Pièces Aixam : seront-elles compatibles avec les nouveaux modèles électriques ?

Les voitures sans licence attirent l’attention de nombreux utilisateurs, parce qu’elles apportent de multiples avantages. Elles sont actuellement disponibles en plusieurs modèles. Le problème, c’est la recherche de pièces spéciales pour ces voitures, parce qu’elles sont vraiment rares dans les magasins. Heureusement, grâce aux sites spécialisés tels que Nessycar, tout devient plus facile !

Il y a également concessionnaires qui se spécialisent dans la vente de pièces pour ces types de voitures, comme Aixam, le constructeur spécialisé dans les voitures sans permis. Mais la question se pose concernant les nouveaux modèles électriques, les pièces Aixam seront-elles compatibles avec ceux-ci ?

 

E-Aixam : les nouveaux modèles électriques

Aixam est avant tout le premier constructeur de voitures sans grenier en Europe. Grâce à sa très large gamme de voitures sans permis, Aixam attire une grande variété de clients. Aujourd’hui, sa gamme est vraiment vaste et de plus en plus appréciée par les consommateurs. Certains des plus connus sont Crossline, City, Roadline, etc. Le constructeur n’a pas oublié de réserver pour ses clients des pièces Aixam dans le cas où ils en auront besoin.

La voiture sans licence a évolué vers la nouvelle gamme e-Aixam. Ce sont les modèles électriques, encore plus compacts sur l’ensemble de la gamme Aixam. Ces modèles sont des voitures de ville par excellence, avec des équipements et des finitions représentatifs. Sophistiqués et chics, ils sont le fruit d’un design alliant modernité et originalité.

piece aixam

Ils ont tous les atouts pour séduire avec leur aspect athlétique et tonique, leurs courbes charnelles et dynamiques qui révèlent un tempérament fort. Avec ces voitures électriques, vous participez à la préservation de la planète. En les choisissant, vous décidez de participer activement à la protection de l’environnement. Consultez cet article pour en savoir plus.

De plus, profitez de cette technologie électrique qui vous permet de vous déplacer silencieusement. Vous économiserez de l’argent sur l’utilisation journalière et le cycle de vie de votre véhicule. Ses batteries au lithium assurent la longue autonomie de la voiture sans permis. En outre, pas de souci concernant les pièces Aixam pour ces gammes. Voyagez l’esprit tranquille avec e-Aixam.

Les pièces d’Aixam

En tant que professionnel, Aixam vous propose des pièces d’origine Aixam, adaptables à n’importe quelle voiture sans permis de conduire à un prix réduit. Si vous avez un problème avec votre voiture, et que vous avez besoin de changer certaines pièces, n’hésitez pas à vous procurer des pièces Aixam, qui sont sans aucun doute, compatibles avec le modèle de votre voiture sans permis. Voir ici.

piece aixam

Même avec de nouveaux modèles, ne vous inquiétez pas, car le fabricant a déjà eu l’idée de concevoir des pièces spéciales pour tous les modèles qu’il a fabriqués. Quelles que soient les pièces dont vous avez besoin, vous pouvez compter entièrement sur le fabricant. Vous pouvez voir le bloc d’échappement silencieux Aixam ; plaquette avant, arrière, gauche et droite, Aixam (2010, ville, 500.4….) ; transmission ; radiateur… Bref, tout et pour tous les modèles Aixam.

Attention à ne pas se tromper soi-même, car il y a certaines marques qui ne possèdent pas la marque AIXAM et qui n’ont pas de lien économique avec la société, mais qui vendent des pièces en son nom pour votre voiture sans permis. Méfiez-vous et référez-vous directement à Aixam pour commander vos pièces Aixam.

Quel avenir pour la cigarette électronique ?

Présentée comme la solution ultime pour lutter contre le tabagisme traditionnel, la cigarette électronique n’en finit pas de créer débats et polémiques. Spécialistes et grand public y portent un intérêt particulier. Des dizaines de dossiers et d’expertises se portant sur le sujet sont publiés quotidiennement dans la presse. Vouloir en savoir plus sur l’avenir de la cigarette électronique est donc tout à fait légitime. Et si on en parlait ?

La cigarette électronique n’aurait pas que des avantages

Les marques d’e-cigarettes en vantent continuellement les avantages et ils ont raison. L’absence de composants cancérigènes, contrairement à la cigarette traditionnelle, fait indiscutablement partie de ces principaux avantages. En effet, le vaporisateur présente les « atouts » de la cigarette classique, mais préserverait les utilisateurs des cancers de fumeurs. La cigarette électronique est également une solution efficace pour l’arrêt du tabac. Comme vous pourrez le lire ici, le vapotage épargne des vies !

Mais de nombreuses études ont été menées et divers compte-rendu publiés pour présenter les inconvénients de ce produit. Oui, la fameuse e-cig devenue si tendance a aussi quelques points faibles :

  • Les organismes officiels ne la reconnaissent pas comme une solution performante pour arrêter de fumer.
  • Les présentations élogieuses incitent les jeunes à l’utiliser et beaucoup sont par la suite devenus dépendants parce que l’appareil libère bel et bien de la nicotine.
  • Il n’y a pas encore assez de recul pour faire un bilan complet et objectif sur les réels impacts du vaporisateur sur la santé.

Que dit la loi à propos de la cigarette électronique ?

Certes, le vapotage est relativement récent, mais il a bien fallu une loi pour tout encadrer. Ainsi, l’usage de l’e-cigarette est légalement interdit dans certains lieux. Évidemment, cette restriction concerne surtout des lieux à usage collectif :

  • Établissements scolaires
  • Établissements d’accueil, d’hébergement ou de formation de mineurs
  • Lieux de travail collectif fermés et couverts
  • Moyens de transport collectif fermé

Pour parler clairement, vous ne pouvez pas vapoter dans le train, le bus, la métro et d’autres moyens de transport de ce type. Et concernant les lieux de travail, on peut utiliser une e-cigarette dans son bureau à condition d’en être le seul occupant. Ce n’est pas possible dans les salles de réunion ou d’autres espaces à usage collectif. Ce n’est pas non plus possible dans les open space.

La cigarette électronique serait-elle toxique, finalement ?

L’interdiction d’usage de la e-cigarette dans certains lieux a soulevé une vague d’inquiétude. En effet, l’interdire revient à reconnaître indirectement sa toxicité. Évidemment, les études et les publications à ce propos n’ont pas tardé.

Il s’avère alors que les produits utilisés dans les réservoirs des vapoteurs contiennent des traces de métaux, d’aldéhydes et de diacétyle. Et la seule lecture de ces mots peut faire froid dans le dos même si ces composants sont à très faible dose et que leur toxicité est infime.

Pour rassurer les plus sceptiques, il ne faut pas dépasser 200 bouffées par jour pour ne pas rendre la cigarette électronique plus dangereuse. Sachez toutefois que les scientifiques n’ont pas assez de recul pour réaliser des études approfondies. En effet, la cigarette électronique est arrivée sur le marché il y a seulement une décennie. Affaire à suivre, donc !

Le moins qu’on puisse dire est que l’avenir de la cigarette électronique est incertain. Ce produit continue en effet de créer des controverses malgré tous les avantages vantés par les fabricants et par de nombreux utilisateurs. Quoi qu’il en soit, l’utilisation de la cigarette électronique est en plein boom. En tout cas, que vous en utilisiez ou pas, intéressez-vous de près aux questions relatives au tabac. Vous serez assez informé pour mieux préserver votre santé.

Quand les radiateurs deviennent intelligents

Les Français sont attachés aux radiateurs électriques. Toutefois, des mesures mal calibrées pénalisent ce mode de chauffage peu émetteur de CO2. Une faille progressivement compensée par les avances de la technologie. Avec l’émergence du chauffage intelligent, ils pourraient bien s’imposer comme la nouvelle norme dans l’Hexagone.

La France possède le plus grand nombre de radiateurs électriques en Europe (34% du parc immobilier était équipé par de tels dispositifs en 2014, contre 5% en Allemagne, selon l’Ademe). Cela s’explique par un coût d’investissement de départ attractif, et un cours de l’électricité qui est à la fois bas en France, et ne dépend pas de cours volatiles comme les énergies fossiles.

Cependant, parce que le stockage de l’électricité n’est pas possible, la consommation de ces dispositifs évolue considérablement en fonction des variations climatiques. Aussi, il faut disposer de moyens de production capables de s’adapter en temps réel à l’offre et la demande – sans quoi des zones entières pourraient souffrir d’un « black-out ». Ainsi, le chauffage électrique du bâti français représente à lui-seul 29 % de la consommation d’électricité durant la vague de froid qui a frappé le pays entre décembre et février derniers (la consommation nationale a dépassé 90 gigawatts de puissance certains jours).

Le Paradoxe de la RT2012

Si le chauffage électrique était en passe de s’imposer comme la norme, sa part dans les nouvelles constructions est récemment repartie à la baisse à cause d’une récente législation thermique : la RT2012. Cette dernière impose de mieux isoler les logements aboutissant mécaniquement à une baisse de la consommation d’électricité. En effet, les modèles électriques sont très performants si le logement est bien isolé. Ainsi, la règlementation comptait réduire l’écart saisonnier de la consommation électrique et écarter le risque d’une insuffisance de la production au moment le plus crucial : un pic de froid.

La logique était simple : l’électricité est une énergie secondaire, et nécessite donc des énergies primaires (fuel, gaz, charbon, vent, énergie solaire…) pour être produite. Aussi un coefficient de 2,58 a été attribué à l’électricité. 1 Mw d’électricité est donc réputé avoir pollué à hauteur de 2,58 Mw d’énergie primaire. Ce calcul est néanmoins très contesté. La part d’énergie grise nécessaire à la production d’électricité est en effet largement considérée comme étant surestimée. De plus, la RT 2012 privilégie in fine les énergies fossiles, qui sont celles qui émettent le plus de C02.

Pour une maison de 120 m2 construite entre 1975 et 1981, l’Ademe a calculé en 2014 que sur un an :
– les chaudières fonctionnant au fioul : 7,4 tonnes de CO2 ;
– celles au gaz et au propane : 5,5 t de CO2 ;
– les équipements de micro-cogénération gaz ou bois : 5,3 t de CO2 ;
– les chauffages électriques à effet Joule émettent 4,6 t de CO2 (en prenant en compte les émissions « grises »).

Une réalité perdue dans le système mis en place par la RT2012. Une erreur de paramétrage regrettable quand on considère qu’entre 2000 et 2009 – c’est à dire avant la réglementation –  la part de logements neufs équipés de chauffage électrique a graduellement augmenté pour atteindre 80 % des systèmes installés. Cette tendance est d’autant plus regrettable que les résultats des systèmes électriques, déjà les plus performants, sont appelés à être améliorés à mesure que les énergies renouvelables occupent une place de plus en plus importante dans le mix énergétique français.

L’émergence du chauffage intelligent

Les équipements de chauffage électrique ne cessent de s’améliorer. Actuellement, la dernière innovation majeure est l’avènement des radiateurs connectés. Ils vous permettent de piloter pièce par pièce votre chauffage, depuis n’importe où, via une application. Mais ils incluent également une gestion intelligente et automne permettant de ne chauffer les pièces que si elles sont occupées (grâce à un détecteur de présence). Il permet aussi de repérer automatiquement les fenêtres ouvertes et plusieurs modèles peuvent communiquer entre eux.

Ces nouvelles fonctionnalités permettent un confort d’usage sans précédent, avec la programmation du chauffage avant votre arrivée ou le suivi à distance de vos radiateurs afin de garder un bâtiment hors gel. En outre, ces fonctionnalités permettent d’éviter de gaspiller de l’énergie, et donc de faire baisser les émissions de CO2 et la facture – une baisse de température de 1 °C permet de réduire le de coût de chauffage de 7 %. Ainsi, en ne chauffant que lorsque c’est nécessaire, ces modèles ont pu faire baisser de plus de 40 % de des factures de chauffage.

Pour chaque type de chauffage électrique sa domotique : confort – design – facture !

Il existe une grande variété de modèles électriques, adaptés à plusieurs configurations de domiciles. Chacun a ses avantages propres :

– les convecteurs électriques (des radiateurs à résistance électrique) qui créent un cycle naturel de l’air dans la pièce grâce à la résistance électrique ;

– le panneau radiant, (qui diffuse sa chaleur par un rayonnement infrarouge). Il s’agit du rayonnement qui est le mode de transfert le plus agréable pour l’homme, mais demande une pièce qui n’est pas surchargée, sans quoi les rayons sont bloqués ;

– le radiateur à inertie, qui chauffe des matériaux à forte inertie (eau, huile, briques, fonte…) où l’énergie sera stockée. Il permet de diffuser une chaleur douce qui n’assèche pas l’air ;

– le plancher chauffant (constitué de résistances électriques fixées au sol). Il diffuse une chaleur homogène dans la pièce, permet d’économiser la place des radiateurs sur les murs et est particulièrement adapté aux climats froids.

Pour quel prix ?

Aujourd’hui, on peut se doter de modèles disposant d’un pilotage intelligent et de la détection de présence, permettant un rayonnement doux, un air non asséché et une température stable et homogène (des avantages et fonctionnalités dont ne disposent pas anciens modèles à convecteur mécanique) pour un prix d’achat allant de 558 à 1289 €. Ils permettent tous 45 % ou plus d’économies d’énergie, et le coût d’achat important est amorti dans le temps.

Enquêtes Linky : pourquoi les conclusions diffèrent-elles autant ?

Les Français sont friands de chiffres, de statistiques et de sondages, et ce quel que soit le sujet. Néanmoins, en fonction de la manière dont il a été conduit, un sondage peut vite être faussé. C’est pourquoi il existe un certain nombre de règles — notamment en ce qui concerne la constitution de l’échantillon de répondants — destinées à prévenir les éventuels biais. Dans son « dossier noir » sur Linky, l’UFC Que choisir a cru bon de s’en affranchir. Fort heureusement, dans son « Baromètre Energie-Info », le Médiateur national de l’énergie n’en a pas fait autant et arrive à des conclusions pour le moins encourageantes en ce qui concerne les compteurs communicants.

Le Médiateur national de l’énergie, un gage de sérieux

Fin septembre 2017, la célèbre association de consommateurs, UFC Que Choisir, annonçait avec fierté — et c’est peu dire — la sortie de son « dossier noir » consacré à Linky. Bien que basé sur une « enquête » menée auprès de 2 000 Français, le fameux dossier ne brille pas par son impartialité ni par son objectivité.

Et à y regarder de plus près, l’échantillon de répondants est loin d’être conforme aux règles destinées à assurer sa représentativité. En effet, l’UFC Que Choisir a enregistré 2 000 répondants, tous « abonnés à sa newsletter » — soit une population déjà très segmentée. En un mot, si vous n’aviez pas souscrit à la newsletter d’UFC Que Choisir, aucune chance de pouvoir donner votre avis sur le compteur Linky, quel qu’il soit.

De son côté, pour réaliser son « Baromètre Energie-Info » — qui dresse un état des lieux des habitudes de consommation d’énergie des ménages français et qui aborde la question des compteurs communicants — le Médiateur national de l’énergie semble avoir eu recours à une méthode plus pertinente : ce dernier a ainsi fait appel à l’institut d’études Market Audit qui a réalisé son enquête auprès d’un « échantillon représentatif de 1 500 foyers français, interrogés par téléphone » sur la période du 05 au 25 septembre 2017.

Le Médiateur précise par ailleurs que « la représentativité a été assurée par la méthode des quotas et par un redressement sur les variables d’âge et de profession du chef de ménage, après stratification par région et taille d’agglomération ». A côté, la « méthode UFC » fait bien pâle figure.

Les jeunes sont favorables aux compteurs communicants

Ainsi, tandis que l’« enquête » menée par UFC Que Choisir aboutit à des conclusions alarmantes, à savoir que le Linky serait « inutile », les résultats de l’enquête — plus sérieuse — conduite par le Médiateur national de l’énergie sont plutôt encourageants. Le Médiateur révèle en effet que « sur l’ensemble de la population, 58 % sont favorables à l’installation des compteurs communicants. Principalement les jeunes et les habitants des grandes agglomérations (63 %) ».

« Les jeunes et les habitants des grandes agglomérations ». Une phrase qui peut paraître anodine, mais qui est pourtant lourde de sens. En effet, les jeunes Français sont ceux pour qui la transition énergétique revêt un sens particulier, après tout, leur avenir est corrélé à celui de la planète. Il est donc normal qu’ils aspirent à un monde plus « vert » et plus « durable ».

Et pour ce qui est « des grandes agglomérations », là aussi, rien d’étonnant. A l’heure des smart city, les citadins des grandes villes côtoient au quotidien les évolutions induites par la transition énergétique : bâtiments eco-responsables, voitures électriques en libre service, smart lighting, etc. Autant d’innovations qui ne sont malheureusement pas (encore) présentes dans les petites communes.

Or, il est vrai que les réfractaires à Linky — il suffit de parcourir les reportages et articles consacrés au sujet pour s’en apercevoir — résident pour la plupart dans de petites communes (environ 500 habitants) et n’appartiennent pas à la tranche d’âge 18 – 40 ans.

Tout porte donc à croire — et c’est rassurant — que le Médiateur de l’énergie est dans le vrai. D’autant que ce dernier a toujours conservé sa neutralité en ce qui concerne le compteur communicant. Une objectivité qui fait du bien, à l’heure où tout un chacun y va de sa désinformation.

Et autour de Linky, la désinformation auquel nous faisons face est un véritable fléau : sur le Web, il semblerait que la phobie des ondes prétendument émises par le compteur Linky se soit emparée des Français et qu’elle soit même la principale raison de son rejet. Pourtant, dans son étude, le Médiateur précise que celles-ci « ne représentent que 10 % des motifs des réfractaires ». Ainsi, contrairement à ce qu’on voudrait nous faire croire, les Français ne sont pas dupes…

Mario + Les Lapins Crétins Kingdom Battle : pack Défis Ultra déjà disponible

Ce très sympathique jeu de stratégie nous avait bien plu lors de sa sortie, comme nous l’avions précisé dans notre test. Nous ne pouvons donc pas manquer l’occasion de parler d’un peu de contenu supplémentaire pour ce jeu Switch très rafraîchissant. Plus d’info sans tarder. Continuer la lecture de « Mario + Les Lapins Crétins Kingdom Battle : pack Défis Ultra déjà disponible »

La lunetterie à la pointe des nouvelles technologies

Aujourd’hui, les lunettes sont bien plus que l’assemblage d’une monture et de lentilles, même si le principe de base reste celui-ci. Nouvelles technologies aidant, la lunetterie au sens large est entrée dans le 21ème siècle.

Née en Franche-Comté sous le Directoire, la lunetterie française est passée en moins d’un siècle d’une production artisanale à une production industrielle réputée à travers le monde. Au XIXème siècle, les montures étaient encore en fil de fer et les verres imparfaitement surfacés dans du verre à bouteille. Mais à peine un siècle et quelques plus tard, la lunetterie est devenue un produit de haute technologie.

Sciences des matériaux

La technique et la performance sont devenues des impératifs pour le marché des lunettes : l’ambition de confort, de performance et d’esthétisme doit répondre toujours mieux aux exigences du client-patient. Les premières évolutions se sont naturellement portées sur le confort et l’ergonomie de ce qui représentait alors une contrainte physique, avec un objet souvent lourd posé sur le nez et es oreilles. D’importants efforts de R&D ont été consentis pour optimiser le poids et l’encombrant des montures, tout en affinant en parallèle les verres pour un gain de poids maximum. Il a fallu également travailler la résistance au temps de cet outil du quotidien : montures flexibles, verres inrayables et incassables, tout est fait désormais pour que la paire de lunettes dure le plus longtemps possible. Michel Masoero, un opticien de Vincennes a ainsi dès 2011 mis au point un verre incassable, garanti 5 ans, le Up’vision. Dans le domaine sportif, Rudy Project a de son côté développé depuis des verres souples, réputées incassables, photochromiques et polarisés, qui sont garantis à vie.

Mais pour arriver à de tels résultats, les matériaux ont dû évoluer, et renoncer pour partie au verre d’antan. Des verres minéraux, nous sommes passés aux verres organiques, comme le polycarbonate : « C’est la matière avec laquelle sont fabriquées les visières des casques de moto et les vitres des TGV. Ces verres sont incassables, légers, présentent la densité la plus faible et protègent contre les rayons ultraviolets », explique Annie Rodriguez, directrice des relations médicales d’Essilor. Du côté des montures, ce qui pouvait passer, il y a encore quelques années, pour un appareillage disgracieux et encombrant, est devenu un objet tendance, en métal, en plastique, en fibre de carbone ou encore en optyl, polyamide ou élastomère. Ces matériaux s’adaptent aux volontés du porteur souhaitant une monture légère, souple, résistante, confortable ou encore hypoallergénique. Toujours chez Rudy Poject, les branches des lunettes Agon sont par exemple fabriquées en Kynetium, « un mélange d’aluminium, de carbone, de magnésium, de silicium et de titane qui en font un alliage à la fois léger, solide et flexible », Selon le magazine MatosVelo. Une telle sophistication de la monture a un coût, bien évidemment, mais elle permet aux lunettes italiennes Rudy Projet de battre des record de légèreté, avec des poids verres et montures d’à peine quelques dizaines de grammes.

Coller à l’évolution des modes de vie

Chez Rudy Project comme ailleurs, les technologies n’ont pas pour seule finalité un moindre poids pour une plus grande résistance : l’idée est de coller aux problématiques quotidiennes du patient-client. Et elles ne concernent pas que le sport. Les opticiens sont aussi en mesure grâce à un traitement des verres hydrophobes de proposer des verres antisalissure ou anti-rayure grâce à un soin polymérisé pour un meilleur confort d’usage au quotidien. Mais le vieillissement de la population comme les changements dans les modes de vie imposent d’autres priorités. L’omniprésence des écrans dans la vie quotidienne a par exemple également un impact très fort sur la santé visuelle. Pour répondre à cette évolution soudaine dans nos comportements, Essilor, en partenariat avec Optic 2000, a par exemple conçu le verre Eyezen, à destination des yeux sollicités par les écrans d’ordinateur et tablettes. Réduisant la fatigue, améliorant la netteté de l’image et filtrant la lumière, ce concentré de technologies d’Essilor s’adapte avec précision aux attentes des patients, sur un sujet devenu préoccupation de santé publique : la lumière bleue. Particulièrement notables chez les jeunes, cette tendance à l’omniprésence des écrans a poussé Essilor a proposé un produit spécifiquement conçu pour neutraliser certains rayonnements nocifs des écrans.

La technologie est également en train d’envahir « l’environnement » des lunettes, bien au-delà de la seule question des verres et de la monture. Optic 2000 s’est par exemple doté d’outils digitaux pour optimiser la relation-client et le service en magasins. Les tablettes numériques installées dans les magasins permettent aux clients de réaliser des essayages virtuels. Cette innovation a permis à la coopérative d’optique de se voir décerner le label Janus du Commerce par l’institut Français du design en 2015. Depuis Optic 2000 s’est penchée sur une autre problématique à laquelle les lunettes peuvent répondre : l’endormissement au volant. Très engagée sur le thème de la sécurité routière, en particulier via son action de dépistage et de sensibilisation en marge du Tour Auto Optic 2000, la coopérative s’est associée à la start-up niçoise Ellcie-Healthy pour développer un modèle de lunettes connectées permettant de prévenir la somnolence au volant : une fois détectés les premiers signes de fatigue, le dispositif connecté à un smartphone prévient le conducteur grâce au vibreur ou à une sonnerie paramétrée.

D’accessoire d’aide à la vision, les lunettes sont progressivement devenues en plus un accessoire de mode, intégrant les dernières technologies disponibles en termes de verres ou de matériaux. Indispensable pour un nombre grandissant de citoyens d’une population vieillissante et hyperconnectée, elles reçoivent aujourd’hui le renfort des outils numériques pour une nouvelle transformation. A la clé, des lunettes devenues désormais accessoire de sécurité. Si l’évolution des lunettes en elles-mêmes est une constante depuis ses débuts, les potentialités des outils numériques nous réservent certainement bien des surprises sur les usages qui pourront bientôt en être faits. Google nous en avait donné un aperçu avec ses Google Glass, mais peut-être le géant californien a-t-il simplement été un peu trop en avance sur son temps.

Fate/Extella The Umbral Star pourrait détrôner Samuraï Warriors

Pendant Japan Expo en juillet dernier, j’ai été invité sur le stand Marvelous ! pour une séance de démonstration de Senran Kagura Peach Beach Splash. Cela m’a permis d’obtenir un code pour Fate/Extella The Umbral Star sur Switch, un action RPG qui frappe vraiment fort ! Continuer la lecture de « Fate/Extella The Umbral Star pourrait détrôner Samuraï Warriors »

De la nécessité d’un éclairage public intelligent

Gouffre financier et énergétique pour les collectivités, l’éclairage public a grand besoin d’être entièrement rénové. Il fait d’ailleurs partie des priorités des smart cities ou villes intelligentes et différentes actions sont déjà mises en place pour l’éclairage public de demain.

C’est au XVIIe siècle que s’organise le premier réseau d’éclairage des rues dans les grandes villes. Des lampes à gaz du XIXe siècle à celles munies de LED des années 2000, bien du chemin aura été parcouru. A des fins utiles : l’éclairage public, qu’il concerne celui des rues, des monuments ou des routes et autoroutes, est indispensable. Il permet de réduire les accidents de la circulation de 30 à 40% et les effractions et actes de vandalisme de moitié et met en valeur notre patrimoine. Mais il est également une grande source de gaspillage économique et énergétique.

Un constat alarmant concernant l’éclairage public

A ce jour, on compte près de 9,5 millions de points lumineux dans toute la France, mais ils sont obsolètes en grande partie : près de 40% des installations ont plus de 25 ans ; les lampes anciennes sont énergivores (un tiers sont encore à vapeur de mercure, peu efficaces et retirées du marché depuis avril 2015, avec une obligation de les remplacer jusqu’en 2025) ; elles consomment 85 000 tonnes de CO2 par an ; enfin, les dépenses pour l’éclairage urbain coûtent près de deux milliards d’euros chaque année, dont la moitié, rien que pour des services de maintenance, contre seulement un quart pour le renouvellement du parc. Ainsi, selon leur taille, la consommation d’électricité pour les villes et villages, est comprise entre 38 et 50%, rien que pour l’éclairage public.
Cette accumulation de lumières artificielles génèrent également d’autres inconvénients : une pollution lumineuse, néfaste pour les végétaux, les animaux (oiseaux migrateurs désorientés, cycle biologique perturbé) et même pour les humains. Or, à l’automne 2016, l’Association Française de l’Eclairage estimait que « l’éclairage pouvait être un levier de financement pour réaliser des économies » et évaluait que ces économies d’énergies pouvaient être de l’ordre de 40 à 70%. Une position appuyée par l’Ademe (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie). Encore faut-il s’en donner les moyens, à l’heure où la France a proclamé sa loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte en août 2015, avec une estimation de réduction de 20% de notre consommation d’énergie.

Un éclairage public de plus en plus intelligent

L’avenir des lampes des éclairages publics est porté par la révolution LED, ces ampoules peu énergivores et qui réduisent de fait la pollution lumineuse. Elles remplacent ainsi peu à peu les ampoules à sodium : à puissance égale, elles consomment dix fois moins qu’elles et durent au moins douze fois plus longtemps. Paris en a fait l’expérience sur une partie de son parc. Résultats : en 2016, la ville avait diminué sa consommation d’électricité concernant l’éclairage de 21% par rapport à 2004. Ainsi, de nombreux autres villes ou territoires français ont adopté les LEDs : l’île de Sein l’a même fait sur l’intégralité de son parc (une première nationale), la ville de Bouillante en Guadeloupe a financé ce changement grâce au crowfunding et certaines localités de Corse et de la Réunion sont même allées plus loin, avec des tests d’Indicateurs Lumineux de défaut, qui permettent de déterminer les pannes à distance.

Car nous sommes désormais à l’ère des smart cities ou villes intelligentes et le parc d’éclairage public doit se diriger dans cette même direction. On installe ainsi, comme à Besançon, des régulateurs de tension (une baisse de 50% de consommation ainsi chaque nuit) ou la création de gestions centralisées pour des luminaires qui se déclenchent en cas de passage de véhicules ou de piétons, grâce à des contrôleurs intégrés à chaque lampadaire. On peut aussi modifier leur intensité en un seul clic ou par une application sur tablette ou smartphone, en fonction de l’intensité du trafic autoroutier, par exemple. On parle ainsi de digitalisation de l’éclairage public qui permet de restreindre les pertes énergétiques. Et cette télégestion permet d’éviter de déplacer des camions nacelles dédiés aux réparations, coûteux et polluants, la durée de vie des équipements étant plus facilement estimée et anticipée. Ces changements coûtant relativement chers, les communes couplent l’installation de LEDs avec des contrôleurs intelligents, afin de générer quelques économies supplémentaires, puisque chacun de ces outils permet une réduction de 30% d’électricité.

Plusieurs sociétés se sont ainsi lancées dans ces nouvelles technologies, comme Lucibel qui se spécialise dans les LEDs ou EDF qui a créé sa filiale Citelum, pour rénover et maintenir l’éclairage public des villes, non seulement en France, mais aussi dans le monde entier, comme dernièrement à Mexico pour un contrat de 130 millions d’euros. Car c’est désormais tout le service de la lumière qui est à vendre. L’éclairage public intelligent est plus qu’une avancée énergétique : c’est aussi une nouvelle manne économique.

Hadopi, un budget en hausse constante

 

Alors que la moralisation de la vie publique est à la mode, le sujet du gaspillage de l’argent public l’est beaucoup moins. Pour preuve le budget pharaonique accordé à l’Hadopi pour l’année 2017 qui ne semble pas être remis en cause par le gouvernement d’Edouard Philippe

La gabegie des dépenses publiques est un fait notoire. Nombreux sont les cas de dépenses inconsidérées de l’Etat alors que le discours officiel est à l’économie et à la restriction budgétaire. L’Hadopi n’échappe pas à la règle.

Pour mémoire la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet a vu le jour en 2010 sous l’ère Sarkozy.  Le but de cet organisme, en résumé, était et reste le fait de punir les téléchargements illégaux et plus particulièrement le fait de ne pas protéger son ordinateur lors des téléchargements ce qui rend possible le partage de fichiers pair à pair (P2P). Techniquement la loi ne peut rien contre le streaming.

Depuis sa création et la mise en place de la loi Hadopi on dénombre 122 millions de saisines  traitées et 7,58 millions de premières recommandations envoyées. Pourtant au final on ne dénombre que 72 condamnations. Au vu de ces résultats assez pitoyables, si l’on considère le volume de téléchargement illégal, on aurait pu croire que la Haute Autorité aurait été enterrée ou du moins que son budget serait réduit… Bien au contraire ! Il passe à 9 millions d’euros pour l’année 2017 alors qu’en 2016 il était autour de 7 millions.
Ce qui rend la loi inefficace c’est qu’elle se base sur la localisation de l’adresse IP du contrevenant pour le traquer. Mais, dommage pour elle, il y a bien longtemps que les internautes utilisent un VPN pour  la contourner. Du coup, on se demande si nous vivons tous sur la même planète à la même époque, ou si certains d’entre nous sont restés au temps des CDs et du trafic de vidéo cassettes !

En principe quand une affaire ne marche pas ou n’apporte pas les résultats escomptés on arrête les frais. L’Etat semble fonctionner sur un autre logiciel : moins ça marche plus il faut investir. De toute façon comme l’argent est toujours disponible, les fonds semblent quasi illimités, alors on dépense !  Sauf que le « on » c’est nous : le contribuable. Celui qui paye la TVA sur tout ce qu’il achète, et qui paye ses impôts pour faire son devoir de citoyen.

Dans un monde idéal, le peuple devrait avoir un droit de regard sur la dépense publique et pouvoir donner son avis. Quand on pense qu’on nous dit que les caisses de l’Etat sont vides et qu’il est au bord de la faillite… on a bien envie de rigoler (jaune) !

9 millions d’euros pour l’année 2017, et au total depuis sa création environ 70 millions dépensés pour une structure et du personnel qui ne servent pas à grand chose c’est, pour être poli,  se moquer de nous.

La police, l’éducation, la justice manquent de moyens… Regardez par ici où va notre argent.

Mort cérébrale … Et pourquoi ne pas ressusciter ?

 

Parfois en matière scientifique, la fiction peut dépasser la réalité…
À tel point que l’on arrive à se demander si les protagonistes de certaines expériences, ou innovations, ne dépassent pas le cadre de l’éthique et ne s’adonnent finalement pas tels des Docteurs Mabuse, à des travers que la science réprouve…
Mon article du jour, va tenter de présenter un futur essai clinique lié à la mort cérébrale, qui dores et déjà divise la communauté scientifique, autant qu’il soulève des questions… À vous ensuite de vous faire votre propre idée.

Petit rappel :

Il y a quelques années, j’avais écrit un article qui parlait des extraordinaires facultés régénératives des salamandres, après qu’il ait été découvert par le plus grand des hasards, que ces étranges batraciens, pouvaient voir leur peau ou encore leurs membres se reconstituer, après arrachement dermique, et même amputation…

S’inspirant de ces constatations, Ira Pastor, directeur de la société Bioquark basée à Philadelphie, a annoncé qu’il comptait prochainement engager des essais cliniques, visant avec l’aide de cellules-souches à je cite, et tenez-vous bien : « ramener à la vie des patients en état de mort cérébrale !!! ».
A présent comprendrez-vous aisément, pourquoi je parlais d’inquiétudes et de questionnements, des membres de la communauté scientifique !

Toujours est-il que la société Bioquark, prétend, je cite : « pouvoir ressusciter un cerveau qui ne présenterait cliniquement parlant, plus aucun signe d’activité ».
Il suffirait, toujours selon les membres de l’équipe chirurgicale de Bioquark, je cite toujours : « de relancer le cerveau comme on relance un cœur arrêté ».

Le projet :

Le projet, baptisé tel le titre d’un film d’épouvante : « Reanima », serait basé sur l’injection directement dans la moelle épinière du patient, de cellules-souches, prélevées initialement sur ce dernier.
Les chercheurs, misent sur une stimulation de la production, et l’activation de nouveaux neurones, grâce à leur pouvoir naturel de différenciation.
Le « processus » serait disons « boosté », par l’apport en parallèle d’un cocktail de peptides, d’une thérapie laser, et de la stimulation d’un nerf bien spécifique : le nerf médian, connu pour inciter les neurones à établir de nouvelles « connexions ».

La société Bioquark, serait en passe d’obtenir selon Ira Pastor, le feu vert pour réaliser des essais cliniques dans un pays d’Amérique latine.
Ce qui dérange au plus haut point les autorités scientifiques, c’est le total manque de clarté des travaux que mènent généralement Ira Pastor, manque de clarté qui avait d’ailleurs déjà conduit les autorités sanitaires indiennes, à annuler purement et simplement les essais cliniques engagés sur leur sol en 2016, par la société Bioquark…

Au prime abord, l’équipe de chercheurs de Bioquark affirmait procéder à des essais cliniques s’inspirant des salamandres comme dit plus haut, reprenant leur technique de régénération, et pour agir sur les organes et tissus humains afin de les régénérer, ou encore d’inverser le processus de certaines affections.
Mais voilà qu’ouvertement, Ira Pastor prétend pouvoir régénérer le cerveau de patients en état de mort cérébrale, ce qui est nettement plus délicat, car chirurgicalement parlant, on ne parle plus de « réparer » un cerveau endommagé, mais bel et bien de « ranimer » un cerveau mort, dont l’état serait jugé irréversible.
Ira Pastor expliquait l’an passé au Telegraph lors d’une interview, je cite :« le fait qu’une réanimation de tels patients (en état de mort cérébrale) soit possible, est notre vision à long terme, bien que ce ne soit pas le but de notre première étude ! C’est un pont vers cette éventualité ».

Mais lorsque la question suivante a été posée par le Telegraph « ranimer un cerveau mort, c’est possible ? » À un éminent spécialiste, tel que le Professeur Dean Burnett, neuroscientifique de l’Univeristé de Cardiff, il a répondu ceci, je cite : « si de nombreuses démonstrations ont suggéré, que le cerveau humain et le système nerveux ne sont pas aussi fixes, et irréparables qu’on le pensait, l’idée que la mort cérébrale puisse être inversée facilement semble très fantaisiste »

En effet, même si pour « réparer des cerveaux endommagés », l’utilisation de cellules-souches a été avancée et testée, par exemple dans le cas de victimes d’un accident vasculaire cérébral (AVC), rien ne prouve à ce jour que la méthode soit réellement efficace.

Enfin, ce qui égratigne l’éthique médicale, c’est que le protocole envisagé par Bioquark, ne respecte en rien l’obligation de test préalable sur l’animal, avant de passer au test sur l’être humain.
Ce qui revient à dire, que même en cas de réussite sur un patient, rien ne prouve qu’il n’y ait pas ensuite, de sévères conséquences, ou séquelles.

La liste des détracteurs serait bien trop longue à énoncer, donc je me conterais de ne citer qu’Ariane Lewis une célèbre neurologue américaine qui a déclaré lors d’une interview de la revue « Critical Care, je cite : « les recherches de Bioquark sont plus que « douteuses » et « sans aucun fondement scientifique ».
Ecrivant même en novembre 2016, « C’est au mieux, d’une nature éthiquement douteuse, et au pire, catégoriquement contraire à l’éthique ».

L’avenir nous dira si Bioquark obtiendra l’autorisation pour réaliser ses essais cliniques, sachant que si le protocole était identique à celui annoncé en 2016 en Indes, 20 patients seraient recrutés.
Ensuite se verraient-il injecter des cellules-souches, puis administrer le fameux « cocktail de peptides », suivi de la thérapie laser, et de la stimulation du nerf médian.
Afin de rassurer les consciences sans doute, les chercheurs de Bioquark prévoient un suivi de leurs patients, pour déterminer le moindre changement dans leur comportement, voire des reprises de signes de vie…

Steven Spielberg avouez-le, n’aurait pas imaginé meilleur scénario pour un de ses films de science-fiction…

Dyonisos.

Sources Gentside Découverte