Voila quelques films sortis du studio nWave Pictures: Sammys Adventures, African adventure, pirates story,et Skate race. D’autres film sortis en 3 D: Fly Me to the Moon Monstres contre aliens Coraline L’age de glace 3 Là-haut Numéro 9 Toy Story 3 Destination finale 4 Avatar Le choc des titans Une nuit au cirque (2010) de Olivier Kauffer et Fabien Remblier Alice au Pays des Merveilles Street dance 3D au faite que veux dire le 3D, Le cinéma en relief(également nommé Cinéma 3D) permet d’apprécier des images en trois dimensions par l’intermédiaire de dispositifs et procédés techniques permettant au cerveau humain de simuler une perception de relief, plus spécifiquement de profondeur et de jaillissement. Bien sur le cinéma 3D date depuis plusieurs années mais sans vraiment convaincre. Creature from the black lagoon (1954 de Arnold Jack, avec lunettes anaglyphes) Le Crime était presque parfait (1954 d’Alfred Hitchcock) L’Homme au masque de cire Le trésor des quatre couronnes (de Ferdinando Baldi) The Bubble (1972 de Oboler Arch) Chair pour Frankenstein (1973 de Paul Morrissey et Antonio Margheriti, avec lunettes polarisantes) Du Sang pour Dracula (1974 de Paul Morrissey) Night of the Living Dead 3D
Bruxelles à la pointe de la réalisation 3D
Le maître mondial de la 3D est un Belge et son studio se trouve à Bruxelles
Bruxelles abrite un des plus grands studios de réalisation d’images en 3D.
C’est le réalisateur belge Ben Stassen, qui a installé son studio de production nWave Pictures dans la capitale. voila le site: http://www.google.fr/search
Le saviez-vous ?? Bruxelles est au centre de la production en 3D.
Pour le studio de Ben Stassen, rien de comparable aux studios hollywoodiens. Hormis quelques affiches de cinéma à l’entrée du studio de production, rien ne laisse supposer qu’un des plus grands studios de réalisation en 3D est hébergé dans une rue calme de Forest.
Et pourtant c’est bien là que le réalisateur belge, pionnier du cinéma en relief, a posé ces valises.
Il sort aujourd’hui son film Le voyage extraordinaire de Samy.
Le film a été entièrement réalisé à Bruxelles, à deux exceptions près:
l’écriture du scénario s’est déroulée aux Etats-Unis.
De même,que la musique, composée par Ramin Djawadi.
Mais l’enregistrement à tout de même été réalisé à Bruxelles, assure le réalisateur.
Pour une production qui se veut 100 % belge,on peut aussi s’étonner que la version originale du film soit en anglais, et non en français.
Plusieurs raisons sont avancées par le réalisateur pour justifier ce choix.
Nous avons une ambition internationale pour ce film.
Donc il vaut mieux que la version originale soit américaine.
Nous avons présenté 15 minutes du film dès 2009.
Et la version devait absolument être avec des voix américaines, explique
Ben Stassen.
Au-delà de ces quelques détails, la production du Voyage extraordinaire de Samy est donc 100 % bruxelloise.
Le film dure une heure trente et aura nécessité deux ans de réalisation. (Nonante-cinq)- personnes (quatre vingt quinze) pour les français ont travaillé sur le projet.
En comparaison, un film d’une grosse production américaine mobilise entre 550 et 600personnes souligne le réalisateur.
En 2005, l’équipe était encore 100 % bruxelloise, maintenant nous avons des gens de toutes les nationalités ou presque indique-t-il.
Sauf deux exceptions, le film connaît une sortie mondiale.
Le Japon, et l’Inde attendaient que le film soit terminé, ce qui est chose faite.
Plus proche de nous, le film sort dans 650 salles en France, 90 en Hollande, et 60 en Belgique indique Ben Stassen “ce qui est déjà un succès.
Pourra-t-on entrevoir dans le film une petite touche de la vie Bruxelloise ?.
Le film est vraiment différent des grandes productions, insiste Ben Stassen, qui compte sur le mauvais temps pour pousser les Bruxellois dans les salles de cinéma.
La spécificité du film par rapport aux autres déjà sortis en 3D.
La maîtrise absolue de la 3D.
Je fais du relief depuis plus de 15 ans, et j’ai réalisé plus de films en relief que n’importe qui dans le monde ,rappelle le réalisateur.
Mais malgré de nombreuses sorties en 3D, et notamment le succès du film de James Cameron avec Avatar, la 3D semble avoir du mal à décoller.
Nous sommes actuellement dans une phase de transition dans le cinéma, mais qui devrait aboutir bientôt.
Le cinéma en 3D a du mal à décoller, parce que les gens n’ont pas
l’impression que la 3D était indispensable dans ce qu’ils ont vu, indique Ben Stassen.
Or il faut qu’ils se disent que l’expérience qu’ils ont vécue n’aurait pas pu être identique sans la 3D insiste le réalisateur.
Le film aura coûté 20,3 millions d’euros.
Et pour le financement, cette production a pu bénéficier de trois sources différentes dont le tax shelter (un incitant fiscal en Belgique destiné à encourager la production d’oeuvres audiovisuelle et cinématographique).
Leur association à Studio Canal a permis de trouver une autre source de revenu. Le reste provient de l’autofinancement du studio.
Les films en 3D sont apparus depuis les années 80/90.
Mais l’enthousiasme du public paraît chaque fois retomber comme un soufflé.
La 3D doit donc trouver sa place, au delà des parcs d’attraction.
La 3D est encore vue comme une attraction, quelque chose d’inhabituel.
Elle est très appréciée dans les parcs d’attraction, mais il faudrait qu’elle en sorte explique Ben Stassen.
Pourtant les productions sont de plus en plus en 3D.
Et les télévisions s’orientent vers ce genre de procédé mais avec le petit écran on perd de l’intérêt d’avoir un film en 3D, estime le réalisateur
Pour lui, la 3D n’a pas vocation à remplacer le cinéma traditionnel: il s’agit d’un cinéma différent.
Comme le théâtre est différent du cinéma.
Il faut donner une autre expérience.
Une fois la curiosité passée, les spectateurs vont se lasser, assure Ben Stassen. Le problème vient aussi du fait que les salles de cinéma ne sont pas ou mal équipées pour recevoir des films en 3D.
Pour le réalisateur,il faut construire de nouvelles salles avec comme objectif de diffuser une petite dizaine de film par an au lieu des 2 ou 3 sorties hebdomadaires.
Il admet aussi les aspects contraignants de la 3D: pour les revendeurs, il faut que les salles soient équipées, il faut les lunettes, et il faut aussi qu’elles soient nettoyées .
Tout ceci à un impact sur les prix.
Il faut en effet compter 4€ de plus par tickets pour assister à une projection
en 3D.