Depuis le mois de janvier, il y a eu près de vingt alertes pollution en Ile de France et si l’on en croit les responsables d’Airparif cela risque encore d’augmenter dans les mois à venir.
Suite à une semaine exceptionnelle de temps chaud, les particules fines stagnent et saturent très rapidement l’air ambiant. La préfecture de police ainsi que les autorités sanitaires ont donc rappelé les consignes de prévention en cas de pic de pollution.
C’est à la fois de réduire la vitesse des automobilistes de 20 km/h sur les voies rapides et les autoroutes et la limitation du chauffage au bois et du brulage de déchets verts dans les zones rurales.
Ce sont avant tout des recommandations, mais les responsables ont pu se rendre compte qu’elles étaient peu respectées par les automobilistes, ce qui a amené les autorités à renforcer à la fois les contrôles de vitesse et de pollution des véhicules.
Il faut cependant savoir que les particules fines en suspension dans l’air, sont responsables chaque année de plus de 300 000 décès en Europe. La mauvaise qualité de l’air est nocive pour la santé des individus, en développant davantage de manifestations allergiques et de crises d’asthme et en mettant en péril à la fois les difficultés respiratoires aussi bien des jeunes enfants que des personnes âgées.
Les microparticules bouchent les petits vaisseaux sanguins et cela génère davantage de crises d’asthme, d’infarctus et d’accidents vasculaires cérébraux.
Il est donc fortement déconseillé en période de forte pollution de faire du sport de façon intensive, surtout dans les villes et à proximité des axes routiers.
Cela paraît assez paradoxal dans la mesure où le beau temps chaud nous incite à profiter au maximum du grand air et à faire des activités extérieures.
Il faut donc s’adapter aux circonstance et rester vigilant en allant plutôt faire si possible une ballade en forêt plutôt qu’un footing en ville.
QUAND LA TORCHERE NE BRULERA PLUS,
L’EXPLOSION DE DIZAINE DE KILOTONNES AURA EU LIEU !
Les conditions météo restaient favorables jeudi matin,
selon Total, autour de sa plateforme en mer du Nord
évacuée en raison d’une fuite de gaz mais où une torchère
brûlait toujours, faisant craindre des risques d’explosion.