Mesdames, vous vous disputez sans cesse avec votre conjoint, vous pensez qu'il a peu d'attention pour vous, qu'il est moins attaché à vous, que vous ne l'êtes à lui. Votre relation n'est plus celle que vous avez connue dans les débuts.

Eh! bien ce n'est pas vraiment de sa faute.

 

Les fautifs en fait, seraient des gènes présents chez les hommes, ce qui expliquerait ainsi, les crises conjugales.

 

D'après une étude suédoise publiée ce mardi. Les crises conjugales peuvent s'expliquer par le patrimoine génétique des hommes.

 

a_couple_en_colre.jpgDes gènes masculin sont accusés d'être les responsables dans les problèmes de couple.

Ils seraient présents, chez quatre hommes sur dix et c'est ce qui expliquerait pourquoi, certains hommes sont davantage sujet à des relations orageuses que d'autres et moins attachés à leur compagne. Selon, les chercheurs du centre de recherche Karolinska Institut à Stockholm.

 

D'autres causes bien évidemment rentre en jeu dans les tensions chez un couple.

Caractère de l'un ou de l'autre, machisme, routine etc….Mais c'est la première fois qu'un gêne est associé, à la manière dont ce comportent les hommes avec leur compagne, leur épouse.

 

Les scientifiques ont découvert que les hommes étaient porteurs d'un ou deux exemplaires de la variante du gène, appelée "allèle 334", c'est pourquoi ils se comporteraient ainsi, dans leur relation amoureuse et donc souvent tumultueuse.

 

Un communiqué souligne :

– "L'indice de "l'allèle 334" est statistiquement liée au degré d'attachement d'un homme à sa partenaire".

 

 

a_couple_en_colre_2.jpgLes problèmes de couple, chez les hommes porteurs de ces deux gènes, a été deux fois plus élevés que chez les autres hommes, leur compagne ou épouse ont également remarqué la différence.

 

Hasse Walum de l'institut de Stockholm indique :

– "Les femmes mariées à des hommes porteurs d'une ou deux copies de "l'allèle 334", sont en moyenne moins statisfaites de leur relation que les autres femmes".

Il insiste sur le fait que l'effet de la variante du gène, étant relativement modeste elle ne pouvait être utilisée pour prédire le comportement d'un homme dans une relation future.

Les résultats de cette recherche, ont été publiés dans la revue scientifique américaine PNAS.

 

Même si ce n'est pas encore le cas, on peut imaginer avec les progrès considérable de la recherche scientifique, que lorsque l'on voudra construire une relation sérieuse avec un homme, il faudra en passer pas un test, pour savoir si oui ou non il est porteur d'un ou des deux gènes.

Le test s'appelera sûrement "Le test du bonheur".

Nombreux seront les célibataires.