Caracas, la capitale du Vénézuela, le fief du Président Chavez envahit par des milliers de vénézueliens, venus clamer leurs indignations.

La réforme constitutionnelle donne une image dictatique du chef de l'état. Une manière insidieuse d'imposer une dictature à la cubaine, lui permettant de museler les médias…en cas de crise. Un avant-goût du totalitarisme.

Les supporters de Chavez, porte parole de la révolution bolivarienne, sont indignés, à chaque fois que le mégalomane de l'Amérique latine est écorché. L'image que donne le Président vénézuelien ne fait que camoufler ses réelles intentions. Une partie du peuple vénézuelien se dresse face à cette réforme, et clame dans les rue de Caracas :

Nous disons NON à l'abus de pouvoir…NON au totalitarisme.

Le référendum risque de voir un déferlement de violences. Les derniers sondages donnent raison aux anti-Chavez. Le NON l'emporterait, avec une infime avance. La capitale risque bien de s'embraser et voir des affrontements éclataient entre opposants et supporters incoditionnels du despote.

Chavez n'a qu'une envie, imposer une dictature à la "cubaine", en digne héritier de Fidel Castro. Contrairement à une certaine vague de désinformation, cette réforme, tout en étant insidieuse, ne permet pas à Hugo Chavez d'être Président à vie, mais de permettre de se représenter indéfiniment…La formule n'est pas la même, mais au final cela y ressemblle étrangement. La Constitution vénézuelienne ne permettait jusqu'alors…que deux mandats consécutifs…ce qui renverrait Chavez du pouvoir. Il ne faut donc pas se leurrer, cette  réforme est bien dans le prolongement du régne de Chavez.

Le totalitarisme …

L'archange de la révolution n'est qu'un vulgaire imposteur, désireux d'étendre son pouvoir…et bel et bien au détriment du peuple. Je vois déja la cohorte socialiste me taxer d'anticommuniste primaire…que Chavez représente l'avenir du continent Sud-Américain alors qu'il ne représent qu'un passéisme sanglant, voulant imposer une idéologie…sans se préoccuper de la volonté populaire..et cela s'appelle bien le totalitarisme, ne vous en déplaise !