Sorti en salle depuis le 6 juin, le dernier film de Quentin Tarentino est tout simplement psychédélique. Cet hommage aux séries Z des années 70, vous scotchera à votre fauteuil durant tout le film. Entrez dans l’univers du “Boulevard de la mort “.
Pour Jungle Julia (Rosario Dawson), la DJ la plus sexy d'Austin (Texas), le crépuscule est l'occasion de se détendre avec ses meilleures copines, Shanna et Arlène. Les trois filles baroudent la nuit, faisant tourner les têtes dans tous les bars et dancings du Texas. Mais toute l'attention qu'on leur porte n'est pas souvent innocente. Mike (Kurt Russell), cascadeur balafré et inquiétant, les suit sans se dévoiler, tapi dans sa voiture indestructible…Comme toujours Tarentino s’amuse du cinéma, il s’approprie les genres et les façonne à son image. La version originale du projet comportait deux parties d’une heure. L’une réalisée par Quentin Tarantino, l’autre par son compère, Robert Rodriguez. Mais après un flop aux Etats Unis, les 2 parties sont séparées et réadaptées pour le marché européen. Avec une qualité de prise de vue indéniable, une multitude d’effets rappelant les films des années 50, des jolies filles et des courses poursuites hallucinantes, ce film est parfois ennuyant au possible. En autre, la dernière heure (rien que ça !), n’est franchement pas motivante. Toutefois, la scène finale est grandiose.Alors un conseil, pour tous les fans de Quentin Tarantino, allez le voir. Et pour les autres…allez le voir aussi. Ca vaut le détour.
De la différence entre le journalisme citoyen et le manque de respect
Dans un journalimse citoyen, il y a un mot essentiel « journalisme » ce qui présuppose de :
1) se donner la peine de vérifier ses faits et ses sources
2) Etayer ses raisonnements par un minimum d’arguments.
Dans le cas de l’article de Virginie F cela aurait voulu dire:
1) Vérifier la définition du terme « pyschédélique » et des films qui sont issus de ce courant « Boulevard de la Mort » comme le fait remarquer cet article qui n’a pas peur de la contradiction est directement affilié aux Grindhouse movies des 70’s, rien à voir avec le psychédélisme des 60’s donc.
Vérifier que les acteurs correspondent aux bons personnages, Jungle Julia est interprétée par Sydney Tamiia Poitier comme un recherche de 5 secondes sur Google permet de le savoir et non par Rosario Dawson.
Vérifier la durée des métrages, en l’occurence « Boulevard de la Mort » a été augmenté de 25 mn par rapport à la version américaine, soit un film original d’une heure trente et non une heure.
2) Quant à l’appréciation critique, on y apprend que le film est ennuyant au possible et la dernièe heure guère motivante.
Pourquoi? Comment? Par rapport à quels critères? Quels arguments ?
Seul élément de mise en scène cité; des effets rappelant ceux des années 50, manque de bol le film s’inspire complètement de ceux des grindhouse movies des années 70.
Nous ne sommes même pas dans le néant de la critique, nous sommes dans le foutage de gueule pur et simple, le manque de respect total, l’article écrit « pour le fun », jouissance vertigineuse de donner son avis sans entraves
Le but de ce commentaire n’est pas tirer sur l’ambulance ou de me livrer à la méchanceté gratuite, il est tout simplement de tracer une ligne entre donner son avis dans un cadre privé et rédiger une critique sur un film sur un site de journalisme citoyen. Cette précision me semble importante pour tous ceux qui n’ont même pas le respect de leurs lecteurs, de l’oeuvre qu’ils critiquent et du médium qu’ils utilisent.
Ecrire sur Internet, ce n’est pas une licence pour la médiocrité .
Citoyens et citoyennes journalistes, à bon entendeur.
L’erreur est humaine mais pas coutumière.Pour le reste mes sources sont verifiées.Je pense que vous devriez revoir vos classiques.Ce film est un mélange de genres avec certes un hommage au film GRINDHOUSE des 70’s.Je tiens aussi à vous apprendre que dans le journalisme, il y a une notion de solidarité,d’aide.Je suis là pour apprendre.