Une étude suédoise menée auprès de 33 000 femmes (les veinardes) démontre que plus une femme mange de chocolat, plus elle échappe au risque d’AVC.

 

 

 

Il n’en demeure pas moins que ce n’est pas une raison pour se gaver de chocolat qui doit être consommé avec modération car il contient, graisse, sucre, cacao, à l’exception du chocolat noir qui contenant moins de sucre est excellent pour la santé et de loin aussi le meilleur (avis personnel : 85 %).

Sur 33 000 femmes âgées de 49  à 83 ans, il y a eu 1.549 AVC dans le groupe. Plus les femmes mangeaient de chocolat, moins le risque était élevé. Cela est dû, probablement aux flavonoïdes contenues dans le chocolat et qui aurait un effet bénéfique pour la santé.

Mais tout d’abord d’où vient le nom de chocolat :

Le cacaoyer cultivé par les Mayas et les Aztèques est originaire des forêts tropicales. Ces peuples préparaient ce breuvage à l’aide de fèves de cacao grillées et broyées sur des pierres brûlantes. La pâte obtenue était chauffée puis mélangée à de l’eau. On y ajoutait vanille, cannelle, anis, poivre etc… Cette nourriture était donc nourrissante et aphrodisiaque


Le cacao jouit depuis les aztèques d’une réputation de bienfait pour la santé. En effet la fève de cacao est comme un oligo-éléments composé de potassium, magnésium et calcium. Le chocolat est donc un aliment anti-fatigue et dynamisant renforçant le fonctionnement cellulaire. 100 g de chocolat noir remplace une gélule de vitamines chimiques.

 

Le chocolat comble également les manques d’affection, les déceptions, les états nerveux : c’est un curatif symptomatique de tous nos troubles. En aucun cas, il ne provoque des crises de foie ou du moins celles-ci ont lieu suite à une surdose de chocolat et non à une dose normale de chocolat.

 

Grâce aux tanins, phosphates et fluo contenus dans le cacao, celui-ci devient un anti-carie, essentiellement le chocolat noir car la présence de sucre dans le chocolat diminue ce bienfait.

 

Mais la phényléthylamine (hormone dégagée quand on est amoureux) et les anadamides (effets analogues au cannabis) joue le même rôle que la drogue. La libération d’endorphines contenues dans le chocolat provoque une certaine dépendance au chocolat.

 

Son histoire :

1524 : Introduction du chocolat en Espagne

1615 : Grâce au mariage d’Anne Autriche avec Louis XIII, le chocolat fait son apparition. Il est alors réservé à la cour et au clerge. Les premiers spécialistes furent les moines

28 mai 1659, Louis XIV accorde à David Chaillou, officier de la reine une lettre patente lui accordant "le privilège exclusif de faire, vendre et débiter une certaine composition se nommant chocolat ". Sa boutique était rue de l’arbre sec à Paris.

1657, le chocolat il fit son entrée en Angleterre et dès 1660 les Anglais cultivèrent le cacaoyer dans leur colonie de la Jamaïque.

 

Autre utilisation :

Les Mayas et les Aztèques utilisaient le cacao comme monnaie d’échange. Les paiements des impôts et les achats d’esclaves notamment, s’effectuant en fèves de cacao.

Quelques bonnes adresses parisiennes :

Salon de Thé Angelina rue de Rivoli et bien d’autres adresses tout aussi savoureuses. Très réconfortant après du shopping ou une visite au Musée du Louvre.

Le Musée du Chocolat ouvert depuis 2010