Navrant. Les allusions sournoises de l'opposition s'étalent et soufflent un vent de polémique, pour un détail !!

Remettre au goût du jour la déclaration de Jean-Marie Le Pen :

"Les chambres à gaz sont un "détail de l'histoire de la seconde guerre mondiale".

François Fillon accusé de faire une oeillade au Front National, par le biais de cet amendement…

Le parti socialiste n'a apparement pas d'autres chats a fouetter. Une polémique insidieuse, voulant dénoncer le spectre du Front National. Les déclarations de François Hollande ne font aucun doute sur le fond de ses pensées. De voir par un simple mot, une tentative de séduction, est ridicule. Cet amendement ne me plait pas, mais de la a vouloir insinuer une manoeuvre politicienne, me fait sourire.

Stéphane Le Foll, directeur du cabinet de François Hollande, juge l'affaire grave. Accusant le Premier Ministre de séduire l'électorat frontiste, les municipales semblent déja lancées. La diabolisation faite autour de ce petit mot ne cache pas une tentative maladroite de reconquérir l'attention de l'électorat français. La manoeuvre est plutôt du coté du parti socialiste, incapable d'élaborer une restructuration, et voulant se donner du crédit.

Brice Hortefeux ne m'inspire qu'une vision dantesque. Le responsable de cet amendement, contraire au statut de la République Française, qui se veut terre d'accueil, pays des libertés…

Bien évidemment, de son coté, Jean-Marie Le Pen profite de cette situation ambigue pour remonter au créneau. Toujours aussi exalté et se lancant dans un diatribe, dont il a le secret. En soutenant François Fillon, le leader du Front National, en mal d'électorat, cherche a se repositionner sur l'échiquier politique français. Le FN est en pleine déconfiture, les caisses sont vides, un détail qui pourrait replacer Le Pen, en invité surprise…

Il faut arréter de pratiquer une politique people. Le PS ne fait que continuer a se discréditer en lançant des accusations sans fondement. L'amnésie touche la cellule socialliste.A une époque, Mitterrand avait par le biais de la proportionnelle, introduit le FN, mettant la droite en mauvaise posture, et qui au fina, pratiquait une politique de gauche, apeuré par le spectre du FN. Une manoeuvre habile, que François Hollande essaie sournoisement d'exhumer…