Photo de ma petite Zya le jour de sa naissance : le 7 décembre 2011

 

 

Quand on devient parent, nous devenons des « enseignants » pour nos enfants. Notre rôle auprès d’eux est déterminant pour leur vie d’adulte. Bien souvent, les enfants copient nos pensées et tous les enfants imitent nos gestes et mimiques dès le plus jeune âge. Quand on sait et comprend que les enfants sont donc de véritables éponges, il est plus facile de comprendre qu’il est aussi simple d’habituer un enfant à croire au bonheur, de lui enseigner à regarder le bon côté des choses, qu’il l’est de lui en faire considérer le mauvais.

Nous allons ensemble découvrir quelques règles de base qu’il faudrait connaître et appliquer pour que nos enfants vivent plus sereinement.

 

 

 

Nous devrions en tant que parent, essayer de ne pas trop montrer nos angoisses d’adulte. De même qu’il faudrait faire attention, de ne pas les envahir avec nos pensées soucieuses et nos mauvaises humeurs. Leur vie devrait être constamment joyeuse, gaie, bruyante, ensoleillée, heureuse. Il est évident que nous sommes obligés de leur enseigner les bases de l’éducation en leur disant : attention, fait pas ci, fait pas ça ou le non, mais il faut aussi, ne pas oublier de les encourager à rire, à jouer, à courir au contentement de leur coeur. Le côté sérieux de la vie ne les atteindra que trop vite. En tant que parent, nous devons les accompagner dans leur autonomie certes, mais sachons respecter aussi leur enfance et leur insouciance.

Dans votre entourage, vous connaissez peut-être des hommes et des femmes, mécontents et malheureux ? Il y a fort à parier que si vous leur demandez quelle enfance ils ont eu, qu’ils vous diront que leur jeunesse a manqué de gaîté et de soleil.

Par ailleurs, il faudrait que nous prenons garde, quelques fois, à ne pas inférioriser nos enfants. En effet, nous avons tendance à oublier que ce sont justement des enfants et qu’ils ne peuvent donc pas réussir un travail manuel par exemple, comme nous on le pourrait. Et pourtant, ils accomplissent leur travail avec beaucoup plus de sérieux et d’attention que nous. Alors, essayons de ne pas oublier de les féliciter, de les encourager ! Ainsi, nous éviterons de développer en eux des sentiments de doutes, de frustrations et nous favoriseront à l’inverse leur estime d’eux-mêmes. Un enfant ne devrait jamais entendre quoi que ce soit qui puisse lui faire croire à son infériorité. Toute son éducation doit tendre à développer la confiance en lui-même, en ses forces, en ses possibilités.

 

Je vais conclure cet article avec une citation d’un écrivain français : Jacques de Lacretelle

 

« La grande faute des éducateurs est qu’ils ne se rappellent jamais assez bien 

qu’ils furent eux-mêmes des enfants. »


 

Qu’en pensez-vous ? Avait-il tort ou raison de penser cela au siècle dernier ?