Tout le monde le sait, les jeunes adorent imiter leurs idoles. Que cela soit au niveau des tenues ou des mimiques, certains d’entre eux sont capables d’aller très loin afin de rendre hommage à leurs stars préférées.

Mais que se passe-t-il lorsque cette dévotion est tournée vers des idoles virtuelles ? Des poupées mannequins par exemple ? Le résultat est surprenant, voire carrément inquiétant dans certaines situations.

 

Ce phénomène étrange a commencé avec l’apparition de Valéria Lukyanova, une jeune russe de 21 ans. Poussée par son envie de ressembler à son idole, la poupée mannequin Barbie, la demoiselle n’a pas hésité une seule seconde. Elle est passée sous le bistouri, à plusieurs reprises. Force est de constater que le résultat final dépasse, de loin, tout ce qu’elle avait pu imaginer. Très contente et fière d’elle, Valéria a commencé à poster ses photos sur le web. Le buzz était assuré. 

La Barbie vivante avait enfin réussi à devenir une personne originale à part entière.

 

Peu de temps après, une autre jeune fille a décidé de suivre la même voie. Son nom : Anastasiya Shpagina. Âgée d’à peine dix-neuf ans, elle a décidé de devenir le portrait craché des héroïnes qu’elle aime tant lorsqu’elle feuillette les mangas japonais. Pour parfaire son image de fille irréelle, Anastasiya a eu également recours à la chirurgie esthétique. A son tour, elle a commencé à s’exposer sur le net. Elle promulgue même des conseils de maquillage via des vidéos qu’elle poste sur Youtube. 

Anastasiya rassemble pas mal de fans autour de sa petite personne.

 

Car, même si l’aspect extérieur de ces demoiselles peuvent rebuter et effrayer les adultes, force est de constater qu’elles fascinent les jeunes filles. Valéria et Anastasiya ne laissent pas indifférents. A travers leurs apparitions dans des journaux télévisés ou des interviews donnés à droite et à gauche, elles ont réussi à faire le buzz sur ce phénomène grandissant.

Pire encore, elles suscitent de plus en plus l’engouement autour d’elles.

Et, indéniablement, elles font des émules qui sont prêtes, elles aussi, à passer sous le bistouri pour ressembler à leurs idoles virtuelles.