Après l’abaissement, la semaine dernière, de la notation de sept banques par Standard and Poor’s, Giuseppe Mussari, président de l’association bancaire italienne, a déclaré « n’être pas inquiet ». Pas de panique, l’Italie est un « pays riche » qui, par conséquent, ne fera « jamais défaut », renchérit Lorenzo Bini Smaghi, de la Banque Centrale Européenne. Ouf, on respire. L’Italie, l’un des piliers de l’Europe, sa troisième puissance, ne finira pas comme la Grèce.