Personne pour le monde et tout le monde pour soi.

Bonjour, enfin je dis bonjour mais cela dépend de beaucoup de choses et à commencer par vous ou moi. Car aujourd’hui, peut être un bon jour mais comme je l’ai dit et au risque de me répéter cela dépend pour qui. 

Si je vous parle de vous ou bien même de moi ou encore de nous.

Oui car en fin de compte c’est de nous dont il s’agit dans cet article. "Nous" chacun ensemble et à la fois individuellement dans nos coins. Si j’essaie d’attirer vainement votre attention sur cette ambivalence singulière c’est d’une part parce qu’elle est réellement à la fois contradictoire et complémentaire. Je pourrais  illustrer mes propos de maintes et maintes façons. Et vous savez quoi … C’est exactement ce que je vais faire. 

Prenons comme premier exemple l’un des phénomène les plus connus de ces derniers temps : Facebook (alias TheFaceBook).

En effet Facebook est l’exact propos de ce que je cherche à avancer. Certains se demandent déjà mais où veut-il en venir!? Je vous rassure je n’ai rien inventé de nouveau. Mais patience je vais y arriver. Mais revenons à nos moutons. Je disais donc à propos de Facebook qu’il est un exemple parfais car il traduit la volonté d’un seul individu qui c’est mué en un désordre collectif soit 500 000 000 d’inscrits (pour mieux comprendre je vous invite à lire ou à voir The Social Network).

Face à ce genre de phénomène on peut observer dans le monde et qui est retranscrit sur la toile (comprendre par là internet et non une quelconque œuvre artistique) son antithèse si l’on veut se donner la peine de chercher là où il faut. Et mon exemple est le suivant : Worldometers. N’aller pas comprendre que Worldometers est l’antithèse de Facebook ça serai ridicule car ils n’ont rien à voir l’un avec l’autre (du moins à ma connaissance). Je cherche juste à démontrer que l’on peut avoir par un tour de passe-passe (à savoir ma réflexion personnelle) qu’un même comportement ambivalent peut amener à deux résultat opposé en tout points. 

 

À l’heure ou j’écris et si l’on en crois les statistiques compilés par le site Worldometers et l’algorithme qui permet d’extrapoler les chiffres que je vais citer. J’en ai déduis la chose suivante : Si l’on considère que la population mondiale actuelle est de 6 884 051 900 habitants et que 4 553 000 000 tonnes de nourriture sont produites cette année. Cela ramènerai la relation habitants-nourritures à 0,66138 tonnes / habitants. Soit si l’on considère les 365 jours que compose une année que cela représente 1,812 Kg de nourritures par jour et par personne sur terre donc largement de quoi satisfaire tous les besoins. Face à cela on a 1 029 387 221 personnes, gens, individus, être humains sous-alimentés dans le monde à l’heure actuelle. 

 

Cette situation m’amène à réfléchir. D’un côté la volonté individuelle, égoïste mais néanmoins involontaire (du moins partiellement) d’un homme de se contenter par la réalisation d’un projet. Et finalement parvenir à contenter 500 000 000 de personnes et toujours plus encore et d’un autre la volonté de plusieurs personnes de créer un contentement pour tous et ne parvenir qu’à enrichir une minorité.

 

Que d’aberration, de gâchis et d’injustice.