Dans un article paru le 15 Décembre 2008, Roselyne Bachelot se penchait sur le problème du rapport des jeunes à la drogue, et son « credo » de l’époque était :
«Il faut apprendre aux toxicomanes à se droguer correctement ".
Ce qui faisait dire à Jean-Marc Priez, organisateur des rencontres Nationales de la Réduction des Risques,:
« Il faut donc aider les utilisateurs à bien se shooter »
Je vous ferai grâce des différentes définitions du mot « Drogue », et ne veut parler ici que de celles qui rendent dépendants les jeunes et le moins jeunes,
Le thème : « Pour ou Contre la « drogue » a été repris maintes fois Ici, sur C4N, ce n’est donc pas le principe même de l’absorption de drogues plus ou moins douces… (Je préfère sourire…jaune à ce terme de « douce »..), mais de la façon de consommer ces produits illicites dont je veux vous parler !
Eh bien c’est fait :
Une expérience financée par l’Etat, vient de présenter, avec l’approbation du Maire de Paris Bertrand Delanoë, ce que pourrait être une salle de « consommation » de drogue….
Delanoë, n’est pas le seul d’ailleurs à vouloir expérimenter ces « shooting-room »
Les Verts, le NPA d’Olivier Besancenot, divers élus du PS, et même certains UMP y sont favorables !
La présentation d’une de ces salles d’injection ou de consommation (comme vous préférez) a même été faite :
Alignées les unes à côté des autres, une demi douzaine de petites tables avec chaises, éclairées par une lumière douce, et agrémentées d’un miroir font de cette pièce une salle d’attente,
On pourrait même se croire dans un salon de coiffure (un peu austère : soit !)
Sauf qu’un bac en inox est posé sur chaque table.
A l’intérieur, une seringue, un garrot, et un petit chiffon !
Cette salle de consommation n’a rien d’une simple provocation orchestrée par quelques extrémistes. L’objectif est clairement assumé : imposer au nom de « la réduction des risques » l’implantation « à titre expérimental » de tels lieux, permettant aux « accros » à l’héroïne de venir se piquer dans un espace réservé financé par l’Etat, (je le répète), et géré par des travailleurs sociaux.
Après la distribution de seringues, le remboursement par la Sécurité Sociale de drogues de substitution, et les millions d’euros de subventions distribués chaque année aux « Associations d’usagers », c’est une nouvelle étape qui vient d’être franchie !
Alors que l’on sait que toutes les expériences menées à travers le Monde le démontrent :
L’ouverture de « salles de consommation » a encore aggravé le problème :
A Melbourne l’association Drug Free Australia , relève que le taux d’overdose est plus important à l’intérieur du site réservé à l’injection : une pour 106, alors que dans la rue on n’en relève qu’une pour 3821
L’explication étant tirée d’un rapport officiel, on les croit sur parole….
« Rassurés par la présence de personnel médical, les « clients » prennent plus de risques avec des doses d’héroïne, beaucoup plus élevées dans la salle d’injection »
Ces shootings rooms comme on les appelle là bas, seraient également incitatives, 3,60% des habitants qui ne disposent pas de ces salles d’injection assurent qu’ils « testeraient » le produit si une telle structure était installée près de chez eux.
Une conséquence directe liée à ces installations, est l’arrivée massive de dealers aux alentours !
Plus il y a de « clients », plus il y a de « vendeurs » !
Une présentation-promotion est prévue à Biarritz (France !!) du 13 au 16 octobre de cette année dans le cadre d’un colloque « Toxicomanies-Hépatites-Sida » !
Sachez bien, qu’il n’y a rien de plus douloureux psychiquement, et physiquement que de sortir d’une accoutumance quelle qu’elle soit, mais en particulier celle liée à la drogue, et ne croyez pas que la méthadone, produit de substitution, soit un remède « miracle »,
Bon nombre de consommateurs replongent rapidement dans la dépendance aux drogues dites dures…
Alors plutôt que d’aider les toxicomanes à apprendre à s’injecter ce « poison » qu’est la « drogue », ne vaudrait-il pas mieux, que le Ministère de la Santé, consacre ces millions d’euros, à la prévention du risque, et à la « chasse » aux dealers ?
Comme pour l’article paru le 15 Décembre, j’attends vos réactions devant cette mise en place de structures d’incitation à la consommation, même si elles prétendent être une précaution pour les utilisateurs de ce Poison Violent qu’est la DROGUE
Pour rappel le site de Serge Lebigot, a visiter sans modération, vous y trouverez des témoignages poignants, de parents désespérés ayant perdu un enfant ou un proche, par overdose, ou par suicide, dû au délabrement psychique dans lequel se retrouve un Drogué « en manque » !!
Vidéo :La vidéo que je vous proposais, a été retirée du "circuit", c’est vrai, pour l’avoir visionnée l’an dernier sous mon article, qu’elle était difficile à supporter, alors vous vous contenterez de celle ci :
{google}-6598620057215061755{/google}
Bonjour [b]Sophy [/b]!
Très bon article et curieuse « mode » que celle de vouloir faciliter l’accès aux drogues que de le prévenir et de soigner les accoutumances.
A chaque gouvernement ses priorités, évidemment. Je suis une fois de plus déçu par Mme la ministre.
GBGB
Votre padawan.
[b]Bonjour Gosseyn,
je suis farouchement opposée à cette façon qui consiste à « baisser les bras », et préférer l’installation de salles d’injections à la lutte acharnée contre les dealers et aux soins à apporter à ces personnes qui ont succombées à la tentation « fatale » de la drogue!!
Des centres existent, mais trop peu dans le domaine public,
Des Cliniques privées soignent l’addiction et le drogué qui le désire peut s’y faire soigner, entouré de médecins, de psychologues, qui après un sevrage souvent douloureux, arriveront peut-être (?), a désintoxiquer, ceux qui s’adonnent à ces drogues dites dures
Premier passage, sans avoir oublié de voter,
Merci mon Padawan Gosseyn
GBGB
SOPHY[/b]
[b]ZUT, ma vidéo a été supprimée, mais elle est encore visible sous mon article du 15 Décembre.. je pense, vais la remplacer……[/b]
bonjour Sophy,
la seule façon de faire face à ce problème passe par une réelle information, et pas par une approche aussi nauséabonde.
Quelle perspective dans la lutte contre la toxicomanie, à quand les « superettes » proposant le kit parfait du junkie ?
La luttre contre le trafic s’avère hautement plus importante. Une économie souterraine qui conduit vers les tristes spectacles du style de ce week-end à Saint-Ouen, réglements de comptes, cités terrorisées, libanisation de la banlieue…
Hadopi, Lopsi, le kit du toxico…tout est mis en oeuvre pour lobotomiser le citoyen lambda !!
Toute mon amitié
Michel
[b]MICHEL
Votre judicieux rapprochement avec la loi Hadopi, et Loppsi, est particulièrement bien trouvé, pour illustrer l’infantilisation dans laquelle nous entraine les gouvernants de France et du reste du Monde, d’ailleurs!
Il n’est pas loin le temps des « sachets de poudre », dans les distributeurs en pharmacie
Allez là j’exagère un peu (si peu)
Il FAUT s’attaquer aux dealers, mais aussi, comme vous le précisez aux GROS traficants, et au sommet aux Pays qui par pauvreté, (ou pour toute autre raison d’ailleurs), continuent de cultiver le pavot
Je pense à l’Afghanistan, à la Colombie, en particulier
Et tous ces labos. clandestins qui empoisonnent les plus faibles d’entre nous!
Mais çà, Michel, je ne sais si quelqu’un s’attaquera à ces gros « poissons », un jour
Trop d’enjeux financiers et politiques sont en jeu..
AMitié
SOPHY [/b]
En commentant cet article de [b]psychobabe[/b] : [i][b]« Les drogues en France…Un business à repenser ! »[/b][/i], [u]publié le 24 septembre 2009[/u]
[url]http://www.come4news.com/index.php?option=com_content&task=view&id=28952[/url] ,
j’avais écrit que [i][b]« j’étais opposé à la vente libre de drogues dures et de drogues douces. »[/b][/i], mais également que [i][b]« j’étais farouchement opposé à ce qu’il y ait une répression accrue policière et judiciaire contre les simples consommateurs de drogues dures et contre les simples consommateurs de drogue douce »[/b][/i], estimant, [i]et je l’avais également écrit dans mon commentaire[/i], que [i][b]« la répression policière et judiciaire devait s’exercer contre ceux qui font commerce de ces drogues dures ou douces »[/b][/i].
Donc, rien d’étonnant à ce que je sois également farouchement opposé à l’existence, [u][i]fût-elle légale[/i][/u], de ces salles d’injection !
Quelle idée saugrenue a traversé la tête de « notre estimée » [b]Roselyne Bachelot-Narquin[/b], [i]Ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports[/i], et, par ailleurs, [i]Docteur en Pharmacie[/i] ?
[b][u]Alors, qu’elle fait la chasse aux accros de la nicotine, elle s’en va légaliser la consommation de drogues dures et douces[/u] :[/b] [i]là, de la part de notre Ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports, il y a une très grande incohérence, mais également,[/i] osons dire l’écrire[i], une très grande imbécillité, une très grande connerie ![/i]
Bref… Ce pays va de mal en pis !
Gare à 2012 ! Ce n’est pas si loin que ça !
[u][i][b]**************************[/b][/i][/u]
Bravo, [b]SOPHY[/b], pour votre coup de gueule bien mérité !
[i]Inutile de vous préciser que j’approuve des deux mains votre article, puisque je suis farouchement opposé à l’existence même de ces salles d’injection ![/i]
GBGB
[b]Dominique[/b]
[b]Bravo, au courageux qui a voté « BOF »
Une étoile éteinte pour désavouer mon implication dans cette mesure :
Mais j’aurais aimé également que cette personne vienne en quelques mots, me dire pourquoi, elle est pour L’installation de ces salles d’injection
Néanmoins, ceux ou celles qui n’ont pas envie d’en parler, et si vous n’êtes pas d’accord, votez BOF, mais VOTEZ!!
C’est le seul acte de courage, qui me permet de voir que des mécontents passent sur l’article
Mais n’ayez pas peur de vous ex^primer!
Un Débat, c’est souvent une confrontation d’idées, et non pas un acquiescement…
Courage je vous attend et on « en discute » ???
OUI ???
[/b]
Chère Sophy,
Très intéressant le lien sur le site de « drug free australia » !
Et votre article est vraiment bien.
Mon avis reste toutefois partagé: sans un lieu précis où « attirer » les consommateurs..comment les toucher et essayer de les sortir de là?
Je pense que la prévention peut fonctionner par dépliant, reúnions d’information et spots télé pour tous ceux qui ne sont pas encore tombé dans le piège..
Mais pour ceux qui sont déjà dedans? J’imagine que la seule préoccupation c’est de se procurer une dose et l’argent nécessaire… Aussi j’imagine qu’un accro se fout bien si il utilise la seringue de son voisin ou une neuve, dans les vapeurs de son shoot ou les situations de manque, il est inconscient des risques qu’il prend et très certainement hermétique à tous les messages audio-visuels que notre société essaie de lui faire passer.
Et j’imagine que les conséquences de la merde qu’il s’injecte doivent aussi, être le cadet de ses préoccupations.
Un endroit spécifique où des professionnels pourraient discuter et proposer des soins ne me paraît pas une si mauvaise idée..
Maintenant, effectivement les chiffres et propos de Drug Free Australia sur ces centres font peur, et il semblerait que ce ne soit pas non plus la solution idéale…
Sujet compliqué !
Bonne soirée,
psychobabe.
[b]Sympathique Psychobabe, votre passage sur l’article,!
Le problème de la Drogue, tant qu’il n’est pas pris à la « Racine du mal », c’est à dire aux exploitants, et vendeurs de « merde » (come vous dites), ne se résoudra pas facilement!
Mais je trouve innommable que l’on installe des salles d’injection, plutôt que de privilégier les Centres Médicaux, où on soignerait la personne sous emprise de drogue (dure)
Ces centres existent déjà, ce sont souvent des cliniques ou des hopitaux qui prennent en charge pour 21 jours (3semaines), des volontaires qui veulent se désintoxiquer!
J’en ai visité un l’an passé, croyez moi ils sont suivis, 24h sur 24, on commence par leur donner de la méthadone, et jour après jour on diminue les doses.
La nuit des cris terrifiants, veinnent de ces chambres fermées, où seules les infirmières peuvent pénétrer!
Le traitement commence en deuxième semaine par leurs donner des séances d’analyse transactionnellle, et de programmation Neuro Linguistique, puis sous controle d’un Psy. on remonte à l’enfance pour justifier (ou non) l’addiction,
Ils sont complètement pris en charge par le personnel soignant, sans visites, et on ne les lache pas dans la nature après
Si SEULEMENT le Gouvernement comprenait qu’il vaut mieux SOIGNER la dépendance, plutôt que d’inciter à ce que ces drogués se shoottent « PROPREMENT »
Les millions d’euros pourraient être investis pour multiplier ces centres, plutôt que de les inciter à recommencer, le premier coin de rue passé, dealer en embuscade…
NON, on va encore au plus spectaculaire, comme d’habitude!!!
Je n’ai pris que l’exemple de Melbourne, mais tous les pays qui ont « ouverts » ces lieux ou l’on s’injecte PROPREMENT, sans contamination possible, ont fait marche arrière, pour les mêmes raisons citées plus haut.
Alors pourquoi en France cette méthode marcherait-elle ??
Non, évidemment, nous sommes les plus forts, n’est-ce pas ??
Foutaise et poudre aux yeux, et argent jeté par les fenêtres que ces salles d’injection!!
Je me calme, psychobabe, car je vais devoir scinder mon com. parce qu’il est trop long!!
Bonne soirée et merci de votre passage éclairé
Amicalement
SOPHY [/b]
Bonsoir Sophy.
Des centres pour toxicomanes,des centres bon chic bon genre,pfff !!!
Se shooter avec précaution,hygiène etc…
Je l’avais déjà écrit Sophy,ces désespérés de l’existence s’en tapent:
LA VIE ACTUELLE LEUR A VOLER TOUTES LEURS ILLUSIONS!!!
Alors que l’on flambe du fric dans ces centres peut être que cela pourra aider les moins dépendants autrement pour les accros les rues,les coins sombres seront toujours bien présents avec ce lourd fardeau,la société rejette quiconque vie en marge d’elle.
Un moyen de se donner bonne conscience point barre.
Je vous embrasse Sophy a plus,bye.
Ouais
Bonjour, Ma question est celle-ci. Avec qu`elle produit on dilue la droque ? Es-ce de l`eau ou autre chose ?
Martin,
le shoot se dilue avec du citron ou de l’acide citrique, j’espère que cela n’est pas pour te lancer dans la pratique…
Michel
[b]Je m’aperçois que j’ai pris un « sacré » retard dans mes réponses :
A Dominique, à Humaniste, à Michel qui a eu la gentillesse de venir répondre à ma place, alors que j’étais déconnectée
Bref, cet après-midi j’aurai le temps et encore bien des choses à dire sur ces salles d’injection!
La première idée qui me vient là tout de suite :
L’héroïne est une drogue illicite, nous le savons tous!
Je me pose la question de savoir ce que l’on « fait » de ces malheureux qui s’adonnent à la Drogue, dès que l’injection est terminée!
Les remet-on sur le trottoir, en « criant » « au suivant ??
Ont-ils une salle affectée à leurs délires qu’entrainera automatiquement cette prise d’héroïne ?
Les suivra-t-on pour repérer leurs dealers ?
Bien d’autres problèmes apparemment non résolus seront liés à cette prise en charge de l’injection ?
J’espère de tout coeur, qu’on les incitera à se faire soigner, mais l’entendront-ils, quand la drogue commencera à faire son effet…
Puis cet après midi, je vous parlerai d’une « drogue « licite », qui fait des ravages elle aussi : l’ALCOOL, autorisé encouragé, mais verbalisé…
A quand des salles de dégrisement en dehors des commissariats ??
Je reviens cet après midi mais si quelqu’un peut déjà répondre à une ou deux questions, cela m’aiderait beaucoup
MERCI, à tous,
A tout à l’heure
SOPHY
[/b]
[b]Dominique,
Il faut savoir, que ces salles d’injections existent dans d’autres Pays, je n’ai cité que l’Australie, mais c’est en Suisse que les premières sont apparues!
Il faut dire qu’en Suisse, et particulièrement à Zurich, où je m’étais rendue dans les années 1980, 2000, le jardin public qui borde le lac de Zurich (j’ai oublié son nom Boden ZEE ?), était le rendez-vous des dealers et des toxicomanes qui impunémént venaient le soir s’injecter des produits illicites, et restaient là toute le nuit à « cuver » leurs délires!
Le matin, il fallait nettoyer ce site ouvert à tous, et aux enfants en particulier!
Je l’ai VU, et constaté,
Depuis la législation Hélvétique a dû évoluer, mais quel spectacle dans une si belle ville, et si encore il n’y avait que dans ce jardin public!!
J’ai relevé d’autres informations que je vous communique, et qui vous montrerons que nous ne faisons que nous aligner avec d’autres Etats, qui en ont fait l’expérience!
Beaucoup en sont « revenus », et ont fermé ces centres, constatant le mêm phénomène qu’à Melbourne :
En 2003, il y avait 62 salles de consommation en Europe, réparties dans 36 villes de quatre pays : la Suisse, les Pays-Bas, l’Allemagne et l’Espagne.
La première salle a ouvert à Berne en 1986. Au début des années 90, les Pays-Bas et l’Allemagne inauguraient à leur tour leurs structures et en 2000, l’Espagne faisait de même.
Le nombre de places dans chaque salle varie entre trois et seize en Allemagne et entre cinq et douze en Suisse, même s’il y a des consommations par inhalation, la majorité des places sont réservées aux injecteurs.
Encore de l’argent du contribuable, qui risque de partir en « fumée » (si l’on veut!!
Je me demande comment le suivi médical de ces drogués peut se faire dans de bonnes conditions…
Je n’ai pas encore trouvé d’infos. sur le sujet
Je cherche, mais je sens que cette expérience risque d’être vouée à l’echec
Mille excuses Dominique, mais hier soir, j’ai été dérangée très souvent, et n’ai fait que survoler mes commentaires
GBGB
SOPHY[/b]
[b]Une info. qui est valable pour tous ceux que le sujet intéresse :
les conditions à « remplir », pour pouvoir accéder à ces salles d’injections qui sont déjà ouvertes au public européen :
Pour être admis, les clients doivent être des consommateurs [u]réguliers et dépendants à l’héroïne ou à[/u] [u]la cocaïne et âgés de plus de 18 ans.[/u] L’utilisation des salles est souvent limitée aux résidents locaux pour éviter un afflux d’usagers d’autres villes. Les règlements interdisent la vente de drogue dans les locaux et les équipes n’aident pas les clients à pratiquer leur injection.
Dans toutes les salles, les usagers arrivent avec leur produit.
La consommation est supervisée par un membre de l’équipe, pas forcément un médecin mais dans tous les cas formé à l’intervention d’urgence.
Il donne des informations sur les risques, sur les modes de consommation moins dangereux et intervient en cas de surdosage ou de tout autre problème, tels que les crises d’épilepsie ou les troubles neuropsychiques liés à l’usage de la cocaïne.
La fréquence des interventions d’urgence est inférieure à 4 pour 1000 injections, et moins de 8% ont nécessité une hospitalisation.[/b]
C’est bien d’inciter les gens à consulter le site Internet de [b]Drogues Info service [/b][ [url]http://www.drogues.gouv.fr[/url] ], de donner les coordonnées téléphoniques de cette structure [ [i][b]Drogues info service[/b] au 0.800.23.13.13 (appel gratuit depuis un poste fixe) ou 01.70.23.13.13 (coût d’un appel ordinaire depuis un téléphone mobile)[/i] ] comme le souligne cet article, ci-dessous…
[b][i]« « Drogues: ne fermons pas les yeux »: une campagne ciblée sur les drogues illicites »[/i]
ASSOCIATED PRESS (AP)[/b]
[u][i]Lundi 5 octobre, 15h36[/i][/u]
[url]http://fr.news.yahoo.com/3/20091005/thl-sante-drogues-campagne-aa61a25.html[/url]
Encore, faudrait-il que [b]Madame Roselyne Bachelot[/b] n’ait pas eu l’idée saugrenue de créer de salles d’injection pour toxicomanes !
Donc acte… A vous de juger !
[b]Bonsoir Dominique,
c’est drole, je pensais que cet article aurait concerné beaucoup plus de monde, y compris Serge Lebigot, le Président de « parents contre la Drogue », qui s’était manifesté, sous l’article de l’an dernier ou cette idée saugrenue d’installer des sallles d’injection n’était qu’en « observation », ou à létude!
Voilà que la première salle d’ijection va être inaugurée à Biarritz, bientôt, et que Dealnoë est pour en faire l’expérience à Paris!!
Rien ne vaut la prévention, et mettre en oeuvre tous les moyens pour essayer de guerrir les toxicomanes avérés!!
Seulement voilà, les structures d’accueil, coutent plus cher que l’installation de salles…
Du n’importe quoi!!
Tous les Pays qui s’y sont essayés, ont fait machine arrière, en fermant ces endroits,
on a encore un train en retard, comme d’habitude!!!!
Merci, dominique d’avoir « réveillé » cet article
GBGB
SOPHY [/b]
[b]SOPHY, il fallait vraiment le réveiller cet article…
[u]
D’un côté, nos Gouvernants, nos Politiques… disent vouloir combattre le trafic et la consommation des drogues dures et des drogues douce, et, d’un autre côté, notre Ministre de la Santé est entrain de mettre en place des salles d’injections[/u] : [i]quelle belle incohérence, montre-t-elle là, ne se doutant pas que bien des trafiquants de drogue doivent se gausser derrière son dos !
Pauvre France…[/i]
GBGB
Dominique[/b]
[b]Et je me répète, à la sortie de ces salles d’injections, dans les rues adjascentes, bien camouflés, ils seront là les Dealers, avec leur poison, pour à nouveau intoxiquer ceux qui auront maintenant un espace « hygiénique » pour se piquer les veines,
C’est un jeu sans fin , auquel peu de Monde pense!
Comme vous Dominique,
Pauvre France, celle de l’incohérence dans bien des domaines…[/b]
[b][u]Et pendant ce temps là, SOPHY, on va emm****r les accros de la nicotine, qui, dans un endroit dit de plaisir, allumeront la p’tite cigarette ! Bref, c’est le monde à l’envers[/u] :
[i]- d’un côté, on permet à des personnes de s’injecter des saloperies dans les veines ou de sniffer, ou de renifler,
– de l’autre, on vient nous créer des lois et des décrets totalement liberticides[/i],
alors que le trafic des drogues dures et des drogues douces, cela génère des morts par milliers, cela créer aussi des zones de non droit, puisque des mafias s’organisent…
Dans ce pays, on aura tout vu… même l’impensable et même l’intolérable !
Ah que j’aimerais que votre article soit lu par Madame la Ministre… pardon… Madame la Sinistre… de la maladie !
Au fait, cette décision imbécile, ne risque-t-elle pas de creuser encore le trou de la Sécurité Sociale ? [i]En effet, il faudra bien soigner ces toxicos pour qu’ils ne soient plus accros à ces drogues ![/i]
GBG
Dominique[/b]
Après la Droite qui invente ses salles d’injection, voici que la Gauche « poussiéreuse » revient à la charge avec le Cannabis !
[b][i]« Le PS relance le débat sur la légalisation du cannabis en France »[/i]
Clément Guillou[/b]
[u]Édité par[/u] [b]Sophie Louet
Reuters[/b]
[u][i]Vendredi 9 octobre, 18h13[/i][/u]
[url]http://fr.news.yahoo.com/4/20091009/tts-france-cannabis-ca02f96.html[/url]
Voilà où elle en est cette Gauche-là, alors qu’elle devrait faire des propositions constructives pour notre Pays !
A tous,
Bravo pour vos commentaires. Malheureusement le débat est pipé, ceux qui réclament les salles d’injections le font grâce aux énormes moyens que leur procure l’argent public qui leur est versé chaque année. Les salles d’injections sont une horreur, j’en ai visité une à Amsterdam. Va t-on comme en Hollande agréer des dealers ? Mme Bachelot se plante totalement, elle ferait mieux de s’inquiéter de la montée de la cocaïne et de l’Héroïne chez les ados. Tout ceci faute de prévention depuis des trés nombreuses années. Vous pouvez voir de nombreux témoignages sur notre site et voir que les salles d’injections sont tout sauf le miracle qu’espère nous faire croire le lobby de la drogue.
Faites comme de nombreuses personnes et associations signez la pétition.
Serge LEBIGOT
Président de l’association Parents Contre la Drogue
[b]Merci de votre passage, Monsieur Serge Lebigot, Président De Parents Contre La drogue.
SOPHY[/b]
Le but de nos dirigeants n’est pas de sortir les gens de la drogue pour qu’ils retrouvent une santé normale, leur but est tout le contraire, nos dirigeants veulent nous tuer et que l’on soient malade !!!!
[b]Témoignage vécu,DJL 93VIDEO ?
Merci de votre passage sous un article où comme vous l’avez constaté, Serge Lebigot, Président de l’association Parents Contre la Drogue est intervenu !
Sous couvert d’un anonymat, Sur C4N, n’hésitez pas à venir témoigner,
Le site offre une réelle sécurité, alors un pseudo, et venez nous dire ce que vous pensez de ces salles d’injection!!
ou mieux raconter nous votre parcours…
Bien à vous
SOPHY[/b]