-du-prefet-prouteau_621693.html ; le 4) au lien http://www.nationspresse.info/?p=134764 ; le 5) au lien http://mili-terre.com/article/24/1101/des-hommes-politiques-francais-entretiennent-ils-d.htm ; le 6) au lien http://www.contre-info.com/jack-lang-accuse-de-pedophilie-par-luc-ferry ; le 7) au lien http://droitfondamental.eu/007-Coral___fr.htm et le 8) à la vidéo qui suit.
Le premier commentaire commence par
Désolé, Ludo, si cette série de liens (numérotés ci-dessus pour la lisibilité de ce qui suit) est supposée apporter les preuves que j’espérais, c’est raté car ils ne sont ni véritablement informatifs, ni particulièrement convaincants :
[b][i]Un bug persistant semble m’interdire de placer en citation la numérotation des liens qui ouvrait ma série de commentaires ; j’essaye donc de la donner autrement…[/i][/b]
Les numéros se rapportent aux liens mentionnés par Ludo, dans l’ordre où il les a cités ; le dernier renvoie à la vidéo.
Le premier commentaire commence par
Désolé, Ludo, si cette série de liens est supposée apporter les preuves que j’espérais, c’est raté car ils ne sont ni véritablement informatifs, ni particulièrement convaincants :
JPL,
Bien des vidéos ont disparu victime de la censure, et de toutes les façons il ne faut plus s’ingénier à chercher des noms, cela n’est pas le but de l’article !
Les photos, entre un adepte de la boxe thaï et un autre toujours prêt à signer des pétitions pour le moins conséquente, un peu de recherche et l’on constate les ramifications existantes, alors il n’y a pas de fumée sans feu !
Mitterrand s’est ingénié dans une politique de surveillance à l’extrême, une politique d’étouffement des affaires concernant ses proches, et Luc Ferry n’est qu’un pitre qui lui n’a pas réellement approfondi le sujet ne se contentant que d’accusations sans substance.
Mais, il est certain qu’il s’est passé des choses pour le moins trouble !
Michel
Voir Pas de fumée sans feu ([url]http://www.come4news.com/il-n-y-a-pas-de-fumee-sans-feu-36152[/url])
Je viendrai parcourir ton article en fin de soirée et nous débattrons.
Volontiers, mais plus tard (je vais être éloigné du Net pendant une quinzaine)
Le fameux ministre !
Il s’agirait d’un ancien ministre de la Santé, et à ce titre cette personne est en instance de divorce et sa femme s’apprête à sortir un ouvrage ou elle révèle avoir découvert son mari en « fâcheuse posture » avec des adolescents.
Bien sur cette information est a mettre au conditionnel mais apparemment des langues se, délient et on pourrait assister à l’un des plus gros scandales de la Vème République de quoi susciter de plus en plus de méfiance envers la classe politique.
Un vote sanction en 2012 en toile de fond…
. Mon fils autiste né en 1968 était accueilli dans le lieu de vie, le Coral.quand le 13 octobre 1982 le Coral a été fouillé par 12 policiers à la recherche de photos pedopornos à cause de la dénonciation d’un indicateur de police des RG parisiens, Jean Claude Krief .Ils n’ont trouvé aucune photo pedoporno mais ils ont arrêté le Directeur, le psychiatre et un jardinier. Le procès de 1986 a relaxé le psychiatre mais condamné le jardinier et le Directeur à trois ans de prison avec un an de sursis pour incitation de mineurs à la débauche.
Le dénoncateur était aussi Maitre chanteur . Il a composé un faux PV de police accusant Jack Lang d’avoir fait venir à Paris des petits garçons handicapés du Coral pour les abuser sexuellement.Son frère Michel Krief est allé au ministère de Jack Lang ( la culture) pour réclamer une forte somme d’argent pour ne pas livrer ce faux PV aux journalistes. Le chef de cabinet, Gilbert Esteve a refusé de payer et il a fait arrêter Michel Krief. Son frère Jean Claude a vendu le faux PV au journal antisocialiste Minute qui l’a publié en précisant que c’était un faux PV.Jean Claude Krief a été emprisonné pendant environ six mois. Il a fait de nouvelles escroqueries dans l’été 1983 puis il s’est enfui en Israel pour échapper à la justice française. Il faut savoir que les frères Krief étaient des indicateurs de police des RG de la Préfecture de Paris, dirigés par l’inspecteur Pascal (de son vrai nom Bernard Stanek ou Stanel) . La première dénonciation de JC Krief contre le Coral a été faite au commissariat parisien de La Vilette le 10 mai 1982, juste un an après l’élection de François Mitterand le 10 mai 1981. Il faut savoir que Mitterand avait prévu de supprimer le service de police des RG , notoirement antisocialiste. On peut supposer que l’inspecteur Pascal faisait parti d’une machination visant indirectement François Mitterand en attaquant son ami intime Jack lang.
S’il y a eu vraiment machination politique , elle a échoué car l’enquête de la police judiciaire du 36 quai des orfèvres a montré que les 340 personnalités, surtout socialistes, accusées par Krief étaient innocentes. Jack Lang n’est jamais venu au Coral . On dit aujourd’hui que le capitaine Barril de la cellule antiterroriste protégeant le Président Mitterand aurait arrêté l’enquête engagée suite aux dénonciationde Krief. Cela était possible au temps des rois ( Louis 14 arrêtant l’enquête sur l’affaire des poisons) mais c’est impossible dans le système judiciaire français actuel. D’ailleurs l’enquête a continué de 1982 jusqu’au procès de 1986. Le Directeur du Coral est sorti de prison en février 1983 mais il a été réemprisonné un mois en 1985 car un ancien pensionnaire du coral avait fait un chantage à Paris et le juge d’instruction Michel Salzmann le croyait complice.Le capitaine Barril avait ,en réalité, était mandaté par François Mitterand pour faire une enquête parallèle sur la machination antisocialiste réelle ou supposée.
@voltairebis
Voilà un témoignage qui ressemble à un sacré coup de pied dans la fourmilière ! Il donne un cadre à ce que l’on pourrait appeler la «rumeur à retardement» (par analogie avec la technologie de certaines bombes) qui consiste à ressortir des affirmations sans preuves au bout d’un temps suffisant pour que les générations contemporaines aient oublié les démentis du moment et pour que les générations actuelles n’en aient jamais entendu parler.
Dommage pour sa crédibilité qu’on ne puisse rien savoir de vous à part que «[i]Cette personne n’est pas inscrite ou ce profil n’existe plus ou n’est plus disponible[/i]». Si vous vous décidiez à vous inscrire (en cliquant sur le lien [i][b]S’inscrire pour contribuer[/b][/i], en tête de chaque page) et à donner quelques éléments d’authentification, j’ai le sentiment que Ludo et Michel se trouveraient quelque peu placés au pied du mur, car vos propos mettent à mal les citations extraites de sources plus ou moins bien intentionnées.
En particulier, on ne peut pas manquer de noter le grand écart dans le portrait de Jean-Claude Krief «[i]attaqué de toute part, quand en septembre 1982, il a exposé l’affaire CORAL[/i]» dans l’article (citation de Nation Presse info) et «[i]maître-chanteur … [/i][auteur d’][i]un faux PV de police … vendu … au journal antisocialiste Minute, qui l’a publié en précisant que c’était un faux[/i] [en 2011, Nation Presse info ne s’embarrasse pas de telles précisions…]» dans votre commentaire ; une information qui figure d’ailleurs aussi dans l’article de [i][b]Droit fondamental[/b][/i], mais au conditionnel : «[i]Un faux procès-verbal accolé d’une signature qui ressemblait à celle de Jean-Claude Krief… Piège ou fausse signature, nul ne le sait …[/i]»
« Calomniez, calomniez ; il en restera toujours quelque chose » ou « Il n’y a pas de fumée sans feu », votre réponse pourrait nous aider à nous faire une opinion.
Voltairebis provolt n’est qu’un agent ayant pour but de détecter tout sujet dénonçant le réseau pédocriminel pour venir essayer de rééquilibrer la balance morbide…. il est connu comme le loup blanc sur les plateformes vidéos.
Actuellement, il focalise sur l’affaire Verdin-Lang en postant sur facebook…. Voici une capture de discussion ou ce personnage plutôt louche tente de discréditer Emmanuel Verdin: Provolt passe sont temps à défendre les pédocriminels et sa culture sur les affaires m’amène à me demander comment il n’a pas encore pu saisir qu’il s’agit de réseaux organisés protègés par une justice corrompue… non, cette personne continue obstinément à se faire l’avocat du diable.
Si vous n’avez jamais eu encore connaissance de ce personnage, voici donc un document à télécharger:
http://www.megaupload.com/?d=EYN6XKO5
Je me permets de revenir pour poster un lien vers un site qui vient d’ouvrir très récemment,
site consacré à la dénonciation de la pédocriminalité, il rassemble beaucoup de choses…
http://www.pedopolis.com/
Ce commissaire Frédéric Malon, c’est le même que l’enfoiré et hypocrite parisien, Directeur Central de la Police Judiciaire, qui affirmait devant les caméras de Karl Zero (13° rue / reportage Zandvoort) qu’il n’y avait aucun réseau pédocriminel en France et que tout cela n’ était que racontars et fantasmes ?
Après avoir été placé par Sarko à Toulouse de 97 à 2004 pour surveiller et étouffer d’ éventuelles retombées de l ‘affaire Alègre bis, pas étonnant que ce gugus, bidouilleur d’AZF, ait eu la grosse promotion de Directeur Central de la P.J. Restera plus à ce chef de l’ Office Central pour la Répression des Violences aux Personnes (OCRVP) … qui de plus rutile dans les colloques véreux de la Fondation pour l’Enfance : un comble !.. à être, en remerciements, promu un jour Défenseur des Droits en lieu et place de l’illustre Dominique Baudis.
Le Malon, il y était lui commissaire responsable des affaires criminelles au SRPJ Toulouse en 97 quand j’ai déposé contre mon voisin portugais, fausse licence de taxi à Agen, pour l’enlèvement de la petite Marion Wagon.Présent également à la tête du SRPJ France quand j’ai retrouvé ce portugais à Guermantes en 2004 dans la rue de la petite Estelle Mouzin… Peut-être que ce monsieur pourra nous dire pourquoi la gendarmerie d’Agen n’a jamais reçu ma déposition et pourquoi et sur ordre de qui les affaires Marion et Estelle ont été bloquées .…
Moi c’est Paul Emile CHARLTON.
Tu lèche trop Malon, tu fais trop ton beau … et si ça te vas pas c’est quand tu veux !
Arrêtez de savoir si oui ou non les élites sont mouillés,
Ya mêmes pas besoins d’avoir de preuves, ils suffit de regarder comment se passe les procès,
Prenez l’affaire DUTROUX, la 40ène de cassettes vidéos ont étés passés sous silence, la question est POURQUOI ?
Le fusible Dutroux à bien sauté comme prévu, comme ca, sa ne va pas plus loin.
Ecoutez les déclarations des enfants du juges roches, tous 2 avocats, donc pas les neuneu du coin.
Lisez bien aussi le dossier dutroux extrait du tribunal sur les tortures des enfants, etc….
DOSSIER DUTROUX: [url]http://mirror.wikileaks.info/leak/dutroux-dossier-summary-2005.pdf[/url]
Video des enfants du juge ROCHE: [url]http://video.google.com/videoplay?docid=2446309226549109687[/url]
rien qu’avec ca, si vous doutez encore que les élites sont les premiers profiteurs et protecteurs des réseaux pédophiles, alors on ne peut plus rien pour vous, sauf si vous êtes la pour les soutenir 😉