Selon Bernard Kouchner ce matin sur France Inter, « il y a un gros livre de (l’organisation de défense des droits de l’Homme) Human Rights Watch qui paraît tous les ans pour faire l’état des droits de l’Homme dans le monde : la Tunisie n’y figure même plus ». Human Rights Watch a démenti auprès de Libération.
Voici comment commence et se termine la page Tunisie du rapport sur le site de l’ONG :
« Le Président Zine el-Abidine Ben Ali et le parti au pouvoir, le Rassemblement constitutionnel démocratique, dominent la vie politique tunisienne. Le gouvernement utilise la menace du terrorisme et de l’extrémisme religieux comme prétexte pour réprimer la contestation pacifique. Des témoignages dignes de foi mettent continuellement en lumière l’usage de la torture et des mauvais traitements aux fins d’obtenir les dépositions de suspects placés en garde à vue. Les prisonniers condamnés sont également exposés à des mauvais traitements délibérés. (….)
Le 10 juillet, le président nouvellement élu, Nicolas Sarkozy, s’est rendu en Tunisie en compagnie du ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, et de la secrétaire d’Etat chargée des Affaires étrangères et des Droits de l’Homme, Rama Yade. Dans ses commentaires publics, Sarkozy n’a pas tari d’éloges sur les autorités tunisiennes mais il a déclaré aux journalistes qu’en privé avec le Président Ben Ali, il avait soulevé certains cas relatifs aux droits humains, notamment celui de Mohamed Abbou. Lors de cette première visite, le président français n’a guère cherché à se distancier du soutien fidèle que son prédécesseur, Jacques Chirac, accordait au Président Ben Ali, en dépit des pratiques de ce dernier en matière de droits humains. »
France Démocrate – le 07 Mai 2008
Selon Bernard Kouchner ce matin sur France Inter, « il y a un gros livre de (l’organisation de défense des droits de l’Homme) Human Rights Watch qui paraît tous les ans pour faire l’état des droits de l’Homme dans le monde : la Tunisie n’y figure même plus ». Human Rights Watch a démenti auprès de Libération.
Voici comment commence et se termine la page Tunisie du rapport sur le site de l’ONG :
« Le Président Zine el-Abidine Ben Ali et le parti au pouvoir, le Rassemblement constitutionnel démocratique, dominent la vie politique tunisienne. Le gouvernement utilise la menace du terrorisme et de l’extrémisme religieux comme prétexte pour réprimer la contestation pacifique. Des témoignages dignes de foi mettent continuellement en lumière l’usage de la torture et des mauvais traitements aux fins d’obtenir les dépositions de suspects placés en garde à vue. Les prisonniers condamnés sont également exposés à des mauvais traitements délibérés. (….)
Le 10 juillet, le président nouvellement élu, Nicolas Sarkozy, s’est rendu en Tunisie en compagnie du ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, et de la secrétaire d’Etat chargée des Affaires étrangères et des Droits de l’Homme, Rama Yade. Dans ses commentaires publics, Sarkozy n’a pas tari d’éloges sur les autorités tunisiennes mais il a déclaré aux journalistes qu’en privé avec le Président Ben Ali, il avait soulevé certains cas relatifs aux droits humains, notamment celui de Mohamed Abbou. Lors de cette première visite, le président français n’a guère cherché à se distancier du soutien fidèle que son prédécesseur, Jacques Chirac, accordait au Président Ben Ali, en dépit des pratiques de ce dernier en matière de droits humains. »
France Démocrate – le 07 Mai 2008
Lire la suite : http://tunisiawatch.rsfblog.org/archive/2008/05/07/ce-que-dit-sur-la-tunisie-le-rapport-ou-elle-ne-figure-meme.html.
Sameh Harakati aurait aimée avoir le droit d’être libre en Tunisie
http://tunisie-harakati.mylivepage.com
Je ne vois pas où veut en venir monsieur Nicolas Sarkozy en soutenant ouvertement les exactions d’une dictature.
Sa crédibilité a prit du plomb dans l’aile sur le plan de sa politique international et je ne parle pas du reste.
Il ne tient plus aucun compte de ses engagements de campagne présidentiel, on ne reconnaît plus l’homme qui a fait tant de promesse.
Il a abandonné tant de victime en Tunisie et fait tant de mal avec ses déclarations sur les droits de l’homme, au point que plus rien ne semble donner l’espoir aux victimes de l’injustice qui se compte par millier et dont on doit rappeler le nom désormais célèbre de madame Sameh Harakati.
L’évolution des droits de l’homme en Tunisie ne peut pas passer par le mensonge des politiciens.
http://tunisie-harakati.mylivepage.com