Election de Barack Obama…

Les blogueurs de l’est sont en pleine effervescence, la prophétie de Baba Vanga se réalise.

Baba Vanga a prédit que « l’homme noir » sera le dernier Président de l’histoire américaine. Pendant son règne les Etats-Unis se diviseront en plusieurs pays.

Le prénom Vanguélia (Vanga) possède une racine grecque (evaggelion : ce qui donne évangile) dont la signification est « porteuse de la bonne nouvelle ». Quoique Baba Vanga n’a guère prédit de bonnes nouvelles…

Baba Vanga s’est éteint le 11 aout 1996 et reste l’une des voyantes les plus célèbres de l’Est. Il se murmure que Gorbatchev ainsi que la Nomenklatura soviétique consultaient régulièrement la voyante…

La fameuse prophétie du Président noir et des événements tragiques qui s’en suivront est donc d’actualité…


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La première fois que j’ai découvert Baba Vanga c’est par l’intermédiaire de ma profession, pendant de longues années j’ai sillonné les routes de l’ex-bloc communiste. A cette époque j’avais été intrigué par cette femme aveugle et en consultant ses prédictions mon intérêt s’est accru. Même si je reste cartésien force est de constatée la concordance de ces prédictions avec notre quotidien…

« Pendant le règne du Président noir il y aurait une crise économique et alors va commencer une 3ème guerre mondiale. La guerre va commencer en novembre 2010 et s’achèvera en octobre 2014. Elle démarrera d’abord de façon conventionnelle, puis ensuite cela sera l’escalade, l’emploi des armes nucléaires et chimiques ».

Baba Vanga est née en Bulgarie. Une petite fille ordinaire et qui ne se doutait pas de toutes ses capacités. Un beau jour de 1923, Vanga alors âgée de 12 ans, était dans un champ avec ses deux cousines. Soudainement un orage violent éclata. Vanga fut soulevée par la rafale d’ouragan et, comme une feuille morte, projetée dans les broussailles au loin. On la retrouva plus tard, Vanga était la seule victime : la petite fille avait complétement perdu la vue, et de la sa vie changea radicalement.

Article écrit par Iassen Kobarelov, traduit en français par Dimitar Orechkov et adapté par Thierry Vincent, tous trois de Montréal, Québec.

Vers la fin des années 1970, Krassimira Stoïanova et quatre de ses amis, des scientifiques bulgares, partirent en expédition à la montagne. Krassimira s’était fait dire par sa tante Vanga :

« Si vous voulez voir quelque chose, allez à la montagne, le cinq mai. Vous y trouverez un certain rocher. Regardez bien les premiers rayons du soleil et de la lune. »La jeune femme et ses amis partirent donc et arrivèrent sur les lieux la veille du jour indiqué. Ils trouvèrent le rocher à flanc de montagne, au milieu d’une végétation sauvage et clairsemée et le reconnurent simplement en se basant sur la description de Vanga. Cette roche est haute d’environ cinq mètres et large de quatre. Sa face sud est aplatie. Au sommet de cette face, à peu près plane, se trouvent creusés trois cercles solaires (ainsi que les nomment les archéologues), de la taille approximative d’une soucoupe à café. Ces trois cercles forment un triangle dont la pointe est dirigée vers le bas. Des signes semblables peuvent être vus un peu partout en Europe. Tout comme Stonehenge, ils datent de l’époque des mégalithes. Le 4 mai, le temps était orageux.

La pluie tomba toute la journée et toute la nuit suivante. Heureusement, à l’aube, les nuages finirent par s’écarter, permettant à Krassimira et aux autres chercheurs d’observer les premiers rayons du soleil lorsqu’ils frappèrent la pierre, plus particulièrement les trois cercles solaires. Un étrange jeu de lumière se produisit, créé par les trois cercles. Il dura une dizaine de minutes puis s’effaça quand le soleil éclaira toute la roche. Convaincus qu’il leur fallait observer à nouveau cet étrange spectacle sous l’effet des rayons lunaires, les cinq chercheurs décidèrent de rester, malgré que leurs tentes, leurs bagages et leurs vêtements étaient trempés.

Malheureusement, le soir du 5 mai, l’orage recommença. Mais, encore une fois, les nuages s’écartèrent à temps, à neuf heures du soir, permettant à la lune d’apparaître dans le ciel. Ses rayons frappèrent la pierre. Le phénomène lumineux observé le matin se produisit à nouveau. Sauf que, cette fois, il dura quinze minutes. Les rayons lunaires disparurent, puis la paroi sud de la haute roche s’illumina de l’intérieur. Cela rappelait vaguement l’effet que produit en s’allumant l’écran d’un vieux téléviseur. Les scientifiques aperçurent alors deux grandes statues blanches dans une grisaille incolore. Elles occupaient presque toute la paroi illuminée et donnaient l’impression d’avoir du volume, comme si elles étaient sur le point de surgir de la roche. La statue à leur gauche se tenait debout. Il s’agissait d’un vieillard vêtu d’une toge, aux longs cheveux tombant sur ses épaules. Sa main droite, tendue, présentait une sorte d’instrument de forme sphérique. La seconde statue, un peu en retrait, était celle d’un jeune homme assis sur une sorte de trône, dans une posture rappelant les représentations pharaoniques. Il était coiffé d’un haut casque rappelant le pschent des pharaons égyptiens [Mot dérivé de l’egyptien (pa-sekhemty) est le nom de la double couronne portée par les pharaons de l’ancienne Egypte] ; un casque surmonté, au-dessus des oreilles, par des sortes d’antennes. Le rocher "s’éteignit", les cinq chercheurs se trouvèrent plongés dans l’obscurité totale. À l’aide de leurs lampes de poche, ils regardèrent leurs montres, calculant que le phénomène avait duré une vingtaine de minutes.

Sans attendre, ils levèrent le camp et descendirent rapidement de la montagne, ne se calmant qu’au moment d’apercevoir les lumières d’une petite ville. Vanga leur avait promis qu’ils verraient quelque chose.

Une fois de plus, elle avait eu raison.

Vanga est le véritable sujet de cet article. Car Krassimira est la nièce (et surtout l’une des biographes) de la plus impressionnante voyante du vingtième siècle, en contact permanent avec des intelligences qui nous dépassent, que certains désignent par le terme d’extraterrestres et que d’autres préfèrent appeler anges (ou tout autre appellation aussi approximative et insatisfaisante).

Plusieurs variétés de ces intelligences nous dominent. Krassimira Stoïanova leur donne le nom de Messagers. Il est étonnant de voir à quel point l’Occident ne possède que très peu d’informations au sujet de Vanga, célèbre comme la voyante bulgare de Petrich à travers l’Europe de l’Est et tout ce qui autrefois s’appelait l’U.R.S.S. Durant une cinquantaine d’années, des gens (parfois par centaines) formaient chaque jour une file d’attente menant à sa maison, dans l’espoir de la consulter.

Des années plus tard, Krassimira Stoïanova retrouva parmi ses notes une anecdote que lui avait raconté Vanga, bien avant qu’elle ne l’envoit à la montagne. Sa tante y avait parlé d’une de ses visions au cours de laquelle trois Messagers débarquant d’un O.V.N.I. installaient quelque part les statues de deux personnages très importants pour eux. L’un des Messagers s’inquiétait de ce que ces statues étaient beaucoup trop visibles et que tout le monde pourrait les voir. Mais l’un de ses compagnons le rassura en lui disant : « Ne vois-tu pas que les humains sont aveugles ? ».

Pour sa part, Vanga, qui était physiquement aveugle depuis l’âge de ses douze ans, était l’une des seules personnes au monde à pouvoir percevoir leur présence. Parfois, ils emplissaient la pièce où elle se tenait. D’autres fois, ils formaient un cercle autour d’elle, lui parlant d’une voix autoritaire et forte.

Ils lui disaient : « Nous allons te parler du futur de l’humanité ; mais tu n’auras pas le droit de répéter ce que nous allons t’apprendre. »

Vanga disait : « Eux, ils nous contrôlent ».

Les Messagers disaient venir d’une terre portant le nom de Vamphim. C’est du moins ainsi que la voyante percevait le nom de leur lieu d’origine. Vanga racontait que les Messagers lui avaient fait visiter cet endroit (peut-être à l’aide de ce que nous appelons un «voyage astral»). Ils lui prenaient brusquement la main et elle avait l’impression d’être entraînée dans une sorte de bond en avant. Elle décrivit leur monde comme étant merveilleusement beau, sans aucune habitation, avec un sol qui donnait l’impression d’être tapissé d’étoiles. Tout y était très bien organisé, chacun des habitants ayant des tâches précises à accomplir. Les Messagers étaient transparents et leur image ondulait comme si on n’avait vu que leur reflet dans l’eau. Ils avaient l’apparence de vieillards sévères et savants, portant des barbes et des cheveux longs et blancs, coiffés de sortes de grands chapeaux, vêtus de longues toges et chaussés de sandales ; certains, d’armures brillantes comme des écailles de poisson.

Vanga baptise la fille de Plamen Mladenov (auteur de la photo). Il a fait partie lui-même des 4 à 5000 baptisés par Vanga, avec lesquels elle restait en contact pour assurer leur protection.

Vanga racontait qu’il y avait peut-être parmi eux quelques femmes, des personnages sans barbe, au visage d’une beauté extraordinaire, auréolés par des cheveux ondulants comme des algues et légers, diaphanes, comme du duvet. Il lui semblait que certains d’entre eux avaient au dos quelque chose qui lui rappelait des ailes…

Durant ces contacts, qui eurent lieu en 1978, les Messagers déclarèrent à Vanga qu’elle était le lien le plus direct qui existait entre la Terre et eux. Il existait quelques autres intermédiaires, mais beaucoup moins puissants qu’elle. Les Messagers lui annoncèrent aussi que l’humanité prendrait conscience de leur existence environ deux siècles plus tard, à l’aide d’une technologie qui serait développée en Hongrie. A partir de ce moment, la situation sur Terre connaîtrait un nouvel équilibre. Mais, en attendant, l’humanité verra de nombreux progrès anéantis par de nombreuses décadences (ou, plus simplement, comme le disait Vanga, « elle connaîtra des hauts et des bas »).

L’une des visions les plus importantes de Vanga concerne un étrange sarcophage. Un jour, un vieil homme voulut apporter à la voyante une feuille de papier couverte de la reproduction de symboles inconnus. Il se mit en file comme tous les autres mais la soeur de Vanga l’intercepta et l’envoya plutôt voir sa fille, nulle autre que Krassimira en personne, orientaliste et donc sans doute capable selon elle d’identifier elle-même l’origine de ces symboles. La jeune femme ne reconnut pas les signes mais promit au vieillard de consulter des spécialistes, à Sofia. Dès qu’elle saurait de quoi il s’agissait, elle lui transmettrait l’information. Mais, comme aucun des spécialistes rencontrés ne put identifier l’origine des mystérieux symboles, Krassimira oublia toute l’affaire.

Quelque temps après, une conversation avec sa tante lui rappela cette histoire. Elle en parla à Vanga en se plaignant de ce que toutes sortes de gens venaient l’importuner avec des futilités. Mais la vieille voyante lui répondit : « Ces signes sont très sérieux, trop sérieux pour nous. Ce n’est pas une cuillère pour notre bouche. »

Elle raconta alors à sa nièce la vision suivante : par une nuit très noire, une caravane venue du sud, du tout-puissant royaume égyptien, s’arrêta en un endroit totalement sauvage (mais qui se trouve aujourd’hui à l’intérieur des frontières bulgares). Les esclaves de la caravane creusèrent une fosse très profonde à l’intérieur de laquelle fut déposé un lourd sarcophage de pierre. Les esclaves furent ensuite massacrés sur le lieu de l’enfouissement, afin de garder son emplacement secret à jamais. Puis, les hauts dignitaires et les soldats s’éloignèrent en silence, sans que personne ne remarque leur passage. Les parois internes de ce sarcophage sont couvertes des fameux symboles inconnus. Ils forment un texte racontant quatre mille ans de l’histoire de l’humanité.

La première moitié de cette histoire – celle des deux mille dernières années – s’est déjà déroulée. L’autre moitié – celle des deux mille ans à venir – appartient encore au futur. Ce texte ne nous est pas destiné. Il s’adresse aux habitants de la Terre de demain.

Ces informations sont tirées du livre de Krassimira Sto¡anova intitulé Le phénomène Vanga, très connu et traduit dans plusieurs langues à l’exception, curieusement, du français et de l’anglais. Vanga est décédée en 1996.

Il existe aujourd’hui un autre personnage presque aussi important en Bulgarie, Vera Kochovska ; cependant plus guérisseuse que voyante.

Elle a été nommée successeure légitime de Vanga par l’Association bulgare du paranormal.

Iassen Kobarelov

Vera Kochovska, considérée comme le successeur de Vanga, représente le plus fort de ces mêmes phénomènes de voyance AU MONDE, elle est toujours vivante et a été décorée par le président Parvanov. Elle est de plus en plus reconnue par les experts russes.

De quoi susciter le débat et nous plonger dans ces prédictions. Deux vidéos pour conclure cet article.

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