Ce que les recruteurs n’aiment pas …

 

Les attitudes qui peuvent freiner l’acquisition d’un poste, malgré une bonne candidature, sont nombreuses et nous pouvons citer ce qui suit :

 Ne pas respecter ses engagements : quand le candidat est tenu de rendre un rapport ou des exemples de ses réalisations ou autre, il est amené à bien respecter le délai.

S’il ne tient pas ses engagements, le recruteur rayera probablement son nom de la liste. D’après les recruteurs, une personne qui ne tient pas ses engagements manque de professionnalisme et surtout, on ne peut pas compter sur elle.

 Manquer d’intérêt pour l’entreprise : A la suite d’une très bonne lettre de motivation, accompagnée d’un bon CV, un recruteur s’attend à recevoir en entretien une personne motivée par le poste et l’entreprise. Mais il arrive que des candidats très prometteurs sur le papier se présentent en touristes en entretien de recrutement, sans même s’être renseignés sur le poste à pourvoir.

Les recruteurs sont toujours déçus de recevoir des candidats n’ayant même pas fait l’effort de s’être informés sur l’employeur, alors qu’ils se disaient intéressés par l’offre d’emploi dans leur candidature. C’est pourtant la moindre des choses pour montrer sa motivation

Mentir pendant l’entretien : Très enthousiasmés par des candidats qui semblent compétents et honnêtes durant l’entretien, les recruteurs tombent parfois de haut lorsqu’ils se rendent compte, à la suite de vérifications, qu’ils ont affaire à des menteurs, comme indiquer être titulaire d’un diplôme alors qu’on n’a en fait qu’une équivalence, mentir sur les causes d’un licenciement, surévaluer de beaucoup ses anciennes rémunérations,… les recruteurs peuvent vérifier tous ces éléments à la suite d’un entretien. 

  Rater sa conclusion : Terminer l’entretien sur une mauvaise note alors que tout le reste était un sans-faute a aussi de quoi désappointer les recruteurs.C’est le cas par exemple lorsque le candidat finit l’entretien en listant toutes ses exigences en termes de vacances, horaires, avantages, salaire… sans même laisser l’ouverture à la négociation. Car l’employeur considère le plus souvent que c’est à lui d’aborder ces questions, ou du moins que ces points doivent être discutés dans un esprit de conciliation.