L’effritement et l’effondrement conséquent des systèmes, libéral ou communiste, trouve son explication dans leur application. Pour les systèmes dirigistes ou non-dirigistes, ceux qui représentent la force et ceux qui représentent le droit ont été les mêmes ; à partir de cet instant, la force faisant office de droit, c’est le règne de la force qui prime et non plus celui du droit. Qu’est-ce donc qui pourrait garantir le Droit de se libérer de l’emprise la Force ? L’homme ne peut-il échapper à ce dilemme ?