Des centaines d’étudiants d’Ile de france et étrangers attendent toujours leurs bourses.

Des centaines d'étudiants d'île de france n'ont reçu aucun paiement de leurs bourses depuis la rentrée.

Beaucoup d'entre eux ne peuvent donc ni payer leur loyer, ni se nourir, et encore moins acheter les livres qui leurs sont nécessaires.

Peu d’informations sont disponibles sur le sujet et l’état minimise les faits ne parlant que de quelque cas isolés.

Source : BFMTV

Les étudiants sénégalais étudiant à Paris n’ont ainsi pas reçut de bourses depuis la rentrée, soit trois mois de retard, à l’instar d’autres de leurs camarades de la région Ile de France.

Ils ont décidé, vendredi dernier, d’occuper  de 11h à 16h , le centre de gestion des bourses étrangères au consulat du Sénégal, dont le chef de service affirme lui qu’il ne reste qu’un mois a payer Le ministre sénégalais de l’éducation,  Moustapha Sourang, a du intervenir pour appeler au calme. Le centre de gestion affirme qu’en a lui qu’il n’y a plus que le mois d’octobre à payer. Mais c’est sans compter le mois de novembre qui touche à sa fin et dont le paiement n’est pas encore assuré. Une querelle de chiffre s’engage donc et les étudiants Sénégalais menace d’en appeler au Président.

Pour finir, le ministère a annoncer qu’il comptait faire appelle à des sociétés bancaires pour se faire avancer les sommes dues. Et des étudiants de rétorquer : « La simple volonté du ministre ne suffit pas. Il faut qu’on lui donne les moyens de solutionner les problèmes. Et cette solution ne peut venir que du chef de l’Etat. Tout le monde sait que l’Etat n’a pas d’argent, mais ce qui est alarmant, c’est qu’il arrive à débloquer de l’argent pour d’autres situations moins prioritaires. Alors, nous demandons donc à ce qu’on nous respecte un peu plus »

Source : http://www.walf.sn/actualites/suite.php?rub=1&id_art=51115

De la même manière, jeudi dernier, des étudiants ivoiriens reclament à manger devant leur ambassade.

{dailymotion}x7gqas_manifestation-dtudiants-boursiers-i_news{/dailymotion}

Source :  http://www.lanouvelletribune.info/index.php?option=com_content&task=view&id=2283&Itemid=1

9 réflexions sur « Des centaines d’étudiants d’Ile de france et étrangers attendent toujours leurs bourses. »

  1. [img]http://www.blogoutils.com/images/a1.gif[/img]EnormeJasette, je vais jouer les ignorantes, ou le suis-je vraiment ?

    Quel état doit payer les bourses de ces étudiants : Le Sénégal, ou la France ????

    Si c’est la France et que seuls sont concernés les ressortissants étrangers, faisant leurs études en France, celà devient de la discrimination, puisque vous ne parlez que des Boursiers Sénégalais!
    Eclairez moi s’il vous plait ?
    Amicalement

    SOPHY

  2. quels étudiants
    Sophy a la lecture de cet article je me suis dit j’espère que vous allez le lire
    mais comme vous je reste sur ma fain ne sachent pas qui doit payer et pour qui ?
    pouvez vous nous apporter un meilleur éclairage ??? 😛

  3. @SOPHY et bien les deux en fait, sur bfmtv ils parlaient des étudiants « français », ils interviewaient une étudiante qui « miserait » depuis la rentrée (pas de livre, loyer en retard, probleme pour se nourir). Et les seules infos sur le web concernaient les étudiants étrangers par le biais de cette info concernant les étudiants sénégalais.

    Donc je dirais que tout le monde doit payer France, Sénégal… Rien de clair vu le manque d’info.

    Bonne soirée.

  4. [img]http://www.blogoutils.com/images/a1.gif[/img]LAURY, vous savez bien que lorsque l’on parle d’étudiants, de Lycéens, j’accourre…..

    Mais je suis contente de ne pas être la seule à me poser la question de savoir : Qui doit payer ces bourse ???

    Amicelement LAURY, et GBGB
    SOPHY

  5. Je ne peux guère commenter cet article, ne connaissant pas du tout le sujet évoqué…
    [i][b]Cependant, je suis en droit de demander pourquoi il n’y a pas d’accords entre la France et ces pays pour que ces étudiants puissent percevoir leurs bourses ?
    Il est anormal de voir des gens privés de ressources…

    Alors, que fait le Gouvernement ? Que font les gouvernements africains pour régler ces problèmes ?[/b][/i]

  6. Cela n’a directement rien à voir avec le sujet de cet article…
    [b][i]Mais, à partir du moment où l’on parle d’étudiants étrangers, on parle également de l’Immigration choisie…

    Cet article, ci-dessous, est à lire avec attention… Peut-être suscitera-il un débat complémentaire[/i] ?

    _______________________________________________________ ____________________________________ [/b]

    [b]Immigration: la conférence euro-africaine adopte un programme triennal[/b]
    [b]Anne-Marie LADOUES[/b] et Amer [b]OUALI[/b] [u]pour[/u] [b]Agence France Presse (AFP) [/b]
    [i][b][u]Mardi 25 novembre 2008, 20h32[/u][/b] [/i]

    [b][i][u]La Conférence euro-africaine sur migration et développement réunie mardi à Paris a adopté un programme de coopération triennal consensuel, visant à encadrer la migration légale, contrecarrer l’immigration illégale et organiser le développement solidaire[/u].[/i][/b]

    Depuis la première [b]conférence euro-africaine[/b] de [b]Rabat[/b] en juillet 2006, [b][i] »nous sommes passés de la pomme de discorde à la volonté de relever collectivement le défi »[/i][/b] des phénomènes migratoires, a déclaré le ministre français de l’Immigration [b]Brice Hortefeux[/b] au cours de la conférence de presse finale en soulignant le [b][i] »consensus total »[/i][/b] sur le programme adopté [b][i] »malgré la diversité des territoires »[/i][/b].

    Il s’agit, a expliqué le ministre, de [b][i] »propositions concrètes, d’une panoplie d’une centaine de propositions dans lesquelles chacun pourra puiser »[/i][/b].

    Le triptyque retenu concerne l’organisation de la migration légale, la lutte contre l’immigration clandestine et la promotion de partenariats de développement.

    La mesure la plus spectaculaire concernant l’immigration irrégulière propose de [b][i] »lutter contre la fraude documentaire »[/i][/b] courante dans certains pays africains, en ayant notamment recours à l'[b]informatique[/b] et à la [b]biométrie[/b]. Il est aussi proposé de [b][i] »renforcer le contrôle aux frontières » en aidant à « la création de postes frontières communs »[/i][/b].

    La conférence préconise aussi d'[b][i] »améliorer les réadmissions »[/i][/b] dans les pays d’origine des clandestins expulsés d’Europe et de promouvoir les [b][i] »retours volontaires »[/i][/b] par des aides à la réinsertion.

    Pour organiser la migration légale, la conférence veut la création ou le renforcement dans les pays d’origine d'[b][i] »agences spécialisées en matière d’emploi »[/i][/b] à l’instar du [b]Cigem[/b] récemment installé à Bamako ([i]Mali[/i]) et financé par l'[b]Union européenne[/b].

    Le programme confirme aussi l'[b]option européenne de l’immigration choisie [/b]en voulant privilégier l’accueil de [b][i] »travailleurs hautement qualifiés »[/i][/b] tout en [b][i] »cherchant à prévenir la fuite des cerveaux »[/i][/b].

    En ce qui concerne le lien migration-développement, la conférence recommande d'[b][i] »accompagner les politiques d’emploi et de développement économique et social des pays d’origine »[/i][/b] et d'[b][i] »améliorer la protection sociale des migrants »[/i][/b] ainsi que de [b][i] »faciliter la baisse des coûts de leurs transferts de fonds »[/i][/b].

    Ce programme de coopération devrait servir de base à des actions multilatérales et bilatérales.

    Le consensus final des quelque 80 délégations avait pourtant été précédé dans la matinée par des critiques de plusieurs dirigeants africaines sur le [b]Pacte européen sur l’immigration[/b] adopté à Bruxelles en octobre dernier.

    Le ministre sénégalais de l’Intérieur [b]Cheikh Tidiane Sy[/b] avait ainsi déclaré que ce pacte [b][i] »est perçu comme une volonté des Européens de se bunkériser »[/i][/b].

    [b][i] »Tant qu’il y aura des divergences entre une politique de migration européenne restrictive et les demandes des migrants, les flux d’immigration irrégulière continueront »[/i][/b], avait pour sa part déclaré le ministre marocain des Affaires étrangères [b]Taïeb Fassi Fihri[/b] en rappelant que si [b][i] »l’Europe ne doit pas être une passoire, ses besoins en main d’oeuvre s’élèveront cependant à quelque 30 millions de travailleurs en 2O30″[/i][/b].

    Le ministre burkinabé des Affaires étrangères [b]Alain Bédouma Yoda[/b] avait lui aussi demandé d'[b][i] »assouplir les conditions d’entrée »[/i][/b] en Europe, sous peine de voir les mêmes problèmes perdurer.

    A ces inquiétudes des partenaires africains, [b]Brice Hortefeux[/b] n’a cessé d’affirmer que [b][i] »l’objectif du pacte, c’est d’éviter une Europe bunker et une Europe passoire »[/i][/b].

    [b]http://fr.news.yahoo.com/2/20081125/twl-immigration-la-conference-euro-afric-c99dde2.html [/b]

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