Dans un article paru le 15 Décembre 2008, Roselyne Bachelot se penchait sur le problème du rapport des jeunes à la drogue, et son « credo » de l’époque était :

 

«Il faut apprendre aux toxicomanes à se droguer correctement ".

 

Ce qui faisait dire à  Jean-Marc Priez, organisateur  des rencontres Nationales de la Réduction des Risques,:

« Il faut donc aider les utilisateurs à bien se shooter » 

 

Je vous ferai grâce des différentes définitions du mot «  Drogue », et ne veut parler ici que de celles qui rendent dépendants  les jeunes et le moins jeunes,

 

Le thème : « Pour ou Contre la « drogue » a été repris maintes fois Ici, sur C4N, ce n’est donc pas le principe même de l’absorption de drogues  plus ou moins douces… (Je préfère sourire…jaune à ce terme de « douce »..), mais de la façon de consommer ces produits illicites dont je veux vous parler !

 

Eh bien c’est fait :

Une expérience financée par l’Etat, vient de présenter, avec l’approbation du Maire de Paris Bertrand Delanoë, ce que pourrait être une salle de « consommation » de drogue….

Delanoë, n’est pas le seul d’ailleurs à vouloir expérimenter ces « shooting-room »

Les Verts, le NPA d’Olivier Besancenot, divers élus du PS, et même certains UMP y sont favorables !

La présentation d’une de ces salles d’injection ou de consommation (comme vous préférez) a même été faite :

Alignées les unes à côté des autres, une demi douzaine de petites tables avec chaises, éclairées par une lumière douce, et agrémentées d’un miroir font de cette pièce une salle d’attente,

 On pourrait même se croire dans un salon de coiffure (un peu austère : soit !)

Sauf qu’un bac en inox est posé sur chaque table.

A l’intérieur,  une seringue, un garrot, et un petit chiffon !

Cette salle de consommation n’a rien d’une simple provocation orchestrée par quelques extrémistes. L’objectif est clairement assumé : imposer au  nom de « la réduction des risques » l’implantation « à titre expérimental » de tels lieux, permettant aux « accros » à l’héroïne de venir se piquer dans un espace réservé financé par l’Etat, (je le répète), et géré par des travailleurs sociaux.

 

Après la distribution de seringues, le remboursement par la Sécurité Sociale de drogues de substitution, et les millions d’euros de subventions distribués chaque année aux « Associations d’usagers », c’est une nouvelle étape qui vient d’être franchie !

 

Alors que l’on sait que toutes les expériences menées à travers le Monde le démontrent :

L’ouverture de « salles de consommation » a encore aggravé le problème :

 

A  Melbourne l’association Drug Free Australia , relève que le taux d’overdose est plus important à l’intérieur du site réservé à l’injection : une pour 106, alors que dans la rue on n’en relève qu’une pour 3821

L’explication étant tirée d’un rapport officiel, on les croit sur parole….

« Rassurés par la présence de personnel médical, les « clients » prennent plus de risques avec des doses d’héroïne, beaucoup plus élevées dans la salle d’injection »

Ces shootings rooms comme on les appelle là bas, seraient également incitatives, 3,60% des habitants qui ne disposent pas de ces salles d’injection assurent qu’ils « testeraient » le produit si une telle structure était installée près de chez eux.

 

Une conséquence directe liée à ces installations, est l’arrivée massive de dealers aux alentours !

Plus il y a de « clients », plus il y a de « vendeurs » !

 

Une présentation-promotion est prévue à Biarritz (France !!) du 13 au 16 octobre de cette année dans le cadre d’un colloque « Toxicomanies-Hépatites-Sida » !

Sachez bien, qu’il n’y a rien de plus douloureux psychiquement, et physiquement que de sortir d’une accoutumance  quelle qu’elle soit, mais en particulier celle liée à la drogue, et ne  croyez pas que la méthadone, produit de substitution, soit un remède « miracle »,

 Bon nombre de consommateurs replongent rapidement dans la dépendance aux drogues dites dures…

 

Alors plutôt que d’aider les toxicomanes à apprendre à s’injecter ce « poison » qu’est la « drogue », ne vaudrait-il pas mieux, que le Ministère de la Santé, consacre ces millions d’euros, à la prévention du risque, et à la « chasse » aux dealers ?

 

Comme pour l’article paru le 15 Décembre, j’attends vos réactions devant cette mise en place de structures d’incitation à la consommation, même si elles prétendent être une précaution pour les utilisateurs de ce Poison Violent qu’est la DROGUE

 

Pour rappel le site de Serge Lebigot, a visiter sans modération, vous y trouverez des témoignages poignants, de parents désespérés ayant perdu un enfant ou un proche, par overdose, ou par suicide, dû au délabrement psychique dans lequel se retrouve un  Drogué « en manque » !!

 

Vidéo :La vidéo que je vous proposais, a été retirée du "circuit", c’est vrai, pour l’avoir visionnée l’an dernier sous mon article, qu’elle était difficile à supporter, alors vous vous contenterez de celle ci :

 

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